Meet-Up : L’intelligence artificielle au service de nos métiers


Actualité publiée le 13 novembre 2023

Comment l’intelligence artificielle (IA) peut-elle nous aider à améliorer nos pratiques professionnelles ? C’est la question à laquelle ont tenté de répondre trois intervenants lors d’un MeetUp organisé par des étudiants de l’ESGI, Jonathan RIVO, Maxime DAUDÉ, Amine ZIANI et Christ MOKONDA. Marketing, développement, programmation : autant de domaines où l’IA peut apporter des solutions innovantes et efficaces. 

 Une image de main robotisé

Image par Haider Mahmood de Pixabay

L’IA au service du marketing

Lydie Catalano, co-fondatrice de l’entreprise IA Marketing, a présenté son activité d’accompagnement des entreprises dans leurs actions marketing grâce à la Data et à l’IA. 

 

Elle a expliqué comment son entreprise utilise l’analyse de sentiments dans les avis clients pour comprendre le besoin utilisateur, éviter les biais d’analyse et personnaliser le parcours. Elle a cité l’exemple de l’algorithme LISA, qui étudie les goûts des clients pour mettre en place une stratégie marketing orientée sur la Data.  

 

Elle a illustré ses propos avec deux cas d’usage : l’accompagnement de l’entreprise Asmodée Group avec le jeu de société Unboxing Now, et l’exploration d’avis du store Google Android. 

 

 

L’IA au service du développement 

 

Ayoub Haddou, développeur en intelligence artificielle, a partagé son parcours de reconversion professionnelle. Il a appris les bases de l’IA chez Simplon.co, école informatique, et a gagné deux concours d’IA.  

 

Il a présenté ses projets personnels et marquants en IA : une application web qui permet d’identifier le type de fruits sur une image, et une application pour suivre l’évolution des candidatures des apprenants de l’école Simplon.co.  

 

Il a également donné des conseils pour apprendre à utiliser l’IA, notamment en maîtrisant le langage Python et les frameworks Flask, Django, Streamlit, Tensorflow, Keras, Pytorch, Scrappy, Selenium. 

 

L’IA au service de la programmation 

 

Jonathan Rivo a conclu enfaiusant un focus surl’outil Copilot, qui propose des suggestions de code pour faciliter le développement. Il a fait une démonstration de l’utilisation de Copilot avec ExpressJS, un frameworkweb pour Node.js.  

 

Il a souligné les avantages et les limites de l’outil, qui se base sur Codex, le système d’IA proposé par OpenAI, qui recherche à travers des millions de lignes de code sur Internet. Il a précisé que l’outil nécessite de savoir coder un minimum dans le langage utilisé pour minimiser la marge d’erreur. 

 

Un meet up réussi et enrichissant 

 

Christ Mokonda revient sur l’expérience de son groupe : “La recherche d’intervenants en amont n’a pas été facile mais nous avons réussi à trouver nos intervenants. Quant à la conférence en elle-même, les rôles de chacun étaient bien définis (régisseur, modérateur, animateur, intervenant supplémentaire) 

 

A titre personnel, nous avons appris un peu plus sur l’IA, ses différents champs et méthodes d’application( DeepLearning, Machine Learning, MLP etc...), comment elle pouvait être utiliséepour améliorer des méthodes de travail dans des domaines autre que l’informatique (ici enl’occurrence le marketing), et en tant que développeur comment elle pouvait nous impacter directement (avec l’exemple de Copilot).
 

 

Pour l’ESGI, il est essentiel de permettre à ses étudiants d’aller plus loin dans leurs connaissances et la maîtrise des sujets vus en cours. Les Meet Up sont donc l’occasion pour eux de se challenger et de travailler des sujets plus en profondeurs, mais aussi de développer des softs skills liés à l’organisation et la gestion de projet. 

 

L’ESGI Cloud Day revient pour sa 10ème édition


Actualité publiée le 8 novembre 2023

Cet événement annuel, organisé par l’École Supérieure de Génie Informatique (ESGI), est une rencontre majeure entre les étudiants de la filière Systèmes, Réseaux et Cloud (SRC) et les acteurs clés de l’industrie du cloud computing. Cette année, l’événement a dépassé toutes les attentes en matière d’affluence, avec la participation de plus de 18 entreprises, la tenue de 12 conférences et la présence de plus de 350 étudiants sur un thème d’actualité : l’IA dans le Cloud.

 

 

 esgi cloud day

Des rencontres autour du Cloud

L’ESGI Cloud Day est bien plus qu’un simple événement. Cette rencontre donne lieu à des moments de partage uniques où les étudiants et les professionnels peuvent échanger, approfondir leurs connaissances et créer des liens précieux. Les participants ont l’opportunité de découvrir les dernières tendances et innovations dans le domaine du cloud computing et de de le faire à travers les témoignages d’experts de l’industrie qui ont une expérience terrain et professionnelle.

