Comment maîtriser le développement web ?


Actualité publiée le 14 mars 2023

Le développement web est la discipline de la maîtrise des codes de programmations permettant de faire fonctionner un site Internet au niveau conceptuel : balisage et code général. Il comprend l’élaboration de scripts, de même que la configuration de la sécurité du réseau. Comment maîtriser le développement Web afin de faire carrière dans le secteur ?

 

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© Pexels

 

 

Qu’est-ce que le développement Web ?

Les méthodes et les outils du développement Web permettent de créer des pages brutes pour les sites Internet, les applications Web et mobile ou même des interfaces de e-commerce. Les entreprises ont généralement recours au développement Web pour créer une interface unique qui leur ressemble, qui développe leur visibilité et qui leur permet d’assurer leurs activités en ligne.

 

On considère qu’il existe trois grands types de développement web : front-end, back-end et full-stack.

  •  Le développement web front-end concerne la partie visible par les internautes. Ce sont les éléments avec lesquels ils agissent : boutons de clic, menus déroulants, etc. Il s’agit d’une spécialisation professionnelle à part entière, prise en charge par les développeurs web ou les web designers. Sa maîtrise requiert une connaissance pratique et approfondie des codes HTML, CSS et JavaScript. Le front-end comprend par ailleurs des éléments techniques du SEO (le référencement naturel du site, ou les éléments textuels permettant une bonne indexation de la plateforme), de la conception graphique, de la retouche et de l’intégration d’images, etc. Dans le développement web front-end, ce qui est important, c’est le design, l’ergonomie et l’accessibilité du site. Ce sont les professionnels de cette branche qui s’occupent de l’adaptabilité d’un site à une navigation web ou mobile, par exemple (c’est le responsive design).

 

  •  Le développement web back-end correspond au code qui s’exécute en arrière-plan et de manière invisible. C’est la partie de code informatique qui contrôle la manière dont s’exécutent les fonctionnalités du site côté serveur. Plus concrètement, il s’agit décrire le code qui alimente les bases de données et les applications que comprend le site Internet. Les langages de programmation sont alors très complexes : Python, PHP ou SQL pour la gestion des data bases.

 

  •  Le développement web full-stack regroupe ces deux spécialités. Bien souvent, les professionnels du développement web exercent en full-stack dans des entreprises de moindre envergure, au sein desquelles ils endossent de nombreuses missions.

 

 

 

Développement Web et langage de programmation

Il existe de nombreux langages de programmation qu’il faut impérativement maîtriser pour exercer dans le développement web.

Dans le développement front-end, l’HTML, le CSS et JavaScript sont incontournables.

 

 

  •  Le code HTLM est un langage d’intégration qui permet de diviser une page en titres, sous-tires ou paragraphes. Grâce à ce code, la page et son contenu textuel s’affichent de manière organisée.
  •  Le CSS est utilisé conjointement à l’HTML. Il indique au navigateur comment afficher le contenu de la page : positionnement des éléments, taille du texte, couleurs, etc.
  •  JavaScript est le code de programmation qui rend le site dynamique. Les extraits de code écrits en Java sont généralement intégrés à la structure en HTML.

 

 

Le développement web back-end utilise principalement avec Python, PHP Java ou Ruby :

  • Le PHP est le langage le plus populaire. Il permet de créer des boîtes de dialogue en réponse aux actions des internautes ou d’intégrer des fonctionnalités chatbot. Il offre de créer tous les éléments du web dynamique comme les animations au passage du curseur.
  •  Python est un langage à usage généraliste et peut être utilisé pour presque tous les besoins du développement web. C’est un code très performant pour l’automatisation.
  •  Ruby est aussi un langage généraliste, mais il est plébiscité pour le développement d’applications en raison de ses très hautes performances en analyses des données, notamment.

 

 

 

Le développement Web et le métier le Web développeur

Le développeur Web est le professionnel en charge de la création d’un site Web ou d’une application. Il participe à la conception de son projet en déterminant la faisabilité des propositions de son client et en lui proposant un produit véritablement en phase avec ses besoins : objectifs de vente, d’accroissement de sa visibilité en ligne, adaptation à son audience cible, accessibilité et fonctionnalités, etc.

Le développeur web, en pratique, suit les lignes directrices de l’équipe de conception qui ont été résumées au cahier des charges. Il traduit donc des objectifs stratégiques en lignes de code. Le développeur web sélectionne par conséquent le langage le plus propice à ses objectifs : Java pour les éléments animés ou HTML pour la mise en page.

 

La pipeline de production du développement web se spécialise en raison de la haute technicité de la discipline et des langages de programmation. Sur les grands projets de développement web, on voit donc plusieurs développeurs spécialisés travailler en collaboration. Chacun supervise un élément de la conception de l’interface.

 

 

 

Comment apprendre à maîtriser le développement web ?

Vaste, riche et technique, la maîtrise du développement web requiert de se former au plus haut niveau. Il est conseillé de suivre un parcours universitaire complet constitué d’un cycle de Bachelor et de Mastère en ingénierie informatique.

 

Grâce à ces cursus d’exception, supervisés et animés par les établissements spécialisés, les étudiants désireux de maîtriser le développement web découvrent et approfondissent toutes les disciplines et les outils du secteur :

  • Frameworks : étude du langage PHP, Python, Symfony ou MongoDB.
  • Sécurité informatique,
  • Gestion de projet et conception web : designs patterns, tests unitaires, etc.
  • Principes de la communication en ligne, suivi de réunion et méthode Agile.

