Les MSc de l’ESGI


Actualité publiée le 26 mai 2023

L’ESGI propose une formation continue diplômante Bac+5, pour les salariés, demandeurs d’emploi, cadres, dirigeants dentreprise, reposant sur des enseignements techniques avancés. Cette formation permet aux apprenants d’acquérir une expertise supplémentaire en informatique en seulement un an et d’obtenir un titre de niveau 7.  

 

MSC esgi

 

Les 4 filières MSc 

L’ESGI propose 4 spécialisations, accessibles en formation continue : 

  • Management et Conseil en Systèmes d’Information : c’est la filière la plus polyvalente, elle forme les étudiants sur tout ce qui touche au Management des SI mais aussi à leur intégration dans une stratégie plus globale, ainsi qu’à l’analyse des besoins et leur traduction en solution pérenne

  • Architecture des Logiciels : cette filière a pour objectif de former les apprenants à concevoir et réaliser des applications logicielles, en tenant compte des dernières innovations du secteur en lien avec l’application

  • Sécurité Informatique : les étudiants, à l’issu de la formation, seront en mesure de développer une stratégie de sécurité des SI, de la mettre en application, et de piloter les projets qui y sont liés, notamment concernant l’évolution des SI

  • Systèmes, Réseaux et Cloud Computing: cette 4ème spécialisation forme des spécialistes en mesure de garantir la sécurité des données mais aussi leur fiabilité et leur optimisation en tenant compte des évolutions technologiques notamment en matière de Cloud Computing

 

Certaines filières préparent les apprenants aux passages de certifications qui leur permettront de valider leurs connaissances.

Et après la formation ? 

Les débouchés des formations continues sont nombreux  

  • Management et Conseil en Systèmes d’Information : Consultant ERP, Consultant décisionnel, Assistant à la maîtrise d’ouvrage, Directeur des systèmes d’information  

  • Architecture des Logiciels : Architecte logiciel, Ingénieur d’études et développement Consultant  

  • Systèmes, Réseaux et Cloud Computing : Ingénieur réseaux, Ingénieur Télécom Ingénieur virtualisation Consultant en Cloud Computing  

  • Sécurité Informatique : Ingénieur sécurité, Consultant Sécurité RSSI (Responsable Sécurité des Systèmes d’information Auditeur)

 

Pathé Segnane, alumni de la promotion de 2017/2018, revient sur sa formation et sur ce que cela lui a apporté dans son parcours professionnel :

 

« L’ESGI s’adapte facilement à l’environnement actuel et puis aux différents changements, on peut le constater sur le management. Il y avait des nouvelles pratiques, des nouvelles méthodes qui étaient là, étaient étudiées à ce niveau-là, que j’ai découverte tout de suite après sur le marché et qui ont été tout juste proposé. C’est aussi le côté expertise où on nous laisse le choix aussi de pouvoir choisir ces sujets là et puis de nous accompagner de manière très concrète.».

 

Il est aujourd’hui consultant indépendant dans le développement applicatif et possède sa propre entreprise

Spécificité et financements

Les cours se déroulent les vendredis et samedis tous les 15 jours sur une période 10 mois (de mi-septembre à mi-juillet).

Ces formations s’adressent à des salariés ayant une expérience professionnelle dans le domaine choisi :

  • De 2 ans s’ils sont titulaires d’un Bac+4/5 (en informatique, scientifique ou management)

  • De 3 ans pour les diplômés Bac+3 (Licence informatique, scientifique ou management)

  • De 4 ans pour les titulaires d’un Bac+2 (BTS, DUT,L2 informatique, scientifique ou management)

 

Le service formation continue de l’ESGI vous délivre rapidement votre résultat d’admission afin de vous accompagner individuellement dans votre projet de formation ainsi que dans les financements qui s’offrent à vous.