 

 

Grâce à ces conférences, les participants ont pu saisir l’impact de l’IA sur le paysage du cloud computing. Elles ont également souligné l’importance de l’IA pour les entreprises, qui leur permet d’exploiter au mieux leurs données et d’automatiser des processus.

 

 

L’événement a été particulièrement enrichissant pour les étudiants de 3ème, 4ème et 5ème année de la filière SRC de l’ESGI, qui ont eu l’opportunité d’ancrer les connaissances acquises lors de leurs cours dans une réalité et de découvrir une mise en pratique réaliste. C’est un bon moyen pour eux de se projeter sur leur futur métier, leur avenir dans ce domaine en plein essor, et aussi de découvrir une autre facette de leur spécialisation pour, peut-être, créer de nouvelles aspirations.

 

 

Un Business Hall était également organisé afin de permettre aux étudiants de rencontrer des recruteurs ou responsable RH de nos entreprises partenaires.

 

 

Des acteurs majeurs du Cloud

 

Des entreprises de premier plan dans le domaine du cloud computing, comme Google, IBM, Claranet, Arrow, Microsoft et Synapsis, ont partagé leurs dernières avancées et expériences en matière de cloud computing. Les conférences ont abordé divers sujets, comme les évolutions du cloud à l’ère de l’Intelligence Artificielle, l’intégration et l’impact du GreenIT dans le Cloud, la protection des applications, l’IA Generative de Google… Des tables rondes ont également permis plus d’échanges direct avec les professionnels.

 

 

Pour Vincent Perrin, Directeur Technique à IBM France, venu animer une table ronde ainsi qu’une conférence sur le rôle de l’IA dans l’IT, ce type de rencontre est essentielle « Je considère qu’il est extrêmement important de partager et de vulgariser les technologies telles que l’intelligence artificielle auprès d’une population d’étudiants », explique-t-il, « L’intelligence artificielle aujourd’hui est clé, pour les entreprises, afin d’être capable de valoriser l’ensemble des données qu’elle génère, qu’elle collecte, mais aussi d’être capable d’automatiser de plus en plus de processus pour gagner en productivité, pour gagner dans l’interaction avec ses clients et ses fournisseurs. C’est un sujet fondamental aujourd’hui pour gagner en compétitivité sur le marché. ».

 

 

L’ESGI Cloud Day est bien plus qu’un simple événement. C’est une expérience d’apprentissage enrichissante qui prépare les étudiants à apprendre différemment, et de gagner en expertise dans le domaine du cloud computing. Nous attendons avec impatience l’édition de l’année prochaine et nous sommes convaincus qu’elle sera tout aussi riche d’échanges.

 

Comment Klaro et Medaviz accompagnent les étudiants de l’ESGI


Actualité publiée le 1 novembre 2023

L’ESGI est fière de collaborer avec deux partenaires exceptionnels, Klaro et Medaviz, qui offrent des services précieux à nos étudiants.

aides

©Unsplah – Toa Heftiba


Klaro : Votre guide vers les aides financières

Klaro est une plateforme innovante qui aide les gens à savoir à quels aides et compléments de revenus ils ont le droit, quelle que soit leur situation. Pour nos étudiants, cela signifie un accès facile à plus de 1500 aides financières.

 

Que vous soyez un étudiant à temps plein, un travailleur à temps partiel ou un parent qui retourne aux études, Klaro peut vous aider à trouver les ressources financières dont vous avez besoin pour réussir vos études. C’est un outil précieux pour naviguer dans le paysage complexe des aides financières.

 


Medaviz : Votre santé à portée de main

Medaviz est une plateforme de téléconsultation qui permet aux étudiants d’accéder à des soins médicaux sans quitter leur domicile ou leur campus. Que vous ayez besoin d’une consultation rapide avec un médecin ou que vous cherchiez des conseils médicaux en dehors des heures normales de bureau, Medaviz est là pour vous aider.

 

Avec Medaviz, vous pouvez consulter un professionnel de santé par téléphone ou en visioconférence, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. C’est une ressource inestimable pour maintenir une bonne santé tout en gérant les exigences académiques.


C’est aussi un véritable atout pour nos étudiants en échange à l’étranger !

 

 

Un partenariat pour le succès des étudiants

L’ESGI est déterminée à fournir à ses étudiants toutes les ressources nécessaires pour réussir. Grâce à nos partenariats avec Klaro et Medaviz, nous sommes en mesure de proposer à nos étudiants un accès facile et gratuit aux soins et de les aider à trouver les aides auxquels ils sont éligibles, afin de renforcer leur pouvoir d’achat.

 

Nous sommes convaincus que ces ressources peuvent faire une grande différence dans la vie de nos étudiants et contribuer à leur succès académique et personnel.

 

 

Nous sommes impatients de voir comment ces partenariats continueront d’améliorer l’expérience des étudiants à l’ESGI. Restez connectés pour plus d’informations sur ces services incroyables !