 

Le développement web étant caractérisé par son aspect pratique, il est préconisé d’opter pour un cursus en alternance.

 

L’ESGI, la première école l’ingénierie informatique en alternance propose un programme de formation complet en 5 ans permettant de maîtriser le développement web. La spécialisation ingénierie du web comprend tous les modules d’apprentissage de la disciple et sa pédagogie pratique permet de trouver un emploi dès l’obtention de son diplôme.

 

 

Un développeur web débutant obtient généralement une rétribution aux alentours de 3700 euros mensuels bruts. Après une dizaine d’années d’expérience, et en tant qu’expert senior, ce chiffre peut parfois aller jusqu’à 60 000 euros annuels bruts.

Interview : Adrien Morin, directeur pédagogique et passionné


Actualité publiée le 10 mars 2023

Rencontre avec Adrien Morin, directeur pédagogique de la filière Ingénierie du Web et passionné par son métier.  

« Ce dont je suis le plus fier, c’est certainement d’en être arrivé là professionnellement.», Adrien Morin 

 

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© ESGI

 

Présentez-vous-en quelques lignes. 

Bonjour, je m’appelle Adrien Morin, directeur pédagogique de la filière Ingénierie du Web à l’ESGI et passionné d’innovation technologique. Quand j’écris ces mots, je suis impressionné par l’arrivée massive des IA (précisons que l’ensemble des phrases ne sont pas généré par unrobot). 

 

 

 

Quelle est votre fonction au sein de l’ESGI ? 

Au sein de l’ESGI, je suis professeur et directeur pédagogique de la filière Ingénierie du Web. 

Mon travail consiste à assurer la conception du programme de la filière, à recruter les intervenants et les positionner sur les différents cours, à gérer les échanges entre les différentes entités liées à la filière et à faire le suivi pédagogique des étudiants. Le tout en donnant des cours aux étudiants sur mes spécialités, ce qui me permet de connaître mes étudiants (pour le meilleur et pour le pire…). 

 

 

 

Comment se déroule une journée type d’un directeur pédagogique à l’ESGI ? 

Jamais comme celle de la veille ! Voilà ce qui pourrait résumer pourquoi j’aime ce métier aujourd’hui, nos journées ne se ressemblent pas, elles sont riches de tâches diverses et variées. En soit, on jongle entre donner des cours, faire de la veille, travailler sur l’ingénierie pédagogique de notre filière et en parallèle gérer les problématiques du quotidien pour faire en sorte que nos étudiants se sentent bien au sein de leur parcours scolaire. 

 

 

Pourquoi avoir choisi l’enseignement à l’ESGI ? 

En 2017, je terminais mon mastère en Ingénierie du Web et je donnais déjà quelques cours sur internet ou dans le cadre du laboratoire web de l’ESGI (des cours entre étudiants pour résumer). C’est donc assez naturellement que j’ai proposé à l’ESGI d’intervenir l’année suivante. D’un premier module de 30 heures, je suis passé, en quelques années, intervenant dans plusieurs écoles du Réseau GES. Bref, j’ai été piqué par la transmission de compétences très rapidement après mes études et il me semblait logique de rester dans l’école qui m’a tant donné. 

 

 

De quel projet êtes-vous le plus fier ? 

Ce dont je suis le plus fier, c’est certainement d’en être arrivé là professionnellement parlant. 

A la fin de mon collège, j’étais un élève moyen et quelque peu perturbateur. Comme souvent dans mon cas, on ne me promettait aucun avenir (petit clin d’œil à ma CPE de l’époque !). 

Donc c’est pour moi une vraie revanche d’être aujourd’hui à la direction d’une filière en études supérieures. Et cela fait toujours autant rire mes camarades de l’époque quand ils apprennent que je travaille maintenant dans la pédagogie ! 

 

 

Racontez-nous votre parcours professionnel. 

J’ai toujours aimé l’idée d’entreprendre, c’est donc juste après mon lycée que j’ai lancé mes premiers projets professionnels avec une petite agence web. Par la suite et durant ma dernière année à l’ESGI, j’ai monté une première société avec mes deux meilleurs amis, puis quelques années plus tard une seconde. En parallèle, je donnais des cours pour me permettre de vivre sans toucher aux finances de mes entreprises. Aujourd’hui, les deux entreprises sont fermées et j’ai commencé une nouvelle aventure (pédagogique cette fois-ci) au sein de l’ESGI tout en gardant quelques clients de ma première agence web. 

 

 

Qu’est-ce qui vous a poussé à être dans l’informatique ? 

Cela remonte à loin, car c’est vers l’âge de 13 ans que j’ai construit mes premiers ordinateurs pour geeker ! Et c’est bien l’amour des jeux vidéo en ligne qui m’a poussé à être dans ce domaine. En effet à 16 ans, j’ouvrais mon premier serveur en ligne d’un jeu (Ragnarock pour les connaisseurs), avec création de site et développement d’améliorations du jeu. A cette époque, je ne comprenais pas tout ce que je codais, mais ça marchait car nous avions 1500 joueurs chaque jour sur le serveur. 

 

 

Pourquoi recommanderiez-vous l’ESGI ? 

Parce que c’est la meilleure école pardi ! Plus sérieusement, beaucoup d’écoles sont très bien, mais l’ESGI possède une vraie analyse des besoins du marché et propose, en ce sens, une formation avec des programmes en constante évolution et d’excellents débouchés pour nos étudiants. De plus, en tant qu’étudiant, je trouve que cette école arrive à proposer un parfait équilibre entre la pédagogie de cours et les projets à réaliser permettant d’obtenir une expertise technique de haut niveau. 