Pour les salariés :

  • CPF de transition (ex CIF) et démission 

  • CPF (Compte Personnel Formation) Plans formation (PDC, PDV), AGEFICE, réduction impôt, etc 

Pour les demandeurs d’emploi : 
  • CPF (Compte Personnel Formation) 

  • AIF (consultez votre conseiller Pôle Emploi) 

  • CSP (Contrat de Sécurisation Professionnel) 

Pour les salariés et les demandeurs d’emploi : 
  • Possibilité de prêts bancaires auprès de nos partenaires financiers 

  • Financement personnel et participatif 

 

Si vous êtes déjà familier avec le monde de l’informatique et que vous souhaitez développer de nouvelles compétences, les formations Executive MSc sont faîtes pour vous ! 

Clash des écoles : ESGI vs ICAN


Actualité publiée le 23 mai 2023

Victoire écrasante de l’ESGI lors de cette 1ère édition du Clash des Écoles, grand tournoi de jeux vidéo, organisé par l’école elle-même et l’ICAN. Retour sur cet événement !

 

 

La grande finale de la 1ère édition du Clash des écoles, opposant l’ESGI à l’ICAN, s’est déroulée le 29 avril dernier. Cet affrontement était l’aboutissement de plusieurs mois d’entrainement pour les deux écoles, et de l’élimination de nombreuses équipes lors des pools de sélection afin qu’il ne reste qu’une équipe championne par école et par jeu, pour défendre leurs couleurs. Ce fut aussi l’occasion de développer leurs plus belles techniques et d’élaborer leurs meilleures stratégies avant le jour J.

 

Au menu de ce tournoi, 4 grands classiques du jeu vidéo : League of Legend, Valorant, Rocket League et Super Smash Bros !

 

 

La Grande Finale du Clash

La finale du tournoi a été hébergée dans les locaux de l’ESGI, qui a mis à disposition une salle aménagée afin que les spectateurs puissent assister aux différents matchs en direct. Les joueurs ont su les tenir en haleine et créer un certain émoi avec de nombreux retournements de situation lors des affrontements. Ce fut un moment riche en émotions, les plus diverses : amusement, appréhension et excitation étaient de mise.

 

La finale était également relayée sur les chaînes Twitchs de l’ESGI et de l’ICAN, avec différents casteurs : @DasToup qui a commenté les matchs League of Legend, l’organisateur du tournoi, Mohammed-Ali Kaddour, pour les matchs Valorant, des étudiants de PPA Sport pour les matchs Rocket League et des étudiants de l’ESGI pour les matchs Super Smash.

 

 

 Super Smash

Salle spectateur

Joueurs

 

L’ESGI a remporté haut la main les compétitions League of Legends, Valorant et Super Smash Bros mais s’est vu rafler la victoire sur les matchs de Rocket League. Les joueurs étaient venus pour gagner et ils ont certainement tenu leur promesse, en se surpassant pour chacun des matchs, toujours confiants de leurs capacités et impitoyables face à leurs adversaires.

Pour les plus gourmands, des encas étaient proposés toute la journée, ainsi qu’une machine à barbe à papa. À la fin de la compétition, tous les joueurs ont pu se réunir autour de bonnes pizzas. Un moment pour les deux écoles de faire plus ample connaissance, en oubliant la compétition qui les opposait quelques heures auparavant.

 

 

 Encas

 Prep encas

 

 

Une équipe fière de porter les couleurs de l’ESGI

C’est avec la médaille au cou et le sourire aux lèvres que l’équipe de l’ESGI a soulevé la coupe de la toute première édition du Clash des école. Une victoire bien méritée, arrachée à un adversaire de taille.

Equipe gagnante

Vainqueur

Coupe

 

Et cette 1ère édition a reçu un accueil très chaleureux : un franc succès pour les étudiants et une fierté pour l’équipe organisatrice qui n’a qu’une hâte, organiser une deuxième édition. Une compétition, certes, mais dans la bonne humeur et avec fair-play !

Tous reconnaissent le potentiel de cette compétition et attendent avec impatience les futures éditions du Clash des écoles. Les organisateurs aimeraient élargir le tournoi aux écoles en région, aux autres écoles du Réseau GES et, pourquoi pas, un jour, à d’autres écoles.

Avis aux mordus de jeux vidéo, n’hésitez pas à rester informer via nos réseaux sociaux pour la prochaine édition en 2024 !

