Des étudiants de l’ESGI à la finale d’EngrainaGES


Actualité publiée le 30 juin 2023

Le 23 juin dernier a eu lieu la finale des jeunes auto-entrepreneurs d’EngrainaGES. C’était l’occasion pour 10 groupes d’entrepreneurs de présenter leur projet devant un jury. Ces derniers devaient les évaluer et sélectionner un vainqueur parmi les 10 projets présentés 

 

 

Sabrina et Quentin, deux étudiants en Mastère 1 IA et Big data de l’ESGI ont, eux aussi, pu présenter leur projet. Il s’agit d’une application de gestion financière avec une IA, du nom de NAD. Cet outil permettra aux utilisateurs de mieux gérer leurs finances et de les aider à investir. Ils présentent leur produit comme la solution permettant d’épargner, budgétiser, d’investir et plus encore. 

 

Sabrina qualifie leur application d’« une application qui pourrait nous guider dans la réalisation de nos rêves financiers (tour du monde, achat d’une maison) pas à pas, avec une vraie projection sur l’avancement de notre projet, et pour ceux qui le veulent, des conseils pour bien investir, pour équilibrer leur portefeuille boursier, pour mieux épargner.». Elle précise que l’objectif premier de ce projet est que « tout le monde puisse réaliser ses rêves et ses objectifs financiers. ». 

 

Quant à lui, Quentin précise qu’ils souhaitaient lier l’IA à la finance, et c’est ainsi que leur projet a vu le jour. 

 

 

 

L’application de gestion financière NAD 

 

La fonctionnalité principale de leur application est l’agrégateur bancaire qui va permettre de faire du prévisionnel, de la budgétisation et gérer le budget des clients en leur faisant des suggestions par rapport à leurs achats (de les acheter ailleurs ou même de les éviter).  Un autre outil permettrait aux clients de les accompagner dans leurs investissements que ce soit en bourse, en action, dans la cryptomonnaie ou l’immobilier. Ils proposent aussi l’aide à la réalisation d’objectifs financiers ainsi qu’une fonctionnalité d’optimisation fiscale. Une autre fonctionnalité accompagnerait le client dans la gestion d’une succession, chose qui doit se préparer bien en avance. Pour finir, ils aident leurs clients à trouver des aides de l’Etat pour lesquelles ils seraient éligibles.   

 

Ils précisent que pour l’instant, leur projet repose sur du B to C (business to consumers) mais qu’ils aimeraient envisager le B to B (business to business). Ils définissent clairement leur cible : 

 « Notre projet vise tous ceux qui s’intéressent à leurs finances, qu’ils aient des problèmes d’argent ou qu’ils ne sachent pas quoi faire de leur argent à la fin du mois, explique Sabrina. La plupart des gestionnaires de patrimoine n’acceptent pas les foyers à petit et moyen budget. Notre première cible, ce sont ces personnes-là. ».

 

 

La partie commerciale et financière  

 

Les deux jeunes entrepreneurs ont également une stratégie commerciale bien établie : rédiger des articles pour aider leurs clients et avoir un bon référencement sur Google, faire des partenariats avec influenceurs, faire de la publicité ciblée à certaines périodes de l’année, créer une communauté assez conséquente avec l’aide de forum, etc. 

 

Côté financement, les tarifs sont déjà pensés pour répondre aux capacités financières de leur cible : ils partent sur une base de 3 types d’abonnement qui varient en fonction des priorités des clients, et les fonctionnalités de l’application varieront en fonction du type d’abonnement 

 

Mais comment financer ce beau projet ? Sabrina met en avant le fait qu’ils sont de la région RhôneAlpes qui apporte beaucoup d’aide aux créateurs d’entreprise, notamment pour les femmes qui se lancent dans ce type de projet. Mais ils seraient également prêts à accueillir des investisseurs. 

 

Et leur projet est complétement dans l’air du temps, l’Etat compte approfondir ses avancées sur l’IA dans les années qui viennent, ainsi Sabrina et Quentin précisent qu’ils aimeraient en faire tout autant en avançant dans leur projet.  

 

En résumé, Sabrina et Quentin souhaitent venir en aide aux personnes qui n’ont pas de gestionnaire de patrimoine en leur proposant NAD qui est « un petit gestionnaire de patrimoine dans leurs poches et à proximité d’eux. » 

 

ESGI : Enzo Ruffini, étudiant en 3ème année de Bachelor se livre


Actualité publiée le 26 juin 2023

Rencontre avec Enzo Ruffini, passionné d’informatique et étudiant à l’École Supérieure de Génie Informatique à Paris. 

 

 

 

  • Présentez-vous 

Je m’appelle Enzo RUFFINI, je travaille à Sagemcom en tant qu’Ingénieur Système Linux en alternance. En parallèle, je suis étudiant à l’ESGI en troisième année de BachelorSystèmes, Réseaux, Cloud Computing 

 

  • Pourquoi avez-vous choisi l’ESGI ? 

J’ai choisi l’ESGI car c’est une école vraiment réputée notamment grâce à l’alternance.Mon choix, c’est aussi porté sur cette école, car leurs partenaires et leurs intervenants sont réellement passionnés. De plus, ils ont une belle expertise, et un professionnalisme impressionnant dans leur milieu.? 

 

 

  • Quelle filière suivez-vous ? 

Je suis dans la filière SRC : Systèmes Réseaux, Cloud Computing. C’est une filière qui nous permet de découvrir et/ou d’approfondir nos connaissances dans le milieu de l’IT en entreprise et de nous initier à l’utilisation du cloud qui est une technologie de plus en plus utilisée en entreprise. 

 

 

  • Racontez-nous une journée type 

Les cours en Systèmes Réseaux, Cloud Computing sont très variés. Il peut y avoir des cours en réseaux avec les technologies et matériels Cisco par exemple, ou encore en système avec l’apprentissage d’administration sur les différent OS : Windows et Distribution Linux. Nous avons également des cours d’administration et fonctionnement des différents type de Cloud (Privé, Public ou hybride)Aussi, nous apprenonsdes langages de programmationcomme Bash, PowerShell, python, mais également de la gestion de projets… C’est vraiment enrichissant. 

 

 

 

  • Quelle est votre spécialité ? 