Meet-up : Développement et démocratisation du web 3.0


Actualité publiée le 25 octobre 2023

Théo SIGAUD, Samy HAMED-ESABERI, Waseem NASSURALY, Jehane BENADJEMIA et Mohamed KAJEIOU, étudiants en 5e année en Ingénierie du Web, ont organisé un MeetUp sur le développement et la démocratisation du web 3.0. 

 

écran virtuel tactile avec différentes icones lié a l'informatique
©Freepik

 

Le web 3.0 est un terme qui fait référence à la troisième génération d’internet, qui est en train de se développer en ce moment. Cette génération se caractérise par une plus grande utilisation de technologies comme l’intelligence artificielle, la blockchain et l’internet des objets. Ces technologies permettent de créer des applications plus sophistiquées et de faciliter les interactions entre les différents utilisateurs d’internet.

 

La blockchain est l’une des technologies clés du web 3.0. Elle permet de créer des bases de données sécurisées et décentralisées sur lesquelles les utilisateurs peuvent stocker et partager des informations de manière transparente. Cette technologie est souvent considérée comme une solution aux problèmes sociétaux, car elle permet de sécuriser les transactions en ligne, de lutter contre la fraude et de créer des systèmes plus justes et équitables.

 

Le développement et la démocratisation du web 3.0 est un processus en cours, qui promet de changer la manière dont nous utilisons internet et les technologies associées. La blockchain jouera un rôle important dans cette évolution, en offrant une solution pour résoudre les problèmes sociétaux et en permettant aux utilisateurs d’internet de bénéficier de nouvelles possibilités.

Quatre intervenants : quatre entreprises 

Le premier intervenant de ce Meet-up était le CEO de TerrabioDAO, Stéphane Firion. 

Il a expliqué en quelques mots et avec des schémas clairs le but et le fonctionnement de la blockchain. Puis il a expliqué l’objectif des NFT et des jetons utilisés dans la blockchain.

 

Avec son associé, ils ont également partagé leurs motivations pour leur projet dans leur startup et comment ils ont eu l’idée de créer un projet en utilisant la blockchain. Ils aimaient beaucoup l’informatique ainsi que l’innovation et l’évolution dans ce milieu. C’est pourquoi ils décidèrent de se lancer dans un projet tel que celui-ci : ils souhaitaient par un système simple s’assimilant à une taxe carbone sur le principe du volontariat, offrir la possibilité de responsabiliser les investissements, et de miser sur un avenir plus écologique !

 

Le deuxième intervenant, Arthur Flipo, de l’entreprise Wincity, a mis l’accent sur les objectifs de l’entreprise qui est de permettre à n’importe qui d’investir dans les plus beaux immeubles à travers des cartes NFT de collection.

 

Arthur Flipo a expliqué que grâce à Wincity et la blockchain développée, il est devenu facile et accessible à tous d’acheter un bien immobilier. Les avantages dont on peut bénéficier :

  • Win cash: on reçoit des gains tous les mois grâce à la rente locative du bien (gain correspondant au loyer du bien en question à hauteur de notre investissement), directement depuis notre canapé, sans se soucier de sa gestion.

  • Free mint: grâce à certaines cartes investisseurs, il est possible à tout moment de recevoir des free mintcollectibles de Wincity.

  • Accès privilèges : les cartes nous donnent accès privilégiés dans leur future métaverse et aux ventes exclusives.

     

Le troisième intervenant était le CEO de Ohrac, Pierre Meskel.

 

Son projet était assez clair, il consiste à utiliser la blockchain pour créer une plateforme qui permet de collectionner des cartes qui prendraient de la valeur en fonction des performances d’un cheval choisi dans une course de chevaux. 

La dernière conférence autour du développement et de la démocratisation du web 3.0 a été tenue par Clément FRANCOMME, CEO et fondateur de la société Utocat.

 

Clément a fait une rapide présentation d’Utocat en expliquant que l’entreprise a pour but de faciliter l’investissement dans les entreprises non cotées en bourse avec un PEA, PEA-PME ou un CTO en développant des logiciels uniques utilisant la technologie Blockchain.

 

Il a par la suite continué la conférence avec la présentation de Catalizr, une solution développée par Utocat, en mettant en avant ses avantages, à savoir:

  • Simple d’utilisation, Catalizr gère les demandes client et relance si besoin pour obtenir des justificatifs.

  • Gain de temps, Catalizr crée automatiquement la lettre d’engagement.

  • Amélioration de l’expérience client, Catalizr crée et envoie un mail pour la connexion au compte entreprise et investisseur.

     

 

Un challenge formateur 

« Nous avons trouvé très intéressant d’organiser un Meetup sur Twitch, on ne savait pas qu’organiser une conférence était source d’une grande préparation (tant dans la technicité que dans la recherche d’intervenants…).

 

En effet, trouver des intervenants était assez compliqué, mais malgré tous les refus, nous avons trouvé cela très sympa puisque la majorité des personnes étaient honorées d’être invitées à un Meetup pour notre école.» partage Mohamed KAJEIOU.