 

 

Avez-vous des conseils à donner aux futurs étudiants ? 

Les conseils que j’aimerais donner sont en rapport avec mon parcours. Soyez passionnés et impliqués sur l’ensemble des actions qui vous permettront d’aller de l’avant, aussi bien dans votre vie personnelle que professionnelle. Et ce que je répète à bon nombre d’étudiants, c’est que, pour moi, l’une des meilleures façons d’apprendre est d’accepter de se tromper, l’échec est une force dès l’instant que l’on arrive à rebondir en apprenant de celui-ci. 

 

 

Avez-vous une anecdote à nous raconter ?  

Ma première expérience de cours était au sein d’une autre école à Paris. A ce moment-là, j’étais étudiant en mastère et il m’est même arrivé de sécher des cours pour aller donner cours ou faire passer des soutenances 

 

 

Un grand merci à Adrien pour son témoignage, nous promettons de ne pas révéler son anecdote à ses étudiants à qui cela pourrait donner des idées ! 

Avoir dans ses équipes des personnes passionnés par le métier qu’ils exercent est une évidence pour l’ESGI car ce sont les garants de la réussite de nos étudiants. L’école est à la fois un lieu d’apprentissage, d’expérimentation mais aussi de partage et d’échange. De plus, grâce à ses neuf spécialisations, l’ESGI couvre de nombreux domaines de l’informatique et forme ses étudiants au plus près de la réalité du marché. 

Quels sont les différents types de systèmes informatiques ?


Actualité publiée le 7 mars 2023

L’expression « système informatique » désigne l’ensemble des moyens matériels, informatiques et de télécommunications qu’utilise une entreprise dans le cadre de ses activités professionnelles (traitement, stockage, acheminement des données ou encore modes de communication). Le SI comprend également les moyens humains mis en œuvre pour assurer son fonctionnement, son déploiement et ses mises à jour. Le système informatique permet de mieux gérer ses ressources ainsi que de communiquer et de traiter ses activités administratives. Il en existe donc différents types : zoom sur les 6 principaux.

 

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© Pixabay

 

Le système informatique d’aide à la décision

Ce SI, parfois appelé decison supprt system est utilisé comme une aide pour définir de nouvelles orientations stratégiques. En pratique, le système informatique va alors résoudre des problèmes à la place des dirigeants en leur fournissant directement des résultats schématisés, propres à clarifier la situation et à désigner la meilleure solution.

 

Le système de contrôle des processus métier

Ce SI supervise la surveillance, du contrôle et de la gestion en temps réel du processus d’industrialisation d’une entreprise. C’est donc une catégorie fortement utilisée dans l’industrie 4.0.

Le système de gestion des informations 

Également connu sous son appellation anglaise Management Information System, cette solution collecte et gère de l’information. Ce SI permet alors d’obtenir une vision globale et claire de l’entreprise, notamment au moment des prises de décisions importantes.

 

Le système d’information exécutif

Ce SI offre d’accéder à l’ensemble des données en la possession d’une structure au sujet des informations qu’elle produit (de manière interne ou externe).

 

Le système de traitement des transactions

Le TPS gère tout ce qui a trait à l’organisation de la structure. Il stocke et traite donc les transactions nécessaires au quotidien au fonctionnement de l’entreprise.

 

Le système de collaboration commerciale

Ce SI permet de gérer et de suivre les informations qui transitent au sein d’une même organisation.

 

Pourquoi catégoriser les systèmes informatiques ?

Si les systèmes informatiques comprennent tous les mêmes composantes (matériels, humains et logiciels), c’est donc leur utilisation qui fait varier leur forme et leurs fonctionnalités.

 

On peut alors aussi distinguer les systèmes de conception, qui ont un fonctionnement en temps réel et les systèmes de gestion, qui appliquent des méthodes d’administration d’entreprise. C’est aussi pour cette raison que l’on distingue les systèmes informatiques personnels, d’organisation et de contrôle / commande. Ces différences font in fine varier les dispositifs à intégrer aux SI, leur puissance ou leurs potentialités de paramétrage, etc.

 

Ces différenciations entre les divers systèmes informatiques permettent de mieux paramétrer les infrastructures en place et d’opérer des modifications architecturales offrant un meilleur rendement des infrastructures informatiques. Catégoriser les SI permet également d’y appliquer des procédures de sécurisations spécifiques : gestion des accès, mise en place des pare-feux, micro-segmentation, etc.

 

Les techniciens informatiques, qui travaillent à la conception des SI, leur dépannage ou leur sécurisation se doivent de connaître ces différences structurelles et fonctionnelles afin d’y appliquer les bons protocoles.

 

L’ESGI propose à ce titre des formations en ingénierie informatique dont un Mastère Systèmes Réseaux et Coud Computing qui permet, grâce à l’alternance, de bien comprendre les diverses catégories de SI pour savoir intervenir sur toutes les infrastructures informatiques actuelles.

 

Pour les professionnels de l’informatique, il est important de bien différencier les systèmes afin de véritablement en faire un atout compétitif dans le cadre des activités professionnelles de son entreprise.

DevCon n°18 : La quantique à l’honneur


Actualité publiée le 2 mars 2023

Le 23 février dernier a eu lieu la 18ème édition de la conférence développeurDeVCon à l’ESGI. Le thème de cette nouvelle édition étai: La Quantique. Immersion au cœur de la DevCon100% Quantique. 