Par rapport à mon métier, ma spécialité sera principalement l’administration Systèmes Linux. Mais ça ne s’arrête pas à ça, il y a également Windows ou je suis assez à l’aise et l’automatisation des tâches m’intéresse grandement grâce au Scripting par Bash, PowerShell ou encore ansible pour le déploiement. 

 

 

  • Pour vous l’informatique c’est quoi ? 

L’informatique est forcément l’avenir en entreprise. L’informatique est un monde qui évolue et se propage exponentiellement dans tous les domaines. Les avantages sont nombreux, notamment en ce qui concerneles offres d’emplois qui sont très fortes. Sans même avoir fini mon Bachelor, je reçois déjà énormément de demandes pour des contratsen CDI comprenant des postes avec des salaires de 50k annuel, ce qui est quand même assez motivant pour l’avenir?! D’autant plus que je compte poursuivre mes études en Mastère pour avoir un niveau encore plus élevé. 

 

 

  • Qu’envisagez-vous de faire comme métier à l’issue de votre formation ? 

Après ma formation, j’aimerais me spécialiser dans les systèmes. Notamment dans l’automatisation des systèmes, donc m’orienter vers un métier d’Ingénieur DevOps Système. 

 

 

  • Que diriez-vous à un futur étudiant de l’ESGI ? 

Je conseillerais vivement l’ESGI à un futur étudiant. C’est une bonne école pour une personne déjà intéressée par le monde informatique. Bien entendu, cela ne veut pas dire qu’il faut être un “giga geek” pour évoluer dans ce domaine, à partir du moment où vous êtes intéressé et prêt à vous investir tout est possible. Encore plus au sein de cette l’école.  

 

 

L’ESGI a à cœur de former ses étudiants de la meilleure façon qu’il soit. L’école s’efforce de permettre aux futurs professionnels de l’informatique de s’épanouir dans leurs études mais aussi sur le campus. Avec les différentes formations proposées, les étudiants pourront se spécialiser et devenir de véritables experts dans leur domaine.  

Le Hackathon Final destination de l’ESGI et l’ECITV


Actualité publiée le 22 juin 2023

Les étudiants de l’ESGI et de l’ECITV ont travaillé en équipe dans le cadre du Hackathon Innovation Week, la semaine du 5 au 9 juin.  

 

Le Hackathon 2023 

 

Constitué des mots hack et marathon, un hackathon désigne habituellement un marathon de programmation, à destination de groupes de développeurs. Ils ont pour but de concevoir des projets de programmation informatique, sans interruption, pendant un temps donné.  

Mais le Hackathon Innovation Week est un peu différent puisqu’il allie informatique et Marketing Digital :J’organise le Hackathon Final destination 2023 avec la filière ingénierie du web de l’ESGI et digital marketing de l’ECITV, explique Adrien Morin, le directeur pédagogique de la filière Ingénierie du web à l’ESGI.  Le Hackathon, c’est une semaine de challenge pour les étudiants au début de laquelle ils découvrent une problématique soulevée par un client, le lundi matin, et ensuite, ils ont toute la semaine pour prototyper une idée grâce à leurs compétences, soit sur le plan marketing pour les étudiants de l’ECITV, soit sur le plan de la plateforme web pour les étudiants de l’ESGI. Et cette année, notre client, c’est l’ESN Carbon.» 

 

Carbon est une ESN spécialisée dans le développement WEB et les bonnes pratiques de développement. Elle rassemble 140 passionnés de Java, C#, JavaScript et TypeScript, qui se challengent au quotidien au sein des équipes de leurs clients dans le secteur de la banque finance-assurance, du e-commerce, de la distribution, de l’énergie, etc. 

Ces derniers sont animés par l’envie de progresser, de découvrir de nouvelles choses, de discuter technique, de puiser les avoir de leurs pairs, tout en mettant le leur à disposition ! 

Pour cela, Carbon organise des événements techniques: soirées conférences, et ateliers du code, et misons beaucoup sur leurs dispositifs de formation interne pour leur permettre d’évoluer professionnellement. 

 

Des représentants de Carbon étaient présents tout au long de la semaine afin de conseiller les étudiants et de les orienter selon le brief initial : L’idée de ce Hackathon, c’est de travailler sur une plateforme interne, « un outil magique » qui nous permettrait de centraliser toutes les compétences dans le carbone, de leur offrir des vraies perspectives d’évolution et de pouvoir créer du lien, de l’engagement et développer le sentiment d’appartenance, explique Solène Ancel en charge du recrutement et du développement de projets RH chez Carbon. On est une société de développement web donc les étudiants d’aujourd’hui seront sûrement nos salariés de demain. […] On pense que les étudiants seront force de propositions et nous permettront d’aller un cran plus loin et de mieux matcher avec notre population interne. 

 

 

Un défi relevé haut la main par les étudiants 

 

Mais qu’en est-il de la qualité des projets rendus au bout d’une semaine ? Sont-ils pertinents ? Sont-ils viables ? 

Les étudiants vont vraiment au bout des choses, ils nous proposent pleins d’idées auxquelles on n’avait pas pensé, affirme Solène. Les marketeurs nous proposent des idées sur la stratégie de communication et d’implication et sur la partie développement, on voit de belles choses. On sent qu’on est face à des étudiants de 5ème année, la qualité de code à l’air de suivre. Les projets sont assez costauds, sur 5 jours de développement, ils arrivent à nous proposer quelque chose d’assez complet.». 

 

Ce Hackathon n’est que l’un des nombreux événements que vivent les étudiants de l’ESGI au cours de leur scolarité. L’objectif est de leur proposer des projets tout au long des cursus, avec des niveaux de difficulté adaptés, pour leur permettre de se challenger et de se professionnaliser.  

Et ce sont des moments très appréciés des étudiants pour qui ce changement de rythme et de cadre est très bénéfique : « Ce qu’il y a d’intéressant avec ce hackathon c’est que vous avez la possibilité de proposer votre solution innovante par rapport à la problématique qui se veut de base très large, explique Mathéo Delandui, étudiant en 5e année Ingénierie du Web à l’ESGI Une composante intéressante du challenge, c’est le fait d’être mixé avec une autre école : eux les marketeurs et nous les développeurs. A partir de là, on compose autour de notre sujet, pour vraiment avoir nos points fort et une partie marketing forte dans le but de faire un produit le plus viable possible. «  

Cet évènement était très certainement une expérience enrichissante pour leur cursus et une réelle plus-value aux yeux des recruteurs. 