 

 

L’ESGI permet à ses étudiants d’organiser eux-mêmes leur Meet-up. Il s’agit d’une expérience très enrichissante pour leur cursus et très bien vue par leurs futurs recruteurs. L’école propose ainsi un apprentissage plus concret, allant au-delà des classiques cours magistraux. Les étudiants acquièrent une expertise non-négligeable dès leurs années d’apprentissage. 

 

Les associations de l’ESGI


Actualité publiée le 18 octobre 2023

L’ESGI a organisé, comme chaque année, un forum des associations qui regroupait les 70 associations de l’école ! L’objectif est d’encourager les étudiants à participer à des activités associatives, il leur est même possible de fonder leur propre association.

 

associations

©Image de pch.vector sur Freepik

 

Les associations engagées  

ESGIrls est une association fondée par Sarah Schlegel, une étudiante en 5e année de l’ESGI, elle décrit l’organisation comme une « association visant à rassembler les femmes de l’ESGI pour leur proposer un environnement sécurisé d’entraide et de parole ». Cette association, ouverte aux femmes comme aux hommes, a pour but de soutenir les femmes souhaitant travailler en informatique, milieu parfois vu comme très masculin.  

 

Zup de Co n’est pas une association de l’école mais intervient régulièrement car l’ESGI partage ses valeurs. L’association a pour objectif d’aider les jeunes contre l’échec scolaire. Son directeur est Charles de La Cochetiere. Depuis 2007, l’association a collaboré avec plus de 80 collèges et a accompagné 35 000 enfants. Durant ces nombreuses années, ce sont 20 700 bénévoles qui se sont mobilisés pour donner vie à ce projet. Zup de Co a pour mission d’aider davantage les enfants issus des familles modestes qui ont 2 à 3 fois plus de chance de faire face au décrochage scolaire. 

 

 

Un peu de culture 

L’ESGI met en avant des associations, certes très engagées, mais pas que ! Participer à des activités associatives est aussi l’occasion d’en apprendre davantage sur les cultures étrangères. 

 

Faubourg Manga est une association crée par Yanis Si Ahmed Haddi, étudiant en 3e année. Elle a pour mission de diffuser la culture japonaise, plus spécialement à travers ses très populaires animés. « L’objectif de cette association est le partage d’un moment pour regrouper ceux qui le désirent pour dialoguer sur la culture nippone. Au programme, une (ou plusieurs) diffusion(s) d’épisodes d’animations japonaises plus ou moins connus » explique l’étudiant de l’ESGI.  

 

Pour les passionnés de culture étrangère, l’école a également des associations centrées sur l’apprentissage des langues, avec des cours dispensés par un professeur, comme le japonais. 

 

Avec les associations de l’ESGI, il est également possible d’apprendre de nouvelles compétences, comme la cuisine par exemple. Asma Mougni, étudiante en première année, a créé ESGI Cooking, dédiés aux cuisiniers et pâtissiers amateurs. L’association propose même des cours en visio-conférences pour arranger un maximum d’étudiants.  

 

Il faut savoir que l’école ne délaisse pas non plus les activités sportives. ESGI moto est une association fondée par Alexandre Hardy, étudiant en 4e année. Cette dernière a pour objectif de « réunir les passionnés de motos afin de pouvoir échanger, s’entraider, et rouler ensemble ».  

 

L’école compte d’autres clubs sportifs comme ESGI Escalade Bloc, ESGI Basket, ESGI Running ou encore Cyclisme ESGI.  

 

L’école incite fortement ses étudiants à participer à ce type d’activité afin d’enrichir leur cursus. Le jeudi après-midi est donc consacré à ces moments extra scolaires. 

 

 

Au-delà de ses cours magistraux, l’ESGI propose divers modes d’apprentissage : workshops, conférences, challenges… L’école considère également que les activités associatives permettent aux étudiants de développer de nombreux soft skills venant compléter leur profil.  

La semaine de Challenge C à l’ESGI


Actualité publiée le 27 septembre 2023

Pour la première semaine des étudiants en 3e année Architecture des Logiciels, Mobilité & Objets Connectés et Intelligence Artificielle & Big Data, l’ESGI a organisé une semaine de Challenge C (relatif au langage de programmation C). Elle a duré toute la semaine du 18 au 22 septembre. Il s’agissait d’une piscine : challenge durant laquelle les étudiants codent sans interruption 

 

Challenge C

© Pxhere

Le retour des étudiants sur la piscine de C 

Les étudiants en informatique avaient, durant cette intense semaine d’immersion, 150 exercices de code à résoudre ! C’est un excellent moyen de faire connaissance entre eux tout en testant leur capacité de travail.  

 

Deux étudiants de 3e année en Architecture des Logiciels, arrivé dans le top 10 de ce challenge, partagent leur ressenti concernant cette semaine : 

 « Le principal apprentissage que je tire de ce challenge d’une semaine, ça va être non pas toutes les connaissances en algorithmique et en programmation, qui évidemment sont acquises aussi, mais surtout l’apprentissage de travailler sous pression dans un environnement compétitif. Et malgré tout cet environnement qui va être challengeant, quand même continuer à s’entraider et à travailler en groupe. » explique Paul Gaudeaux. 