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© ESGI  

La Quantique, un sujet qui passionne 

C’est quoi la quantique en informatique ? 

La quantique en informatique est un domaine qui réunit une multitude de disciplines comprenant des aspects de l’informatique, de la physique et des mathématiques qui utilisent la mécanique quantique pour résoudre des problèmes complexes plus rapidement que sur des ordinateurs classiques.

 

Organisé par le magazine Programmez, le magazine des développeurs depuis de nombreuses années, et accueilli de nombreuses fois à l’ESGI, l’évènement séduit et rassemble chaque fois des centaines de passionnés et d’étudiants. Pour cette nouvelle édition, c’est la Quantique qui a été mise à l’honneur. 

En présence de François Tonic, rédacteur en chef du magazine « Programmez », les participants ont pu interagir et échanger toute l’après-midi sur les questions de la Quantique. « Qu’est-ce que le quantique ? Quels usages ? Quels impacts pour les langages et les développeurs ? ». 

 

« Nous sommes à l’ESGI pour organiser cette conférence, car c’est une école que l’on connait bien. C’est la 5ème fois que nous organisons nos conférences ici. Plus largement nous tenons à ce que nos conférences se réalise dans l’école. Il est primordial que les étudiants et les étudiantes soient présent. De voir ce qu’il se passe en s’ouvrant vers leur futur métier. Ça permet également aux étudiants de rencontrer les vrais experts, de rencontrer d’autres personnes et d’échanger sur un monde qui va être le leur dans quelques années. Donc pour nous, c’est vraiment essentiel. », explique François Tonic, rédacteur en chef du magazine Programmez depuis 22 ans. 

Un programme riche  

Durant toute l’après-midi, de nombreux sujets autour de la programmation quantique ont été abordés: 

  • Les concepts de base 

  • Découvrir Qiskit  

  • En quoi un ordinateur quantique est quantique 

  • La solution quantique d’ATOS 

  • Le Quantique et le machine Learning 

 

Pour échanger sur le thème « Un autre ordinateur dans le futur ? », Vivien Londe, Quantum software Engineer au sein de l’entreprise Microsoft est venu interagir avec les étudiants et les invités de cette conférence. 

 

Par la suite, c’est Benoît Prieur, Software Engineer et auteur du livre « Informatique quantique » paru le 5 février 2019, qui aa nimé un talk « Quantique : les concepts de base » et sur « myQLM/AQASM la solution quantique d’ATOS » avant de se prêter au jeu des questions sur ce sujet avec enthousiasme 

 

Jean-Michel TorresQuantum Computing Ambassador chez IBMest intervenu sur « La Découverte Qiskit et en quoi un ordinateur quantique est quantique ». Il a ensuite échangé avec les participants qui avaient de nombreuse question sur ce framework conçu par IBM et permettant de coder en langage Python. 

Aziz Ngoueya Akanji Benga, Consultant chez IBM interactive a pris la suite afin de parler de « Quantique & machine learning ». 

 

Pour finir Jean-Michel Torres est de nouveau venu animer un atelier autour du problème de « Monty Hall, simulation python vs ordi quantique : qui va gagner la voiture ? ». Un réel succès, puisque les participants se sont prêtés volontiers à l’exercice. Cet atelier a permis aux étudiants et aux participants présents d’apprendre autrement et de façon « ludique ». 

 

 

L’ESGI est honoré de recevoir ce type d’événement dans ses locaux. Faisant partie intégrante de la pédagogie de l’école, chaque DevCon permet aux étudiants d’élargir leurs connaissances et leur permet de pouvoir interagir directement avec les professionnels du secteur. Donner l’opportunité aux étudiants de s’ouvrir sur un monde qui sera prochainement le leur est essentiel pour l’ESGI.  

Développeur informatique : un métier qui a le vent en poupe


Actualité publiée le 28 février 2023

Le développeur informatique, c’est un expert des langages informatiques sous toutes leurs formes. C++ ou Java : c’est lui qui traduit les attentes des clients en des lignes de code exécutées par la machine pour créer des logiciels ou des applications web. Analyse technique, conception de programmes sur mesure, tests et essais : quelles sont ses missions et comment exerce-t-il ?

 

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Développeur informatique : exercer dans le web

Le développeur informatique peut s’expertiser dans le web et développer de nouvelles applications Internet ou mobile. Sous la responsabilité de son chef de projet, c’est lui qui rédige la fiche technique du produit à concevoir. Pour y parvenir, il suit une méthode rigoureuse qui consiste à analyser et à définir les besoins de ses clients puis à proposer des solutions techniques spécifiques.

 

Lorsqu’il crée son application, le développeur informatique rédige les lignes de code proprement dites. Il définit les règles de navigation, crée les liens entre les diverses pages et optimise les fonctionnalités de son produit. C’est également le développeur informatique qui est chargé d’effectuer les phases de tests et de correction de ses versions d’essai.

 

Le développeur informatique peut décider de se spécialiser dans la manipulation d’une seule et unique technologie ou choisir de devenir développeur multiplateforme.

 

Développeur informatique de logiciel : les missions

Le développeur informatique peut aussi œuvrer à la création de supports logiciels et de programmes informatiques à destination des professionnels ou du grand public. Dans ce cas de figure, il travaillera sur des logiciels « applicatifs » (qui effectuent une tâche précise) et / ou des logiciels « système » (qui effectuent des opérations en lien avec un système informatique).