 

Durant toute la semaine, les étudiants ont aussi eu des petits défis à relever pour obtenir des bonus ainsi qu’une nocturne durant laquelle ils ont pu travailler toute la nuit dans l’école, sustentés par de nombreuses pizzas. 

Des coachs sont également présents toute la semaine pour les guider et leur donner un coup de main technique : « Mon rôle a plus été du mentorat et de l’aide de la direction envers eux et de l’aide technique pour surmonter les erreurs ou les problèmes qu’ils peuvent rencontrer, indique Aloïs Marcellin, intervenant à l’ESGI et coach. L’intérêt d’un hackathon pour les étudiants, c’est vraiment de se confronter au monde réel qu’ils vont connaître dans quelques années, l’année prochaine pour eux en l’occurrence. ». 

 

La remise des prix du Hackathon avec l’entreprise Carbon aura lieu le 3 juillet à 17h30 sur le campus de l’ESGI. Nous annoncerons les gagnants sur nos réseaux sociaux ! 

 

Un grand bravo aux étudiants ayant participé à ce Hackathon, et un immense merci à Carbon et ses représentants pour leur confiance et aux coachs pour leur accompagnement.  

Interview d’un étudiant en Intelligence Artificielle et Big Data ayant participé au Hackathon D4GEN


Actualité publiée le 19 juin 2023

Hakim SAGHIR, étudiant en 5ème année de filière Intelligence Artificielle et Big Data, raconte son expérience durant le projet D4GEN. C’est un hackathon qui s’intéresse à l’utilisation de l’IA dans les domaines de la génomique et des sciences du vivant.Il présente son projet, en faisant le lien avec sa filière et son projet professionnel. 

 

Pouvez-vous vous présenter ? 

Je m’appelle Hakim SAGHIR, actuellement en 5ème année de filière Intelligence Artificielle et Big Data. Je suis également apprenti ML Engineer chez Crédit Agricole Technologies et Services. 

 

Qu’est-ce-que le D4GEN ? 

Le D4Gen, organisé par Genopole Evry, est un hackathon qui met l’accent sur l’utilisation de l’IA dans les domaines de la génomique et des sciences du vivant, afin de modéliser des processus complexes et créer des procédés biotechnologiques innovants. Les participants peuvent collaborer pour concevoir de nouveaux concepts ou prototyper des solutions innovantes tout en développant leurs compétences et en bénéficiant de l’expertise d’autres professionnels. 

 

Pourquoi avez-vous décidé d’y participer ? 

J’ai décidé de participer pour plusieurs raisons : représenter mon école, rencontrer des professionnels de l’industrie, travailler en équipe pour développer mes compétences en IA et acquérir des connaissances en biotechnologie. Cet événement a été une excellente opportunité pour moi de mettre en pratique mes connaissances, d’élargir mes compétences et de rencontrer des personnes partageant les mêmes centres d’intérêts que moi. 

 

Quel était le sujet de votre projet et en quoi consistait-il ? 

Notre projet avait pour objectif d’utiliser l’IA pour améliorer la prise en charge des patients atteints d’AVC en facilitant et accélérant le diagnostic de l’étiologie. L’AVC étant une pathologie potentiellement mortelle, notre projet avait pour but de limiter les dommages causés par cette maladie en proposant une méthode prédictive efficace pour les cas la fibrillation atriale est la cause. 

Pour atteindre cet objectif, nous avons développé une application utilisant le Machine Learning pour prédire la probabilité qu’un AVC soit causé par une fibrillation atriale en se basant sur des données cliniques et biologiques. La fibrillation atriale est un trouble du rythme cardiaque caractérisé par des contractions irrégulières et rapides des oreillettes du cœur, qui peut conduire à la formation de caillots sanguins et augmenter ainsi le risque d’AVC. 

Notre équipe était composée de trois médecins spécialistes en cardiologie et en neurologie, qui ont apporté leur expertise médicale, ainsi qu’un étudiant en informatique d’une autre école, qui a contribué à la mise en place de la partie technique de l’application. 

 

Y aura-t-il une suite à ce projet ? 

Oui, nous envisageons de poursuivre le projet. Nous avons déjà prévu de présenter les résultats de notre travail au bureau de l’Unité de Recherche clinique du centre hospitalier sud francilien dans les semaines à venir. Nous prévoyons également de continuer à développer l’application et d’améliorer le modèle en y intégrant de nouvelles données pour renforcer la précision de la prédiction. 

 

En quoi la formation de l’ESGI vous a aidé à répondre à la problématique du Hackathon ? 

Grâce aux nombreux projets auxquels j’ai participé à l’école, j’ai acquis des automatismes qui m’ont permis d’avancer rapidement pendant le challenge. J’ai ainsi pu proposer rapidement une architecture à mettre en place pour l’application, déterminer quel type d’algorithme utiliser pour répondre à la problématique et choisir quelles technologies adopter. Ceci nous a permis de respecter les délais impartis et fournir une application fonctionnelle et performante en seulement 48 heures de code. 

 

Que souhaitez-vous faire après vos études ? 

Après mes études, mon objectif est de décrocher un poste d’ingénieur en Machine Learning au sein d’une entreprise de services numériques (ESN) renommée. Je souhaite travailler sur des projets innovants impliquant l’IA dans des secteurs variés pour continuer à renforcer mes compétences et acquérir plus d’expérience pratique. 

 

Quel serait le conseil que vous pourriez donner à des étudiants souhaitant participer aux prochaines éditions du D4GEN ? 

Mon conseil serait de vous assurer que vous avez une bonne connaissance pratique des outils et des techniques de data science et de machine Learning. Il est également important de former une équipe avec des membres complémentaires en termes de compétences et de spécialisations, afin de maximiser vos chances de réussite. De plus, n’hésitez pas à sortir de votre zone de confort et à explorer de nouvelles idées et perspectives pour trouver des solutions innovantes aux problèmes posés. Enfin, n’oubliez pas que le travail en équipe, la communication efficace et la gestion du temps sont des éléments clés pour mener à bien un projet en peu de temps. 