 

 

Un grand merci à toutes les personnes qui se sont impliquées dans ce beau projet et un immense bravo à tous les joueurs de l’ESGI qui font la fierté de l’école.

Defnet 2023 : un exercice de cybersécurité proposé par l’armée française à l’ESGI


Actualité publiée le 21 avril 2023

Le 30 mars dernier a eu lieu l’édition 2023 de la Defnet sur le campus de l’ESGI à ParisPour ce nouvel exercice de cybersécurité, les 40 étudiants de 3ème, 4ème et 5ème année de la filière Sécurité Informatique se sont surpassépour le commandement de la cyberdéfense de l’armée française sur une simulation en condition réelle. Retour sur cet événement formateur qui a permis de faire naître des vocations et de faire émerger des talents à recruter. 

visuel defnet 2023 © ESGI 

Qu’est-ce qu’un exercice de cyberdéfense ? 

Un exercice de cyberdéfense en sécurité informatique est une simulation de situations réelles dans lesquelles des cyberattaques sont lancées contre des systèmes informatiques. L’objectif de ces exercices est de tester les capacités de défense des organisations et des équipes de sécurité informatique en simulant des attaques de hackers, de pirates informatiques ou d’autres acteurs malveillants. 

 

Les exercices de cyberdéfense peuvent être utilisés pour évaluer la résilience des systèmes informatiques et la capacité de réponse de l’équipe de sécurité en cas d’incident. Ils permettent également d’identifier les points faibles et d’élaborer des plans d’action pour améliorer la sécurité des systèmes informatiques. Les exercices de cyberdéfense sont devenus de plus en plus importants dans un contexte où les cyberattaques sont de plus en plus fréquentes et sophistiquées. 

 

 

Une simulation de cyber-attaque en conditions réelles spécialement imaginée par l’Armée Française 

Au sein de l’ESGI, les étudiants de 3ème, 4ème et 5ème année ont collaboré avec le Commandement de la cyber défense lors d’un HackathonL’objectif ? Relever un défi et se surpasser ! 

Pour l’armée française, organiser un tel événement dans la grande école du génie informatique est une évidence : recruter les nouveaux cybercombattants de demain. D’ici 2025, le ministère de la Défense souhaite recruter près de 1500 nouveaux cyber-combattants. 

 

L’exercice ? Gérer une simulation de cyber-attaque de A à Z dans un contexte de pression intense. En mettant à profit leurs connaissances et leurs compétences, les étudiants de la filière Sécurité Informatique ont su s’organiser de manière optimale pour répondre aux attentes de l’armée française. Cette expérience unique leur a permis de développer davantage de compétences et d’acquérir une nouvelle expérience afin d’être en capacité de travailler en équipe dans des conditions difficiles et de se préparer pour les défis futurs de la cybersécurité. 

C’est l’armée française, elle-même présente dans les locaux de l’école pour l’événement qui a lancé l’exercice pour mettre davantage les étudiants en condition réelle. « Il est 15h45, je vais commencer les attaques. Vous devez vous défendre en temps réel. C’est bon ? C’est parti ! », lance le lieutenant Thibault. 

 

Le lieutenant poursuit et confie à la journaliste de France Info présente pour l’expérience, « On va les mettre en situation pour qu’ils comprennent qu’on n’est pas là pour rigoler, qu’on n’est pas là pour jouer, mais pour faire quelque chose de concret, sérieux. On les motive rapidement et, en fonction des groupes, on va les mettre plus ou moins sous pression, comme nous, on pourrait avoir à la supporter si on était vraiment sur le terrain. » 

 

Un exercice formateur et concret qui ouvre des opportunités professionnelles dans la cybersécurité  

« C’est différent d’un environnement professionnel classique, les enjeux sont un peu plus importants : forcément, ça responsabilise. Et je trouve que c’est vachement intéressant. » L’étudiant ajoute  » On est dans un environnement que l’on ne connaît pas vraiment, donc c’est compliqué de se repérer. C’est un challenge intéressant. » confie Florian étudiant en Sécurité Informatique à France Info. 