 

Ses missions resteront les mêmes : analyse des besoins, détermination des objectifs et des moyens pour résoudre les problèmes de ses clients. Il effectuera également les phases de test et prendra en charge le maintien et le dépannage de ses produits.

 

Naturellement, c’est un fin expert des langages comme Python, JavaScript, SQL ou encore C#. Il maîtrise les protocoles des principaux SI existants et connaît le fonctionnement des ERP et des progiciels de gestion intégrée. Pour trouver un emploi, le développeur logiciel doit compléter ces connaissances techniques avec des compétences métier fortement recherchées par les recruteurs du secteur. C’est notamment pour cette raison que les développeurs informatiques suivent des formations spécialisées post-bac.

 

Développeur informatique : évolutions

Le métier de développeur informatique de logiciel ou d’application web est en forte demande. Ce professionnel doit donc maîtriser les langages, les environnements de développement (J2EE, IDE, etc.), les frameworks adaptés à son produit et aux méthodologies de projet du milieu informatique (dont les méthodes Agile).

 

Techniquement plus complexe qu’auparavant, le métier requiert de connaître parfaitement un nombre important d’outils informatiques et de méthodes de développement et de programmation. Il faut aussi pouvoir intervenir sur différents systèmes d’exploitation, ce qui requiert une grande flexibilité opérationnelle.

 

 

Pour s’assurer que ses étudiants parviennent à trouver un emploi de développeur informatique, l’ESGI propose ses parcours Architecture des Logiciels et Ingénierie du Web en alternance.

 

La rémunération moyenne d’un développeur informatique après 3 à 5 ans d’expérience se situe aux alentours des 43 K€ annuels.

Meet- Up : Les femmes dans la tech


Actualité publiée le 24 février 2023

Pour la seconde fois, les femmes sont à l’honneur dans la tech à l’ESGI ! Retour sur un Meet Up riche en échanges et en information grâce à quatre intervenantes issues de l’univers tech. 

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Lors de cette conférence, quatre intervenantes travaillant dans la tech sont venues partager leurs expériences respectives. Chacune avec des parcours riches et différents.  

Parmi les intervenantes, Suchitra Ambegaonkar, Software Engineer au sein de D-EDGE Hospitality Solutions, a suivi un parcours informatique en Inde dans une école réservée aux femmes et a travaillé à Capegemini, une entreprise qui accompagne les organisations à travers le monde dans leur transformation en exploitant toute la puissance de la technologie. 

Maïmouna Becart, quant à elle, a monté sa propre entreprise dans la tech. Cette dernière consiste à rassembler tous les prestataires utiles pour organiser un mariage : Cezame Mariage. En parallèle, elle est aussi directrice exécutive de l’entreprise Time To Start qui met en avant les porteurs de projet issus des territoires les moins favorisés. Autodidacte, elle n’a pas réalisé son parcours dans le secteur informatique mais a décidé d’apprendre  par elle-même afin de pouvoir monter sa propre plateforme. 

Alexandra Pierin est étudiante en master à l’école ETN. Elle a tout d’abord fait un bac L puis s’est dirigée vers une université de Lettre. Après son parcours universitaire, elle décide finalement de se reconvertir dans la filière informatique, où elle s’épanouie. 

Laure Laguzet, a suivi un cursus informatique en commençant par un DUT puis une école d’ingénieur. Elle a ensuite créé, avec son associé, sa propre entreprise le Groupe Symposia. 

 

Durant l’échange, les quatre intervenantes ont soulevédes points importants sur la présence des femmes dans le domaine de la tech. 

 

 

La présence des femmes dans la tech 

Le choix de la tech n’a pas toujours été un choix évident pour ces quatre intervenantes, cependant certaines d’entre ellesavaient des contacts dans la tech ce qui a facilité cette décision. 

Même celles n’ayant pas d’entourage proche appartenant au domaine de la tech, ont choisi ce domaine pour pouvoir réaliser leurs objectifs de carrière, le marché étant en croissance constante. En effet, le monde est en pleine digitalisation et les emplois dans le secteur de la tech ne sont pas toujours mis en lumière 

Il n’y a pas que le développement et la cybersécurité. L’application de la tech est très vaste. Prendre le temps d’enseigner aux étudiants, avant leurs études, tous les choix de carrière possible est primordial. 

 

 

Comment expliquer le peu de femme dans le secteur ? 

Bien souvent, les femmes attendent d’avoir 150% des critères demandés dans une offre d’emploi pour postuler. Alors que du côté des hommes, même s’ils ne les remplissent qu’à 50%, ils n’hésitent pas à tenter leur chance.  

Le principe d’avoir des rôles modèles pourra donner plus de confiance aux femmes qui souhaitent choisir cette voie.  C’est notamment pour cela que le groupe, Women In Techa été créé pour rassembler les femmes du monde entier afin d’avoir plus de soutien dans un secteur qui est encore pauvre en présence féminine. 

Le principe des quotas en entreprise permet également d’intégrer plus de femmes, ce qui est un bon point pour propulser ces dernières dans cet univers. Néanmoins en 2023, elles ne sont toujours pas nombreuses à postuler dans le secteur de la tech.  

Lors de l’échange autour du salaire, les intervenantes ont bien précisé qu’il été important voire primordial de se renseigner sur ce qui est proposé sur le marché. 

Bon à savoir : Certaines entreprises ont mis en place le principe de la transparence des salaires ce qui permet aux femmes et aux hommes d’avoir une égalité dans les salaires lorsque le travail effectué est identique. 