 

Si vous avez une certaine appétence pour les techniques et enjeux fondamentaux de l’intelligenceartificielle alors la filière Intelligence Artificielle et Big Data de l’ESGI est faite pour vous. Il s’agit d’une formation professionnalisante, les périodes de stages, d’alternance,de projets professionnels, de séminaires et de workshopssont des atouts considérables pour permettre aux étudiants de développer une véritable expertisedans le domaine de l’IA. Les cours, quant à eux, sont animés par des professionnels du secteur. Les étudiants formés aux méthodes scientifiques d’analyse, de modélisation et de traitement des données utiles à de nombreux domaines, seront prêts à intégrer le monde professionnel dès la fin de leurs études. 

Création du langage CSS : retour sur son histoire


Actualité publiée le 16 juin 2023

Le langage CSS pour Cascading Style Sheets fait partie des premiers protocoles de programmation du web. Créé dans les années 1990, il est pris en charge par l’intégralité des navigateurs web dès la décennie suivante. Retour sur la création et l’histoire du langage CSS. 

 

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CSS : explication 

Les Cascading Style Sheets forment un langage informatique qui décrit la mise en forme des documents HTML et XML. Le concept de la feuille de style est présent dès le début du World Wide Web. 

 

Les auteurs de documents visibles sur le net cherchent dans les années 1990 des solutions pour déterminer librement la présentation des pages web. La création de CSS provient de l’envie de passer du HTML comme programme de structuration à un langage de présentation. 

 

Jusqu’en 1996, en effet, il n’existait que le langage HTML et c’est celui qui était utilisé pour la mise en forme. Les pages sont alors très complexes, avec un très grand nombre de balises. La mise à jour des pages était très difficile, ce qui rendait nécessaire le passage à un langage dédié. 

 

CSS, c’est donc le langage qui permet de choisir la couleur du texte, de sélectionner la police, la taille des caractères, les bordures. Il offre aussi de structurer la page : menu latéral, largeur des éléments visibles, etc. 

 

CSS est par conséquent un langage côté client, qui ne permet pas de créer une page web. C’est le navigateur Internet qui lit le code et le transpose pour mettre en forme le fichier HTML selon ses indications. 

 

 

La création du langage CSS : une révolution 

La véritable première utilisation du langage CSS pour proposer une feuille de style a été produite par Hakon Wium Lie. D’autres experts du web, dont Dave Raggett publient et relaient ses travaux. 

 

On peut faire appel au CCS dans la création d’une page web, de trois manières?: 

 

– On y fait appel au sein d’une balise de code HTLM. 

– On le mentionne dans la balise head de la page web. 

– On intègre un ou plusieurs fichiers CSS. C’est, d’ailleurs, cette solution qui lui vaudra le nom de cascade de feuilles de style. Cette troisième solution est une composante centrale de CSS, qui offre la possibilité d’une mise en page provenant de plusieurs feuilles de style de source différente (la fameuse cascade). 

 

CSS est alors implémenté pour la première fois par Internet Explorer 3.0 en 1996 et Netscape Navigator en 1997. Le langage évolue : CSS, CSS 2.0, CSS 2.1 et CSS3. Chaque nouvelle version inclut les niveaux précédents, et ainsi de suite. 

 

 

Création de CSS : les enjeux du nouveau langage 

L’objectif principal de CSS, c’est de rendre possible la mise en forme hors document. Les développeurs peuvent créer un document (une page HTML) et décrire la présentation dans une feuille de style CSS séparée. Les styles sont alors appliqués au dernier moment, lorsque l’internaute visite la page. 

 

Le principe de la séparation, rendu possible par a création de CSS offre de nombreux avantages : 

 

– La séparation des fichiers et le travail d’expertise des équipes de programmation informatique et de développement web. 

 

– Une présentation plus uniformisée sur un même site web. 

 

– La réduction du volume et de la complexité du code HTML. 

 

 

Historique et versions de CSS 

CSS 1 

 

Au début de l’année 1995, le W3C est opérationnel et une équipe de développeurs est constituée en vue de développer le principe des feuilles de style. Au début simple brouillon, le projet devient une recommandation du WC et prend le nom de CSS1. Finalisée en 1996, la première version de CSS offre une cinquantaine de fonctionnalités de présentation. La grammaire de CSS1, à sa création, permet aux niveaux suivants d’ajouter des fonctionnalités tout en permettant la lecture des feuilles de style d’origine. 

 

La version définit des propriétés de rendu typographique essentielles : fontes, couleur, espacements, bordures, etc. La mise en page est donc encore sommaire. 

 

CSS1 éprouve des difficultés à s’imposer dans un contexte de forte compétition entre les navigateurs web. L’implémentation de Navigator, trop rapide et basée sur les méthodes de JavaScript est, par exemple, peu satisfaisante et il faudra attendre l’implémentation de Mozilla pour que le langage soit pleinement utilisé. 

 

CSS2 et CSS 2.1 

 

CSS2 se développe comme un complément de la première version et est publié en 1997 par le W3C. Le groupe qui élabore la version 2 du langage évolue, jusqu’à comporter des représentants des géants du web : Apple, Google, IBM, Microsoft, etc. Leur proposition est ambitieuse et comprend près de 70 propriétés supplémentaires. 

 

On peut, avec CSS 2 : 

 

– Décliner des styles propres aux médias au sein desquels la page web peut être publiée : impression, synthèse vocale, dispositif de projection ou braille. 

 

– Utiliser des propriétés de positionnement de l’écran offrant une mise en page avancée. 

 

– Télécharger des polices et des caractères spécifiques. 

 

– Intégrer des préférences utilisateur dans la mise en forme. 

 

CSS 2 s’avère lent et complexe à implémenter, en raison notamment de propriétés encore trop théoriques à sa sortie. Les fonctionnalités ne répondant pas aux objectifs commerciaux des navigateurs, les fabricants se montrent désintéressés. 