 

Son camarade Noam de Masure, le rejoint sur ce point : lui aussi pense que cette semaine avait pour but d’évaluer la capacité des étudiants à travailler efficacement dans un délai imparti, plutôt que d’approfondir leurs connaissances en code. De plus, l’étudiant nous a confié que la nocturne du jeudi 21 était l’évènement de la semaine qu’il attendait le plus : « Mon moment favori de la piscine, c’était la nocturne du jeudi soir, qui était différente de ce qu’on a eu les jours précédent. Parce qu’on a eu beaucoup d’exercices, là on a eu un projet, à faire sur une nuit, à rendre le matin, c’était super intéressant […] »

 

 

Du côté de l’équipe pédagogique  

Sarah Schlegel, étudiante en 5e année en Architecture des logiciels, et coach durant cet évènement, nous confie que cette initiative est formatrice pour les étudiants : « C’est un challenge qui est extrêmement motivant, qui construit de la cohésion au sein des élèves dès la première semaine[…] ça leur demande du temps, de l’investissement […] ce sont des activités qui sont relativement ludiques, mais en même temps qui introduisent l’esprit de travail acharné et de compétition à l’ESGI, qui est très représentatif de l’école. ». Sarah estime que c’est un évènement à refaire, car très enrichissant pour elle-même. En tant que tutrice, cette dernière trouve que c’est très gratifiant de voir les étudiants maîtriser des compétences qu’elle leur a enseignées. 

 

Nathanael Demacon, professeur depuis 2 ans pour la piscine de C est confiant quant à l’avenir de ce challenge : « La piscine de C existe déjà, depuis 5/6 ans, on va très certainement continuer à la faire d’année en année, étant donné que le C est le seul langage de programmation qui permet aux étudiants de vraiment apprendre les fondamentaux d’utilisation d’une machine. » 

 

À l’issue de cette semaine, une remise des prix a été organisée le vendredi. Frédéric Sananes, le directeur pédagogique de la filière Architecture des logiciels et du premier cycle, s’est chargé de remettre des lots aux 10 premiers étudiants de ce challenge. Tout l’amphithéâtre a chaleureusement félicité les 3 grands gagnant : Romain Nerot (3e), Johan Ribeiro Lamy(2e) et Janin Michel-Mathias (1er). Un très grand bravo à eux !

 

 

L’ESGI met en avant ce type d’évènements afin d’apporter un enseignement plus concret aux étudiants. En plus des cours magistraux, les challenges, hackathon et meet-up viennent ponctuer leur apprentissage. Cela leur permet de mettre en pratique leurs connaissances théoriques et dacquérir beaucoup d’expérience avant même de se lancer sur le marché du travail.  

 

 

Les inventeurs de Google


Actualité publiée le 20 septembre 2023

Nous connaissons tous Google, le titanesque géant du web, numéro 1 des moteurs de recherche. Il se diversifie également avec d’autres services : Gmail, Google Play, Google Maps ou encore Google Earth. Mais que savons-nous sur ses inventeurs ? Ou encore de son histoire ? Découvrons les origines d’une des plus grosses entreprises du monde 

 

 

© Flickr

 

Les débuts de Google 

En 1995, Larry Page fait la rencontre de Sergey Brin en entrant dans le programme de doctorat de la prestigieuse université Stanford. Les deux jeunes ont beaucoup de points communs et sont surtout tous les deux brillants 

 

Au cours d’un projet, ils avaient été amenés à réfléchir à comment gérer la masse de données accumulées sur Internet. Les deux jeunes hommes, avaient alors conçu un nouveau moteur de recherche doté de capacités de classement de pages internet, sur un système propre aux internautes. Cet algorithme sera au départ intitulé PageRank, il donnera lieu à la première version du moteur de recherche : BackRub. Il faut savoir qu’à partir de février 1996, BackRub est utilisé sur le serveur de l’Université de Stanford. Conseillés par le cofondateur de Yahoo, David Filo, Larry et Sergey démarrent leur propre start-up  

 

L’un des fondateurs de Sun Microsystems, Andy Bechtolsheim, investira 100 000 dollars, grâce à quoi, Page et Brin purent déposer le nom de domaine Google.com, très exactement le 15 septembre 1997. Ce choix fait référence au terme « Googol » désignant la quantité astronomique d’informations disponibles sur le web (1 suivi de 100 zéros). Les deux startupers abandonneront même leur doctorat afin de se consacrer entièrement à la conception de leur projet. Le PDG officiel de Google Inc est Larry Page.  