 

Parlons chiffres  

Pour clôturer le Meet Up, une présentation avec des chiffres intéressants sur la présence des femmes dans la tech a été proposé : 

  • 24% des emplois en informatique sont occupés par des femmes. 

  • 55% des femmes commencent au bas de l’échelle dans l’entreprise contre 39% chez les hommes. 

  • 78,6% du code écris par des femmes est accepté sur GitHub si le sexe est masqué, 4% de plus que les hommes. 

  • 20% des femmes âgées de 35 ans ont un emploi junior. 

  • 40% des femmes ayant un diplôme d’ingénieur quittent leur travail dans la tech peu de temps après y avoir été acceptées. 

  • Seulement 19% des diplômés en STIM sont des femmes. 

  • 11% des ingénieurs sont des femmes.  

Une aventure édifiante.  

 

« Les femmes dans la tech ne sont pas nombreuses pourtant elles souhaitent activement mettre en lumière qu’il s’agit d’un métier autant pour les hommes que les femmes. Les rôles modèles sont un pilier de l’avancement de la présence des femmes dans la tech, nos intervenantes ont chacune représenté un parcours unique et différent. Nous espérons que grâce à ce Meet Up, les femmes pourront décider leurs choix de carrière sans prendre en compte les préjugés et réaliser ainsi leur objectif.» 

Odessa Chesneau, étudiante en 5ème année Ingénierie du Web à l’ESGI 

 

Un grand merci à Naty Ghanem, Rina-Myriam HARROCH, Dan Levy et Odessa Chesneau pour avoir organisé cette rencontre ! Il est essentiel pour l’ESGI de permettre aux étudiants d’animer des événements comme ce Meet Up, qui permet à de nombreuses personnes de découvrir de nouvelles choses pour les aider dans leur choix de carrière.  

 

Tout comprendre sur la cryptographie


Actualité publiée le 21 février 2023

L’expression « cryptographie » comprend l’ensemble des techniques de chiffrement des messages qui permettent de les rendre inintelligibles sans la méthode de décodage. Ses prémices remontent à l’antiquité, mais quelles sont ses potentialités dans le monde informatique contemporain ?

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La cryptographie : principes de base

La cryptographie fait partie de la science de la cryptologie. Son principe fondateur est de coder un message et de le déchiffrer u moyen d’un code, d’une clé ou d’une méthode connue des deux contacts. Dans la cryptographie, on distingue deux méthodes de déchiffrement : la première qui utilise les algorithmes à clés secrètes et la seconde qui a recours aux clés publiques.

 

Le chiffrement à clé secrète, également appelé « chiffrement symétrique », permet de déchiffrer un message avec une seule et même clé. Très rapide, il requiert que l’émetteur et le destinataire s’accordent sur le système de code commun et se la transmettent par un canal sécurisé.

 

 Le chiffrement asymétrique (ou à clé publique), quant à lui, nécessite que le futur destinataire ait une paire de clés (l’une publique et l’autre privée). Dans ce cas de figure, si l’émetteur utilise sa clé publique pour coder son message, son destinataire devra utiliser sa clé privée en vue de le comprendre. Une clé sert alors à crypter et l’autre à déchiffrer l’information.

 

 

Quelles sont les potentialités de la cryptographie en informatique ?

Dans l’informatique, la cryptographie représente un enjeu colossal en termes de confidentialité des échanges et des données en ligne. Son importance a très vite été mesurée par les ingénieurs qui ont transposé les principes classiques de la cryptographie en algorithmes.

Auparavant, les ordinateurs interagissaient via des réseaux sociaux, ce qui rendait l’espionnage de données très aisé et régulier. Dorénavant, la cryptographie occupe une place importante dans les techniques de cybersécurité : on utilise les principes afin d’authentifier l’expéditeur et le destinataire d’un message ou encore pour assurer l’intégrité des données.

 

Les algorithmes utilisent les mêmes principes que les méthodes de la cryptographie symétrique et asymétrique. Dans la construction des architectures logicielles, la cryptographie tient une place centrale. Les techniciens combinent les techniques de clés secrètes et publiques afin d’assurer la confidentialité, l’intégrité et des données et l’authentification des utilisateurs.

 

Les infrastructures IT des principales entreprises intègrent désormais les principes de la crypto-agilité et accroissent leur niveau de cybersécurité. La cryptographie permet également d’envisager une décentralisation du stockage des informations, ce qui réduit les accès au réseau en cas d’attaque.

 

Les techniciens et les ingénieurs informatiques ont conscience des potentialités de la cryptographie pour la sécurisation des frameworks IT et des données sensibles. Ils se forment, réfléchissent et proposent des innovations permettant d’atteindre une forme de crypto-agilité en mesure de garantir la sécurisation des réseaux sur lesquels ils travaillent. À ce titre, le parcours spécialisé en Sécurité de l’ESGI permet de découvrir et d’étudier en profondeur les principes de la cryptographie afin de les transposer dans les produits informatiques.

 

 

Dans le domaine informatique, le bitcoin est l’actif numérique qui s’appuie sur le principe de la cryptographie le plus connu. C’est sur la base du cryptage et du déchiffrement par clé que cette cryptomonnaie garantit un registre de transaction P2P décentralisé, hébergé dans le cloud et fiable.

Quelles sont les missions d’un développeur blockchain ?


Actualité publiée le 14 février 2023

Désormais, le principe de la blockchain comme enchaînement de blocs de données sécurisées est très utilisé par de nombreuses entreprises en vue de développer des solutions cybersécurisées. Les développeurs blockchain sont donc des professionnels de la programmation très recherchés sur le marché du travail : zoom sur leurs missions.