 

Très rapidement (en 2001), le groupe de travail propose une version revisitée : CSS Level 2, Revision 1. La version CSS 2.1 corrige des points de détail et supprime certaines sections (styles d’impression, polices téléchargeables, etc). 

 

Cette fois-ci, le groupe a tenu compte des attentes des navigateurs et poursuit des objectifs pratiques comme de maintenir la compatibilité avec CSS2. Néanmoins, aucun navigateur n’aura terminé l’implémentation de CSS 2.1 en 2007 : seulement 56 % par Internet Explorer et 91 % par Firefox par exemple. 

 

CSS3 

 

Parallèlement à la version revisitée CSS 2.1, le travail sur CSS3 commence dès 1999. Avec CSS3, le langage devient modulaire, ce qui facilite considérablement ses mises à jour et son implémentation : on peut installer des sous-ensembles. 

 

Le degré d’avancement de CSS3 varie alors selon les modules installés et le degré de priorité qui leur est attribué. La majorité des modules plébiscités par les grands navigateurs sont : 

 

– La mise en forme des annotations ruby. 

– Le rendu web TV. 

– La gestion des couleurs. 

La prise en compte de la configuration de l’interface utilisateur. 

 

Puis en 2010, c’est CSS4 qui est lancée, toujours en parallèle. 

 

L’ESGI propose à ses étudiants de se construire, au titre de leurs études supérieures en ingénierie informatique, une véritable culture générale du secteur. Ils connaissent donc l’histoire de la création de CSS, ses versions et les potentialités à venir du langage. 

 

CSS est un langage démocratique, qui cherche à simplifier le développement web pour les professionnels et la navigation en ligne pour les utilisateurs. 

Le Web day de l’ESGI sur l’UX/l’UI/l’Accessibilité


Actualité publiée le 13 juin 2023

L’ESGI a organisé son Web Day annuel le 30 mai sur le sujet de l’UX, l’UI et l’accessibilité.  

Cette journée était destinée aux étudiants de la filière Ingénierie du web. Ils ont pu assister à une table ronde, des conférences, et pouvaient se rendre dans un Business Hall afin de rencontrer des entreprises partenaires. 

 

 

Qu’est-ce que l’UX, l’UI et l’accessibilité ?  

L’UI (user interface), désigne l’ensemble des éléments visuels et interactifs qui permettent à un utilisateur d’interagir avec une application ou un site web. L’objectif est de proposer une interface claire, intuitive et agréable à utiliser pour faciliter l’expérience utilisateur (UX). 

L’UX (user experience), se concentre sur l’expérience utilisateur globale. Elle vise à garantir que l’utilisateur trouve rapidement ce qu’il recherche, à faciliter la navigation et à offrir une expérience agréable cohérente. Elle prend en compte l’ensemble des interactions de l’utilisateur avec l’interface, depuis la première impression jusqu’à la réalisation de son objectif. 

L’accessibilité web se réfère à la conception de sites web et d’applications pour que toutes les personnes, y compris celles ayant des handicaps physiques ou cognitifs, puissent les utiliser facilement. Elle vise à réduire les obstacles à l’accès à l’information et à la participation en offrant des alternatives pour les personnes ayant des difficultés à naviguer sur les sites web, telles que des descriptions alternatives pour les images, des transcriptions pour les vidéos ou des tailles de police adaptables. 

L’accessibilité est importante, car elle permet d’offrir une expérience positive pour tous les utilisateurs, en particulier pour ceux ayant des handicaps. Elle est également exigée par la loi dans de nombreux pays pour garantir l’égalité d’accès à l’information et aux services en ligne. 

 

 

L’évènement 

Cet événement a permis aux étudiants de comprendre les principes de base de l’accessibilité web et de découvrir les bonnes pratiques pour créer des interfaces web inclusives et accessibles. Ils ont pu également échanger avec des experts du domaine et découvrir comment l’accessibilité peut avoir un impact positif sur l’expérience utilisateur.  

 

 

Une dizaine de conférences ont été animées par des professionnels. Elles étaient réparties en 3 sessions parallèles. Ces dernières couvraient un grand nombre de sujets se rapportant à l’UX/UI et l’accessibilité : Comment concevoir des interfaces inclusives pour les personnes ayant des handicaps visuels ou auditifs, Les fondamentaux de l’accessibilité web, La conception centrée sur l’utilisateur?: comment concevoir des interfaces web qui répondent aux besoins de tous les utilisateurs, etc. 

 

La table ronde Twich portait sur « L’importance de l’UX/UI et de l’accessibilité dans le développement web ». Cette table ronde réunissait des experts de l’industrie, des universitaires et des professionnels pour discuter des enjeux actuels et futurs de l’UX/UI et de l’accessibilité. Les participants pouvaient poser des questions en direct. 

Quant au Buisness Hall, il est bénéfique pour l’insertion professionnelle des étudiants, car ils ont eu l’opportunité de rencontrer des représentants d’entreprises pour en savoir plus sur les opportunités d’alternance ou de CDI. Les entreprises partenaires ont eu l’occasion de présenter leur activité et leurs offres de postes à pourvoir aux étudiants. 

 

 

 

Rencontrer des professionnels et bénéficier de leurs conseils et expériences est l’occasion pour les jeunes de mieux appréhender ce qui les attend une fois diplômés. C’est pour cela que L’ESGI organise régulièrement ce type d’évènement qui apporte aux étudiants, une nouvelle perspective dans leur apprentissage 

Quel est le rôle d’un architecte Cloud ?


Actualité publiée le 9 juin 2023

L’architecte Cloud est au cœur du développement des entreprises. Il garantit la structuration de l’information, l’accessibilité des données ainsi que leur sécurisation et leur optimisation. Zoom sur le rôle et le métier de l’architecte Cloud.

 

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Architecte Cloud : structurer les données

 

Le principal rôle de l’architecte Cloud est d’organiser les données qui sont stockées par une entreprise. Le Cloud englobe toutes les solutions de stockage immatériel à distance. Les données ne sont plus conservées sur des disques durs, mais disponibles sur des serveurs (au sein de data centers) qui sont accessibles par Internet.

 

Dans ce contexte, l’architecte Cloud organise et structure ces données pour que leur utilisation corresponde aux besoins stratégiques des entreprises. Il crée le schéma de stockage de ces données et assure son déploiement dans le Cloud.