 

 

Le géant Google 

L’ascension de Google ne se fera pas attendre : en 1999, l’entreprise reçu 25 millions de dollars de capital-risque de la part de deux gros investisseurs de la Silicon Valley, Seqia Capital et Kleiner Perkins Caufield & Buyers. À cette époque, Google ne traitait pas moins de 500 000 requêtes par jour avec seulement 8 salariés. À la fin de l’été 1999, Google traite déjà plus 3 millions de recherches par jour ! Très rapidement, Google devient connu à travers le monde et commence à construire sa renommée qui fait de lui un géant de nos jours. 

 

Les prix que les deux inventeurs ont pu recevoir grâce à leur invention sont nombreux. Larry Page a notamment obtenu en 2002, le titre de « Leader international de l’économie du futur » par le Forum Mondial Economique. Les entrepreneurs reçoivent tous les deux le titre de l« Homme de l’année » du Financial Times.  

 

En 2015 Page et Brin fondent holding Alphabet Inc et vont attribuer la direction de Google à Sundar Pichai qui dirigeait Android. Il s’agit en quelques sorte d’une retraite anticipée. En réalité les deux créateurs décident de travailler sur d’autres projets tout en bénéficiant de la très grosse puissance financière qu’est Google. 

 

En 2016, Forbes, dans son classement, place Larry Page à la 12e position des personnes les plus riches de la planète avec une fortune estimée à 35,2 milliards de dollars. Il est suivi de Sergey Brin à la 13e position avec une fortune s’approchant de 34,4 milliards de dollars. 

 

 

L’ESGI, grande école d’informatique basée à Paris, dispense des enseignements de qualité sur diverses thématiques relatives au secteur de l’informatique. L’école encourage ses étudiants à expérimenter, à participer à des compétitions internes ou externes, afin de leur permettre de développer leurs compétences avec une autre approche ainsi que de nombreux soft skills. 

 

Spécialisation Ingénierie de la Réalité Virtuelle et Jeux Vidéo


Actualité publiée le 12 septembre 2023

Le Bachelor de l’ESGI débute avec deux années de tronc commun, occasion d’acquérir tous les fondamentaux en ingénierie informatique, suivi de projet, administration système ou encore exploitation des données. Suite à cela, il est possible de se spécialiser dès la 3ème année jusqu’à la fin du Mastère. Une des filières possibles est la spécialisation Ingénierie de la Réalité Virtuelle et Jeux Vidéo. 

Généralités sur la filière  

Cette filière forme à tous les métiers du développement en Jeux Vidéo, réalité Virtuelle, Réalité Augmenté, Animation 3D, 3D industrielle, Stimulation 3D, etc.  

La formation s’articule autour de grands thèmes comme?: Science de l’Ingénieur, Image et jeux vidéo, Développement, Management de projet, Outil de communication et Activités annuelles. Les étudiants y abordent toutes sortes de disciplines?: de la Veille technologie à l’Unreal Engine avancé en passant par l’anglais, jusqu’au Développement Moteur de Jeu, tout y est?!  

Durant leurs années de formation, notamment en Mastère, les étudiants participent à de nombreux projets?:  

  • Navigation spatiale et planète procédurale avec Occulus Rift 

  • Jeu vidéo pour déficient visuel avec gant à retour de force et tapis de danse  

  • Création d’un outil informatique en C++ (de type interpréteur de langage, générateur de code, filtre graphique, SGBD…) 

  • Création d’un outil complet appliqué aux jeux vidéo et basé sur des algorithmes de l’intelligence artificielle. 

Bien sûr, les cours sont assurés par des professionnels en poste dans leurs propres structures, ainsi l’école promeut une certaine expertise, très importante pour les professionnels de demain. 

L’ESGI permet à ses étudiants de participer à de nombreux évènements?: hackathon, Meet-up, séminaires etc. Tout ceci leur permet d’apprendre à travers de nouvelles perspectives et de mettre en pratique les notions théoriques étudiées lors des cours magistraux. 

Les stages ainsi que le mode d’apprentissage en alternance permettent aux étudiants de découvrir le fonctionnement des entreprises dès leurs années d’étude.Ils ne rencontrerontainsi aucune difficulté à trouver un emploi à la sortie de leur formation, en effet, les recruteurs cherchent avant tout à savoir si le futur employé possède des expériences professionnelles pertinentes. 

Une fois diplômé  

Il existe très peu de formations dans le genre en France, celle-ci mène les étudiants jusqu’au niveau de la recherche et le développement autour des métiers orientés 3D.  

À l’issue du Bachelor, les étudiants reçoivent une Certification Professionnelle de Chef de projet logiciel et réseau, reconnu par l’Etat, de niveau 6. À la fin du Mastère, les étudiants reçoivent une Certification Professionnelle d’Expert en Ingénierie informatique, reconnu par l’Etat, de niveau 7.  

Les étudiants, une fois diplômés, peuvent prétendre à des postes de développeur Gameplay, Ingénieur et programmeur dans les jeux vidéo, lead programmer, directeur technique dans les métiers de l’image et bien plus encore.  

L’ESGI est une grande école faite pour les passionnées d’informatique, ses enseignements de qualité préparent les étudiants au monde du travail pour en faire de réels professionnels. Si tout ceci vous intéresse, n’hésitez pas à candidater?!  