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© Pixabay

Quelle est la mission principale du développeur blockchain ?

Le développeur blockchain a pour principale mission de développer, coder et tester une architecture blockchain. Afin d’y parvenir, il adopte une méthode spécifique et très technique, qui mêle analyse et programmation informatique.

 

En vue de créer sa blockchain, le développeur spécialisé va commencer sa mission par une analyse des données en la possession de son client, l’observation de son rapport à l’informatique et l’évaluation de ses besoins. Il mettra ensuite en place la juste architecture IT en choisissant ses frameworks ou ses langages de programmation.

Une fois la blockchain créée, le développeur assurera également une mission de maintenance, en assurant le bon fonctionnement de son produit. Il sera donc constamment en lien avec les divers services de son entreprise ou les représentants de ses clients.

 

Développeur blockchain : innover

Si le développeur blockchain doit impérativement savoir maîtriser les outils « classiques » de son métier, il lui faut également endosser une mission d’innovation. S’il travaille pour un éditeur de logiciel, il sera en effet attendu de lui qu’il soit capable de faire des propositions inédites. Il devra donc créer de nouveaux produits numériques, toujours basés sur le principe de la blockchain, mais orientés dans divers secteurs de l’industrie.

 

Il lui faut cumuler un savoir-faire professionnel éclectique afin de se construire une expérience métier lui permettant de bien appréhender l’état des marchés internationaux, les besoins des professionnels et des particuliers et de connaître les dernières propositions logicielles mises sur le marché.

 

Assurer les missions du développeur blockchain : se former

Le développeur blockchain est un spécialiste du développement informatique hautement expertisé dans la technologie de la blockchain. C’est donc un ingénieur informatique de haut vol, qui maîtrise à la perfection les langages de programmation (Python ou Javascript, pour n’en citer que deux) et qui sait construire des frameworks en blockchain.   Naturellement, il a suivi une formation spécialisée dans le système blockchain et connaît à ce titre les langages de codage spécifiques à cette technologie : Solidity et Ether par exemple.

 

À ce titre, le développeur blockchain a suivi une formation spécialisée en Ingénierie de la blockchain de haut niveau académique et technique, à l’instar du parcours spécialisé proposé par l’ESGI. Consciente des besoins de formation de ses étudiants et des attentes des recruteurs du secteur, l’ESGI a mis sur pied un programme permettant de relever toutes les missions du développeur blockchain : étude de la cryptographie, protocoles Bitcoin, Ethereum, management de projet ou encore crypto-économie.

 

Le développeur blockchain, en raison de son haut niveau de compétences et des besoins accrus en recrutement, peut obtenir dès les deux premières années de sa carrière un salaire compris entre 40 et 50 K euros par an. Un senior (qui justifie de 5 années d’expérience), peut se voir proposé une rémunération allant jusque 72 K euros annuels.

ESGI : Journée portes ouvertes du 11 février 2023


Actualité publiée le 10 février 2023

Venez découvrir le campus parisien de l’ESGI lors de la Journée Portes Ouvertes du 11 février prochain de 13h30 à 18h ! L’opportunité d’en apprendre davantage sur l’École Supérieure de Génie Informatique.  

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 © ESGI

Lors de cette journée, toute l’équipe pédagogique et son directeur Kamal HENNOU se feront un plaisir de vous accueillir dans l’école au cœur de la capitale 

Le programme de la journée portes ouvertes est très complet et débutera par une présentation de l’établissement et de ses 9 spécialisations, animée par le directeur Kamal HENNOU. 

Pour poursuivre cette journée, trois ateliers différents seront mis en place pour vous donner un avant-goût des enseignements proposés par l’école?: mise en œuvre de Réseau CISCO, Réalité virtuelle et Développement Swift pour iPhone. 

Pour compléter l’immersion, une présentation du Laboratoire Linux, un système d’exploitation libre et open source basée sur un noyau linux et la distribution Debian, sera également proposé, animé par un étudiant de l’école. 

En parallèle de la conférence et des différents ateliers, vous aurez l’occasion d’échanger avec des Responsables Relations Entreprises pour échanger sur votre projet professionnel et poser toutes les questions nécessaires au bon déroulement de votre projet (l’alternance, le placement en entreprise, les partenariats de l’école…). 

 

 

Présentation des 9 spécialisations dès la 3ème année 

Pour vous aiguiller dans vos recherches de formation, voici une présentation de l’ensemble des spécialisations proposées à l’ESGI. A noter qu’en 1ère et 2ème année, les étudiants sont automatiquement en tronc commun et suivent tous le même cursus afin d’avoir des bases solides et communes quelle que soit la filière choisie par la suite. Exception faîte de la filière Management et Conseil en Systèmes d’Information qu’il est possible de démarrer en 2ème année. 

 

Architectures des Logiciels 

Cette filière a pour objectif de former des ingénieurs en informatique capable de maîtriser des concepts techniques, d’expertise sur les plateformes actuelles (mobiles, lourdes, Web), être capable d’analyser et résoudre de problèmes complexes tout en ayant les capacités de répondre à des problématiques « business » de l’entreprise. 

 

Mobilité et objets connectés

Cette formation a pour but de former des experts en conception et réalisation de solutions matérielles et logicielles. A l’issue de la spécialisation, les étudiants devront être capable de répondre aux nouveaux usages de la mobilité, de la fusion informatique et de la téléphonie, de l’interfaces tactiles et bien d’autres.