 

Par ailleurs, l’architecte Cloud est aussi chargé du nettoyage des données, il élimine les informations inutiles en vue d’optimiser leur exploitation par l’entreprise. Dans certains cas de figure, il peut être chargé de la supervision des protocoles de sécurité et d’accessibilité des données. Son entreprise cliente ou son agence informatique peut aussi lui demander d’estimer la consommation d’énergie des solutions de stockage et en d’optimiser les coûts (en ayant recours à l’automatisation, par exemple).

 

L’architecte Cloud peut travailler au sein du service Informatique d’une entreprise, il doit alors endosser un rôle de formateur auprès de ses divers collaborateurs : adoption de comportements conscients pour maximiser la sécurité de l’infrastructure ou encore concept de la base de données SQL, etc.

 

Zoom sur les principales missions de l’architecte Cloud

 

L’architecte Cloud collabore de près à l’optimisation de la stratégie générale de son entreprise. En effet, c’est lui qui est chargé d’étudier ses besoins en termes de stockages, de sécurisation et d’accessibilité des informations. Après cet audit, il va élaborer des solutions permettant de répondre aux besoins des entreprises.

 

C’est lui qui crée et qui intègre au sein du système d’information de la société l’infrastructure Cloud nécessaire pour répondre à ses besoins. Il configure donc les équipements de ses clients et déploie ses solutions.

 

Après être intervenu directement sur l’intégration de sa solution, l’architecte Cloud en vérifie le bon fonctionnement. Il gère les mises à jour de son sytème et assure la migration

des applications vers les solutions virtualisées du Cloud. Il est aussi en charge de l’optimisation constante des performances de l’architecture qu’il a conceptualisée.

 

 

Compétences techniques de l’architecte Cloud

 

Aussi appelé ingénieur Cloud ou Head Infrastructure, l’architecte Cloud est un expert de l’ingénierie informatique. En vue de répondre aux besoins de ses clients et de savoir opérer sur le Cloud, il doit faire preuve de compétences de haut vol :

 

– Connaissance des normes et des procédures de sécurité.

– Connaissance pointue des trois clouds publics : GCP, Azure et AWS.

– Connaissance des concepts de virtualisation

– Maîtrise des bases de données et du Big Data.

– Maîtrise pratique de la méthode du DevOps ou du Zero Trust.

– Maîtrise des divers langages de programmation.

 

 

Formation de l’architecte Cloud

 

L’architecte Cloud a suivi une formation spécialisée en ingénierie informatique, option Systèmes, Réseaux et Cloud Computing. Pour travailler en collaboration avec la direction stratégique et proposer de véritables solutions dans le Cloud, il doit suivre un parcours complet en 5 ans.

 

Ce type de formation s’articule autour de deux cycles de formation : un Bachelor, qui constitue un socle fondamental de connaissances, et un Mastère spécialisé. Par exemple, un Bachelor permettant de devenir architecte Cloud doit comporter des UE de découverte variées :

 

– Algorithmique, architecture et conception de bases de données relationnelles, développement avec Python ou encore virtualisation.

 

– Compréhension et vision globale du Cloud Computing, maîtrise de Microsoft Azure ou administration des serveurs et des réseaux.

 

Cette base doit être complémentée par un apprentissage de deux ans pour devenir architecte Cloud. À ce titre, le Mastère spécialisé offre au futur architecte Cloud de développer ses compétences en virtualisation des réseaux, ENCOR ou ENARSI ce qui lui permet de maîtriser l’automatisation de la virtualisation, la virtualisation avancée VMWare ou le Cloud Computing AWS.

 

À l’occasion de sa formation, l’architecte Cloud doit aussi obtenir les certifications professionnelles comme CCNP, CCNA, Juniper Certification program ou la certification VMWare.

 

 

Le métier d’architecte Cloud en pratique

 

L’architecte Cloud est activement recherché par les services IT des grandes entreprises ou les recruteurs des agences spécialisées. Il peut donc travailler dans tous les secteurs de l’économie et principalement auprès de multinationales. L’architecte Cloud travaille dans les grandes villes et occupe un poste stratégique très valorisé par les directions d’entreprise.

 

Néanmoins, l’emploi est soumis à une forte pression en raison des enjeux de la sécurisation des données pour les entreprises. Le secteur étant jeune et en constante mutation, l’architecte Cloud doit également savoir effectuer une veille active et performante du domaine : il doit pouvoir anticiper les erreurs et les failles de sécurité ou utiliser les dernières solutions sur le marché.

 

En pratique, c’est un ingénieur informatique très organisé et à l’aise avec les données chiffrées. C’est un bon communicant, il est affable avec les membres de son équipe informatique au même titre qu’avec les collaborateurs de l’entreprise dans sa globalité. Il est aussi amené à interagir avec la direction, auprès de laquelle il doit adopter un argumentaire clair et convaincant pour défendre ses projets.

 

L’architecte Cloud au premier emploi obtient un salaire annuel brut moyen de 40 000 euros. Le confirmé peut voir sa rétribution augmenter à 60 / 70 K€ alors qu’un senior peut gagner près de 100 K€ annuels bruts.

 

L’architecte Cloud bénéficie par ailleurs de nombreuses possibilités d’évolution de carrière. En quelques années, et s’il a la formation suffisante, il peut devenir chef de projet informatique, manager d’équipe ou directeur des services informatiques.

 

 

L’ESGI offre un programme spécialisé en Systèmes Réseaux et Cloud Computing qui se caractérise par sa pédagogie pratique et son rythme en alternance. Les étudiants sortants peuvent exercer comme architecte Cloud dès l’issue de leur cursus.

 

L’architecte Cloud est un professionnel très bien rémunéré et qui peut véritablement contribuer au développement et à la performance de son entreprise. On prévoit d’ailleurs une hausse de 41 % des ouvertures des postes d’architectes Cloud d’ici à 3 ans.

Le Bachelor Informatique accessible Via Parcoursup


Actualité publiée le 5 juin 2023

Moment vif en émotions pour les étudiants de terminale?: les premiers résultats Parcousup viennent de tomber !  