Quelles sont les missions d’un ingénieur télécom ?


Actualité publiée le 8 septembre 2023

L’ingénieur télécom est un expert réseau qui endosse des missions très riches : optimisation des systèmes de communication, recherche et innovation pour créer de nouveaux équipements, amélioration des services et meilleure gestion des infrastructures. Zoom sur les rôles de l’ingénieur télécom et sur les formations à suivre pour exercer le métier. 

 

© Unsplash

 

 

Ingénieur télécom : savoir intervenir sur tous les types de réseau

 

L’ingénieur télécom a une mission principale qui est l’optimisation des systèmes de communication des particuliers et des professionnels. Il travaille aussi bien avec la technologie de la fibre optique que les téléphones mobiles, les accès Internet ou même les supports multimédias. Il s’agit d’un véritable spécialiste de la transmission des informations qui comprend le fonctionnement de l’envoi numérique de la voix, des données et des images. Il sait concevoir les circuits électroniques d’un ordinateur portable, d’un relais hertzien ou d’un smartphone et développer des solutions logicielles pour traiter les signaux numériques sur tous les supports. 

 

L’ingénieur télécom exerce généralement dans un service de Recherche et de Développement au sein d’une grande entreprise. Dans ce laboratoire d’élaboration informatique, il développe des nouvelles solutions qui permettront aux industriels de créer des produits comme des composants hyperfréquence ou des nouveaux systèmes de transmission par satellite. 

 

S’il travaille au sein d’une entreprise, l’ingénieur télécom peut aussi définir l’architecture de son réseau ou superviser l’assemblage des éléments matériels et logiciels permettant à sa structure d’assurer sa logistique IT. Dans ce contexte, il est chargé de la bonne circulation de l’information entre les divers services de son entreprise. Il devra élaborer une architecture IT pertinente et superviser le bon fonctionnement général de son réseau. L’ingénieur télécom devra aussi faire évoluer son architecture réseau en fonction des innovations technologiques disponibles sur le marché et des besoins de son entreprise. 

 

 

Conception des solutions et des équipements : une des compétences de l’ingénieur en télécommunications 

 

L’ingénieur télécom peut être amené à concevoir du matériel et des systèmes en vue d’assurer l’optimisation des communications. Il crée alors des centres téléphoniques, des logiciels ou même des outils de transmission et des composants de circuit électronique. Il sait par conséquent travailler sur des micros circuits et des composants de très petite taille qui seront intégrés aux téléphones mobiles de demain. 

 

Il doit savoir créer les circuits, placer les éléments, les souder ainsi que procéder aux tests et mettre en place les actions correctives pour s’assurer que son produit fonctionne. L’ingénieur télécom est également présent pendant la fabrication et vérifie la cohérence et le bon assemblage du matériel qu’il a créé. À ce titre, il n’est pas rare de voir des entreprises de production embaucher sur place leurs ingénieurs télécom. Lorsqu’il travaille sur un site de production, il doit trouver des solutions aux problèmes de cryptage et de codage des systèmes informatiques et superviser le bon fonctionnement du matériel de communication (comme les centres téléphoniques). 

 

 

Quel est le profil de l’ingénieur en télécommunications ? 

L’ingénieur télécom est un professionnel polyvalent, qui peut intervenir dans la conception logicielle ou dans la fabrication de composants électroniques. Il maîtrise toutes les nouvelles technologies et dispose d’une vision réaliste de son secteur d’activité. Il sait anticiper les tendances et s’appuie sur une veille consciencieuse des avancées technologiques en vue d’utiliser les potentialités technologiques à sa disposition. 

 

C’est aussi un bon communicant, capable de vulgariser son propos afin d’expliquer ses projets à la direction de son entreprise. Il maîtrise parfaitement l’anglais, ce qui lui permet d’exercer au sein d’équipes internationales et de s’adresser également directement aux utilisateurs de ses produits. 

 

 

Ingénieur télécom et perspectives de carrière 

Après quelques années d’expérience et s’il profite d’une promotion interne, l’ingénieur télécom peut devenir architecte réseau. C’est un emploi qui comprend des responsabilités et des missions qui visent à répondre aux besoins de communication des plus grandes entreprises. L’architecte réseau est en charge de la conception, de la planification et du développement des réseaux de télécommunications de la structure qui l’emploie. Dans le cadre de son travail, il veille à respecter le budget alloué par sa direction tout en faisant bénéficier à sa structure des meilleures solutions sur le marché. 

 

Un ingénieur télécom senior peut exercer au sein d’une usine de production, dans un service de recherche et développement, dans une société de services du numérique, un opérateur de télécommunications ou même auprès de la Défense nationale. Il peut donc choisir de s’expertiser dans la création du matériel de télécommunications ou plutôt de proposer du conseil en ingénieries et en architecture réseau. 