Participer à ce type de simulation en conditions réelles est une aubaine pour les étudiants de l’ESGI. Au-delà d’un simple exercice, la Defnet est un véritable tremplin, une simulation plus que réelle de session de recrutement. Puisque dès 2025, 1500 cyber-combattants devront être recruter par le ministère de la Défense. Se faire remarquer par l’armée française est donc une opportunité.

 

 

À l’ESGI la filière Sécurité Informatique séduit de plus en plus de monde. Dès la 4ème année, les étudiants peuvent se spécialiser dans le domaine de la sécurité informatique. En période de sécurité en constante évolution, cette spécialisation enseigne comment reconnaître les menaces et les failles de sécurité, et forme des experts qui garantissent la continuité de la sécurité des systèmes, des flux et des données dans les entreprises. 

 

 

Pourquoi suivre une formation de développeur ?


Actualité publiée le 18 avril 2023

Devenir développeur, c’est choisir d’intégrer un secteur dynamique, innovant et qui embauche massivement. Si l’on a vu certains professionnels autodidactes réussir leur carrière, pourquoi est-il devenu indispensable de suivre une formation pour exercer à son tour ? 

formation dev web

© Pexels

Développeur professionnel : que valent les auto-formations ? 

Dans le milieu du développement informatique, on trouve de très nombreuses formations accessibles en ligne et gratuitement. Il s’agit de propositions diverses : tutoriels sur YouTube, démo des grands logiciels, bases des principaux programmes, etc. 

 

Si ces contenus peuvent s’avérer d’une aide ponctuelle utile, tous ne se valent pas. Il existe en effet une très grande disparité de technicité et de niveau des compétences qu’il est possible d’acquérir (même en suivant consciencieusement un programme). Ces formations en ligne manquent par ailleurs de complément, elles ne permettent pas toujours d’évaluer les contraintes du secteur du développement informatique ni d’être en mesure d’anticiper ses potentialités. Par ailleurs, elles présentent des connaissances théoriques et ne permettent pas une véritable mise en pratique de son nouveau savoir-faire. 

 

Se former seul au développement n’avait rien d’impossible il y a quelques années, néanmoins le secteur a évolué et présente aujourd’hui une très haute technicité. Quotidiennement, les logiciels sont mis à jour et les éditeurs proposent des innovations qui repoussent toujours plus loin les limites de l’informatique. Maîtriser les principes, les codes et les langages du développement requièrent donc de véritablement maîtriser les outils du domaine. Pour y parvenir, se former exclusivement via les propositions en ligne ne suffit pas. 

 

Devenir développeur web : suivre une formation pour certifier de ses compétences 

Le développeur est un professionnel qualifié du développement informatique. Il peut travailler à la création d’outils logiciels, de plateformes internet ou d’applications mobiles. Il occupe un métier qui se caractérise par son innovation, sa créativité et sa technicité. Il doit donc savoir travailler dans le respect d’un cahier des charges et sous certaines contraintes budgétaires, organisationnelles et techniques tout en proposant constamment des produits numériques fonctionnels et qui marchent. 

 

Suivre une formation universitaire, technique et professionnalisante est devenu incontournable pour exercer le métier. À l’issue de ces cursus, on dispose en effet d’une Certification Professionnelle officielle attestant de son niveau de compétence, ce qui permet ensuite de faire carrière dans le domaine du développement. Grâce à son diplôme, le développeur peut donc évoluer et devenir directeur de projet, par exemple. 

 

Pour devenir développeur, on peut choisir de suivre un Bachelor et un Mastère en informatique ou compléter son bagage de compétences avec un MBA, ou un executive MSC. 

 

Les recruteurs du secteur sont par ailleurs attentifs à l’expérience professionnelle des candidats qu’ils rencontrent. Pour eux, il n’est pas suffisant de maîtriser JAVA ou Python, il faut avoir véritablement participé à un projet informatique et justifier de compétences pratiques. Ils apprécient à ce titre les diplômés des écoles d’ingénierie informatique qui ont suivi une formation complète de type PGE en alternance, à l’instar des programmes de l’ESGI. 