 

© Pexels

Vous n’êtes pas satisfait de ces premiers résultats ? Pas de panique, vous avez jusqu’au 12 septembre pour formuler de nouveaux vœux dans les formations qui ne sont pas complètes. Et c’est le cas de l’ESGI ! 

En effet l’école propose une formation accessible via Parcousup (uniquement pour le campus de Paris). Il s’agit de la première année du Bachelor Informatique, en alternance en contrat d’apprentissage. Elle est présente sur le site sous l’intitulé Chargé de projets en systèmes informatiques appliqués 

Le rythme en alternance permettra aux étudiants de se professionnaliser en acquérant les fondamentaux de l’informatique. Cela va leur permettre de beaucoup mieux s’insérer dans le monde professionnel.  

 

Le Bachelor Informatique  

Le Bachelor en question est constitué de deux années de tronc commun, qui vous dispensera tous lesenseignements dont vous aurez besoin afin de choisir, par la suite, une spécialisation: Science de?l’ingénierie, Développement, Systèmes et Réseaux, Technologie du web, Entreprise et gestion, Outils de communication, Activités annuelles. 

De nombreux projets rythmeront l’annéeafin de donner une dimension plus concrète à l’apprentissage : Modélisation d’un réseau social, Animation d’un robot en trois dimensions, Informatisation d’un cabinet juridique, etc.  

Une troisième année de spécialisation vient compléter ce bacheloravec 9 spécialisations possibles : Architecture des logiciels,Mobilité et Objets Connectés, Intelligence Artificielle et Big Data, Ingénierie de la Blockchain, Ingénierie du Web, Ingénierie de la Réalité Virtuelle et Jeux Vidéo, Systèmes, Réseaux et Cloud Computing, Sécurité Informatique et Management & Conseil en Systèmes d’Information 

Cette formation est aussi accessible en Initiale (avec des cours en temps plein seulement et pas d’alternance)et la candidature se fait directement via notre site. Il estégalement possible d‘intégrer le bachelordirectement en 2èmeou 3ème annéesi vous avez suivi une formation équivalente et que vous avez validé votre/vos année(s).  

 

Pourquoi choisir l’ESGI??  

L’ESGI est une grande école d’informatique présente dans10 grandes villes de France. Elle propose des formationsen alternance, qui est une réelle plus-value aux yeux des futurs recruteurs. En effet, les étudiants se familiarisent,dès leurs études, avec lemonde professionnel etaccroissentleur expertise dans différentsdomaines de l’informatique.  

L’entrée à l’ESGI se fait sur concours, mit à part la première année de bachelor en alternance, en contrat d’apprentissage. Toutes les autres formations sont hors Parcoursup 

C’est pourquoi, si les réponses liées aux admissions de Parcoursup ne répondent pas à vos attentes, il ne faut pas se décourager. S’intéresser et tenter des formationshorsParcoursup comme celles de l’ESGI est peutêtre la solution qui vous conviendra?! Alors si vous êtes passionnés par le génie informatique, n’attendez plus, candidatez?!

Pourquoi les métiers de l’informatique fascinent ?


Actualité publiée le 2 juin 2023

Depuis ses débuts en 1834, l’informatique n’a cessé d’évoluer. Vitesse d’exécution, puissance de calcul, quantités massives de donnéesSon ascension est sans limite. Et c’est une discipline qui séduit de plus en plus de protagonistes.  

 © Pixabay

Des métiers attractifs 

Au cours des dernières décennies, les métiers de l’informatique ont connu une croissance exponentielle en termes d’opportunités professionnelles et de popularité. De nombreux jeunes sont fascinés par ces métiers, et pour de nombreuses raisons. 

Tout d’abord ce sont des métiers très prisés par les employeurs. Avec l’essor de la technologie et de l’ère numérique, les entreprises ont de plus en plus besoin de professionnels qualifiés en informatique pour répondre à leurs besoins en termes de développement de logiciels, de cybersécurité, de maintenance de matériel informatique, de gestion de données et de bien d’autres domaines. 

 

Ce sont également des métiers qui proposent des rémunérations très intéressantes. Les professionnels de l’informatique peuvent bénéficier de salaires élevés, en raison de la demande croissante de leurs compétences et de leur expertise. 

 

Et lorsque l’on est dans le domaine de l’informatique, on ne risque pas de s’ennuyer, c’est un domaine qui évolue en permanence. Les professionnels de l’informatique sont constamment mis au défi de s’adapter aux nouvelles technologies et aux dernières tendances du marché, ce qui rend leur travail passionnant et stimulant. 

 

Et contrairement à ce que l’on pense, c’est un domaine qui requiert une certaine créativité. En effet les professionnels de l’informatique ont souvent la possibilité de travailler sur des projets créatifs et innovants, tels que la conception de jeux vidéo, la réalité virtuelle ou la création de plateformes de médias sociaux. 

 

Enfin, il est indéniable que les métiers de l’informatique ont un impact positif sur le monde : les professionnels de l’informatique peuvent contribuer à résoudre des problèmes sociaux et environnementaux, en développant des technologies durables et innovantes, ou en créant des solutions pour les personnes en situation de handicap. 

 

 

Des métiers aux opportunités multiples 

Faire le choix d’un métier dans l’informatique, c’est également s’offrir la possibilité d’avoir de très nombreuses opportunités au cours de sa carrière. 

 

En effet, ce sont des métiers qui offrent des opportunités de carrière variées, ils couvrent de nombreux domaines, allant de la programmation, du développement web et de l’ingénierie logicielle à la gestion de projet, la cybersécurité, la science des données et l’analyse. 

 

Ce sont également des métiers qui offrent une grande flexibilité, un certain nombre d’entre eux permettent aux professionnels de travailler de manière indépendante, en freelance ou à distance, ce qui offre une grande flexibilité pour concilier vie professionnelle et vie personnelle. 

 

Enfin, c’est un secteur qui permet des mouvements à l’étranger facilité, avec de nombreuses opportunités de travail à l’international. Avec la mondialisation, les entreprises ont besoin de professionnels de l’informatique qualifiés pour travailler dans des environnements multilingues et multiculturels. 