 Intelligence Artificielle et Big Data 

 Pour ce cursus, les étudiants seront formés aux méthodes scientifiques et à la modélisation de traitement des données utiles, par exemple dans le cadre de l’environnement, la santé, les transports, la sécurité informatique… 

 

Ingénierie de la Blockchain 

 Cette spécialisation s’adresse aux étudiants désireux d’en savoir plus sur les méthodes de conception et de développement d’architectures. Ces méthodes sont généralement liées aux chaînes de blocs dans des secteurs comme la banque, le trading, le notariat… 

 

Ingénierie du Web 

La filière Ingénierie du Web vise à former les étudiant pour devenir des experts en développement web Full-Stack. En perpétuelle évolution en termes de langages de programmation, le web se doit d’avoir des experts en conséquence. 

 

Ingénierie de la Réalité Virtuelle et Jeux Vidéo 

Ce parcours d’étude forme les étudiants à tous les métiers du développement en Jeux Vidéo, Réalité Virtuelle, Réalité Augmentée, Animation 3D, 3D industrielle, Simulations 3D, jusqu’à la recherche et le développement des métiers du secteurs 3D. 

 Systèmes, Réseaux et Cloud Computing 

Grâce à cette filière les étudiants auront l’expertise nécessaire pour optimiser et garantir la disponibilité, la fiabilité et la sécurité des données à travers les serveurs et la mutualisation Cloud Computing. 

 

Sécurité informatique 

Avec cette formation, les élèves seront aptes à connaître les méthodes d’audits et de tests d’intrusion, d’identification et d’analyse avancée de malwares, de protection et de sécurisation du Système d’Information, assurant donc la stabilité de la sécurité des systèmes informatique. 

 

Management et Conseil en Systèmes d’Information  

La spécialisation Management et Conseil en Systèmes d’Information donnera l’opportunité aux étudiants d’être en capacité de piloter des équipes, de gérer des projets ou de concevoir des solutions adaptées via les systèmes d’information. 

 

 

Vous connaissez désormais toutes les filières proposées au sein de l’ESGI, alors n’hésitez plus, venez rencontrer son équipe et les étudiants ! Rendez-vous samedi 11 février au 242, Rue du Faubourg Saint-Antoine 75012 Paris. 

 

Métro : 1, 2, 6, 9 Station Nation 

RER A : Nation  

Comment maîtriser le logiciel Python ?


Actualité publiée le 7 février 2023

Langage de programmation généraliste, Python peut être utilisé dans le développement d’une multitude de produits. Très performant, comment maîtriser le logiciel Python au niveau professionnel ?

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© Pexels

Python : un logiciel très performant

Python est reconnu dans le monde entier pour être un excellent langage de programmation offrant d’automatiser les tâches répétitives dans l’écriture des scripts informatiques. Il permet de gérer des données, développer des logiciels, écrire des algorithmes ou même administrer l’infrastructure d’une plateforme web.

 

Ses avantages sont multiples, Python est un logiciel très simple à utiliser et à apprendre. Il utilise des fonctions en anglais, il n’est donc pas nécessaire de maîtriser la langue au très haut niveau, mais de connaître les codes dont on a besoin. La syntaxe de Python est également moins lourde et rigide qu’avec d’autres logiciels de programmation. Cette simplicité d’écriture permet de rapidement et aisément trouver les erreurs dans le code, ce qui est essentiel au bon apprentissage de la programmation.

 

Python a donc la réputation d’être un logiciel facile à maîtriser, de nombreux débutants débutent d’ailleurs avec ce logiciel, mais comment faire pour y parvenir à son tour ?

 

 

Comment apprendre à maîtriser Python ?

Après avoir téléchargé Python, il faut choisir le bon logiciel pour développer à partir de ce langage. Appelés IDE (pour Integrated Development Environment), nous pouvons citer PyCharm ou VsCode. Il en existe une grande variété et il est conseillé de procéder à divers essais afin de sélectionner le produit qui convient le mieux à vos besoins, vos attentes et votre niveau de maîtrise.

 

En ligne, il existe de très nombreux cours pour apprendre à programmer sur le logiciel Python. Il en va de même du tutoriel régulièrement mis à jour par les créateurs du langage qui est disponible en ligne. Naturellement, toutes les propositions ne se valent pas et aucune ne permet de maîtriser le programme au même niveau de professionnalisme qu’une formation universitaire spécialisée.

 

En effet, ces formations techniques divulguées par les établissements spécialisés en ingénierie informatique permettent d’accéder à un contenu d’apprentissage clair, structuré et constamment mis à jour. On est donc certains d’apprendre à maîtriser la dernière version du logiciel tout en étant accompagné dans sa découverte du programme et la correction de ses erreurs. Suivre une formation spécialisée permet également de mettre en pratique ses nouvelles connaissances en programmation, en participant à des projets professionnels, des workshops ou des stages en alternance. C’est en effet par la pratique que l’on parvient à une maîtrise professionnelle du logiciel Python et que l’on peut plus aisément trouver un emploi basé sur l’utilisation du logiciel.

 

 

L’ESGI offre à ce titre des formations de très haut niveau académique et technique en ingénierie du web. Son tronc commun, comme sa spécialité Architecture des Logiciels (par exemple) comprend des modules de découverte et d’approfondissement du langage Python.

 

Python est un langage réputé facile à utiliser. Il s’agit cependant d’un logiciel professionnel : pour pleinement maîtriser ses potentialités, il faut impérativement suivre une formation technique et se faire accompagner par des experts en développement et en programmation.

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