 

Les étudiants qui souhaitent devenir ingénieurs télécom doivent suivre une formation au sein d’un établissement spécialisé en génie informatique. La filière qui mène à l’exercice du métier est la spécialisation Système, Réseau et Cloud Computing. Cette discipline permet de comprendre les principes et les méthodes d’optimisation de la disponibilité et de la fiabilité des réseaux de communication. 

 

Pour bien se former, il est important d’intégrer un cursus complet qui se structure autour d’un premier cycle de Bachelor et d’un second de Mastère. Le Bachelor constitue alors un socle fondamental de compétences permettant aux futurs ingénieurs en télécommunications de découvrir toutes les branches du génie informatique : langage de développement, principaux systèmes, fonctionnement des grands réseaux, virtualisation et Cloud Computing. 

 

L‘ingénieur télécom, après l’obtention de son Bachelor, peut faire le choix de la poursuite d’études et intégrer un Mastère spécialisé. Le programme de ses formations d’exception se caractérise par sa grande cohérence et son au niveau académique. L’ingénieur télécom a donc bénéficié d’un apprentissage aux divers systèmes et aux méthodes de conceptualisation des réseaux : CISCO, CCNP, Entreprise Core ou ENARSI par exemple. Il est important que la pédagogie du cursus soit axée vers l’apprentissage pratique et bénéficie d’un rythme en alternance. 

 

 

L’ESGI propose un programme spécialisé en Systèmes, Réseaux et Cloud Computing qui permet d’exercer en tant qu’ingénieur télécom dès l’obtention de son diplôme. 

 

En début de carrière, l’ingénieur télécom bénéficie d’un salaire d’environ 36 000 € bruts annuels. Après cinq à 10 ans d’expérience, sa rétribution peut aller jusqu’à 60 000 € annuels. 

Le langage Python


Actualité publiée le 6 septembre 2023

Python est un langage de programmation open source, le plus populaire et le plus utilisé notamment dans le Machine Learning et la Data Science. On le qualifie de langage multiplateformes, c’est-à-dire qu’il fonctionne sur plusieurs systèmes d’exploitation : Linux, Windows ou encore macOS.

 

C’est également un programme multiparadigmes : il utilise différentes manières de programmer dans le but de résoudre des problèmes. Il s’agit d’un langage généraliste, il n’est donc pas seulement limité au développement web.  

 

© Pexels

Les origines du langage Python  

En 1989, Guido Van Rossum, un programmeur néerlandais, participait au développement du langage de programmation ABC auprès du CWI d’Amsterdam. Ce dernier travaillait au sein de l’équipe du système d’exploitation Amoeba. En tentant de l’améliorer, l’informaticien a mis en place une première version d’un langage informatique, à l’aide de son ordinateur personnel. Ce langage se veut optimisé : plus facile à lire, à écrire et à maintenir, en étant flexible et puissant.  

 

Il décide de baptiser ce langage « Python », en référence à la série télévisée mettant en scène les Monty Python, une troupe de comédiens britanniques qu’il appréciait beaucoup. Le site officiel de Python apporte quelques précisions à cette anecdote : « Rossum pensait qu’il lui fallait un nom court, unique et légèrement mystérieux. Il a donc décidé d’appeler le langage Python.» 

 

L’année suivante, l’équipe du projet Amoeba commence à utiliser le langage. En février 1991, la première version publique, numérotée 0.9.0 est publiée sur Usenet alt.sources 

 

Utilisation et avantages 

 

Python est utilisé pour le script et l’automatisation : il peut remplacer les script shell, mais aussi automatiser les interactions avec les navigateurs web ou les interfaces graphiques des applications.  

Python permet aussi l’approvisionnement de systèmes et la programmation d’application. De plus, ce langage est utilisé pour la création de services web et la métaprogrammation 

 

Pour faire court, il s’agit d’un outil vivement apprécié par les programmeurs en raison de sa simplicité et de son accessibilité. Il s’agit donc d’un outil à privilégier pour les personnes débutant dans la programmation. Néanmoins, ce langage peut être utilisé pour des projets plus complexes comme l’IA.  

 

Ainsi, Python est à la portée de tous, il est utilisé par une large variété de profils : programmeurs débutants, ingénieurs logiciels, Data scientists, développeurs d’application web et plus encore.  

 

Il faut savoir que ce langage de programmation reste constamment dans l’air du temps, il ne vieillit pas. En effet, une équipe de développeurs met à jour le langage et développe de nouvelles fonctionnalités régulièrement.  

 

Le seul défaut de cet outil serait sa lenteur comparée à d’autres langages comme Java ou C. Python demande un temps d’exécution qui est plus important. 

 

 

Il est possible d’apprendre à maîtriser des langages informatiques comme Python et bien d’autre en suivant une formation adaptée au sein d’une école d’informatique. C’est notamment le cas de lESGI qui propose 9 filières de spécialisation dès sa troisième année, l’occasion pour les étudiants de se spécialiser dans le domaine qui leur convient le mieux. Si vous présentez une certaine appétence pour l’informatique, restez informé afin de nous rejoindre !  

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