 

 

En somme, les métiers de l’informatique fascinent de plus en plus en raison de la demande croissante de professionnels qualifiés dans ce domaine, de la rémunération élevée et des opportunités de carrière variées qu’ils offrent. De plus, leur impact positif sur le monde et leur constante évolution en font un choix de carrière attrayant pour de nombreux jeunes. 

 

 

Grâce aux programmes informatiques dispensés à l’ESGI, les adeptes de l’informatique auront l’embarras du choix pour se former. En effet, l’école propose neuf spécialisations différentes dès la 3ème année avec la possibilité de faire de l’alternance dès la première année afin de se professionnaliser rapidement et de s’assurer une carrière florissante dans un domaine porteur. 

 

 

 

Laval Virtual : le plus grand événement dédié aux technologies immersives depuis 1999


Actualité publiée le 30 mai 2023

Du 12 au 16 avril 2023 a eu lieu la 25e édition du Laval Virtual : le salon international qui propose des conférences sur la VR/AR (réalité virtuelle, réalité augmentée). Cet événement rassemble depuis 1999 les adeptes de technologies immersives, à Laval en Mayenne. C’est un lieu de référence pour se questionner, s’inspirer et en apprendre plus sur les technologies immersives. Les étudiants de la filière Ingénierie de la Réalité Virtuelle et du Jeu Vidéo de l’ESGI ont participé à l’événement, notamment au Hackathon de la Limited Time. 

 

  Etudiants laval

 

Le Laval Virtual  

 

Les technologies immersives constituent un domaine en pleine expansion. Face à toutes les interrogations que suscitent ces nouvelles avancées, Laval Virtual fait appel à des experts afin d’éclairer le grand public sur le sujet. Ce salon est l’endroit idéal pour rencontrer des professionnels, des startupeurs, des universitaires, des artistes et de nombreux précurseurs de l’industrie des technologies immersives.  

Au menu :  

  • 5 jours de conférences et expositions, dont 3 jours journées professionnelles (du 12 au 14 avril) 

  • 200 exposants 

  • Plus de 50 conférenciers 

 

Le tout dans un large espace de 5400 m2.  

En 2023, le Laval Virtual a accueilli pas moins de 9500 visiteurs.  

 

Les occasions de se rencontrer et d’échanger sont nombreuses durant l’événement, entre les salons, les soirées et les cérémonies de remise de prix, ce qui favorise le networking. Il est même possible d’utiliser une application de Matchmaking permettant aux participants de se connecter avec des exposants ou d’autres participants. Des soirées mémorables et conviviales sont également organisées, dont une à ne surtout pas manquer, la fameuse Laval Virtual Party !

 

Les visiteurs, peuvent aussi profiter du Recto VRso qui est un festival d’art numérique. On y trouve, l’ART&VR Gallery, exposant les travaux d’artistes internationaux sur une thématique annuelle. Il y a également le OFF, nouvel espace culturel de Laval, offrant à un grand nombre de personne l’opportunité de s’emparer de ce lieu, afin de mettre en avant des projets émergeants. En résumé, le Laval Virtual, ce sont des projets pionniers dans un écosystème pluridisciplinaires avec des opportunités exceptionnelles de networking. 

 

Le Hackathon de 30h de la Limited Time 

 

Le marathon technologique de 30h appelé «?Hackathon?» a eu lieu du 11/04 à 10h au 12/04 à 16h. Il s’agit d’une compétition unique où s’affrontent 10 équipes, dont une seulement ressort gagnante. Le but est de développer une application 3D en temps réel sur un thème imposé. Cette année, le thème était      « XR collaborative pour l’industrie ». Les équipes ont profité des conseils d’experts et de tout le matériel nécessaire à la réalisation du projet. Ces dernières étaient composées de 4 étudiants et d’un Mentor (coach), qui était généralement leur professeur. Le thème se divise en 10 sujets différents : Multisites, Jumeaux numériques, visualisation de données, Traçabilité, Confiance et sécurité, Apprentissage, Sobriété énergétique, Optimisation de Production, Implantation géographique et Communicabilité des Processus. 

 

L’annonce des vainqueurs eu lieu le 12/04 à 19h et la remise des prix à 20h, au Salon. 

 

Limited Time

 

« La compétition Limited time du Laval Virtual est une expérience formidable et enrichissante pour nos étudiants. Elle leur permet de pouvoir mettre en pratique, dans un contexte compétitif qui peut-être éprouvant physiquement et mentalement, toutes les connaissances acquises durant leur formation à l’école. De plus cela leur permet de travailler sur des sujets d’actualité en particulier dans le domaine des technologies immersives. C’est un évènement auquel on participe chaque année et qu’on renouvellera l’année prochaine avec grand plaisir » dit l’un des professeurs de l’ESGI venu accompagner des étudiants au Limited Time. 

 

Participation des étudiants de l’ESGI 

Les étudiants de l’ESGI, ont créé une maquette interactive en réalité virtuelle, afin de permettre de gérer l’apport en énergie pour une ville générée aléatoirement (de manière procédurale). Tout ceci, en prenant en compte la demande énergétique de la ville, l’environnement externe de la ville avec les contraintes géographiques qui sont liées. L’objectif était de placer des sources d’énergies électriques (Centrale nucléaire, champ d’éoliennes, Barrage hydro-électrique, etc..) en prenant en compte les contraintes géographiques pour fournir l’énergie nécessaire à la ville 

Concernant les compétences, ils ont utilisé le moteur de Jeu Unity3D pour la réalisation, l’application est en réalité virtuelle et en réseau (multijoueur en ligne). Ils ont eu à utiliser Blender (outils de modélisation 3D) et ont réalisé un algorithme de génération procédurale pour créer les villes de manière aléatoire. De plus, ils ont intégré un système de Hand tracking, pour utiliser les mains plutôt que les manettes du casque VR.  

 

 

Si vous êtes passionnés par la réalité virtuelle et la réalité augmentée, vous ne pouvez pas passer à côté du festival international consacré à ce sujet. Le Laval Virtual vous offrira une expérience inédite et enrichissante. Il vous permettra d’approfondir vos connaissances concernant ces technologies en pleine expansion. Ce sera également un moyen de rencontrer des experts et d’agrandir votre réseau professionnel ! Restez informé pour ne pas manquer l’édition de 2024 !  

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