 

Il est important de suivre une formation spécialisée pour devenir développeur afin de développer les savoir-faire du métier et être en mesure de gérer les problématiques relatives à l’évolution du numérique contemporain. 

Quelles sont les missions d’un ingénieur logiciel ?


Actualité publiée le 11 avril 2023

L’ingénieur logiciel est le professionnel en charge de la conception des outils informatiques et des programmes de travail de tous les secteurs de l’industrie et de l’économie. Polyvalent, il peut créer des applications web, des logiciels de retouche d’image, des programmes pour l’industrie agroalimentaire, etc. Quelles sont ses missions et comment se former pour les relever avec succès ?

 

Ingénieur logiciel © Pexels

Créer un programme informatique performant : la principale mission de l’ingénieur logiciel 

L’objectif de l’ingénieur logiciel, c’est de créer un programme informatique sur mesure en vue de répondre aux besoins de son client. Pour y parvenir, il suit une méthode de travail très technique et rigoureuse.

 

L’ingénieur logiciel commence son travail de conception en analysant les besoins de son client. En pratique, cela signifie qu’il effectue un audit des tâches attendues de l’ordinateur sur lequel s’exécutera son programme. De cette étude, il va déterminer au cahier des charges les objectifs techniques de son programme.

 

Pour obtenir la validation de la direction, l’ingénieur logiciel produit une maquette de son programme. Il élabore des wireframes et propose des tableaux explicatifs pour chaque écran du logiciel et propose un plan général de son architecture IT. Lorsqu’il aura obtenu la validation de son client (ou de sa direction), il traduit l’intégralité de son projet en langage informatique. Avec la participation d’équipes de développeurs ou de designers spécialisés, il vérifie le bon fonctionnement de son produit, procède aux tests de fonctionnalités et améliore son logiciel en fonction des retours des équipes de conception et des utilisateurs.

 

Ses connaissances virtualisation, en Cloud Computing et en programmation informatique sont également en mesure de lui offrir des perspectives de carrière importantes. Son évolution professionnelle suivra d’ailleurs naturellement les innovations dans le secteur. En effet, l’ingénieur logiciel effectue une veille constante des nouveaux programmes disponibles sur le marché. Grâce à cette surveillance, il peut à la fois utiliser les nouvelles potentialités informatiques sur le marché et contribuer à la création d’un produit original et dernière génération.

 

Pour pouvoir proposer un programme informatique qui fera la différence et qui se démarquera de la concurrence, l’ingénieur informatique analyse en effet le marché de son client et parvient à trouver des idées originales, uniques et attractives.

 

 

Zoom sur les principales missions de l’ingénieur logiciel

L’ingénieur logiciel intervient donc dans toutes les étapes de la conception de ses programmes informatiques. Son objectif est d’appliquer les principes de l’ingénierie lors de la conception d’un programme informatique.

 

On peut donc résumer ses missions principales comme suit :

 

  • Analyse technique des besoins du client.
  • Rédaction du cahier des charges et suivi de son bon respect.
  • Vérification de la faisabilité du projet.
  • Création de l’architecture de logiciels.
  • Développement des composants et choix de langage approprié : C++, Java, Python, etc.
  • Présentation des prototypes, de leurs tests et retours sur les performances.

 

Pour prendre en charge toutes ces missions, l’ingénieur logiciel fait preuve de compétences en informatique de très haut niveau. Il comprend parfaitement le fonctionnement d’une entreprise et donc ses besoins en termes d’architecture IT ou de supports de travail Cloud. Il maîtrise parfaitement tous les outils du développement : Méthode agile comme codes informatiques, frameworks, système d’exploitation et logiciels de développement.

 

Sur le plan informatique, il s’agit d’un expert à part entière qui maîtrise les différentes architectures IT, connaît les technologies de la gestion de réseaux, maîtrise les outils d’analyse et sait utiliser le traitement des données pour produire un programme informatique viable et performant. Il sait aussi utiliser les principes techniques des systèmes de télécommunications et peut par conséquent produire des programmes très actuels qui utilisent l’intelligence artificielle, la reconnaissance vocale, la réalité augmentée, voire les outils de la réalité virtuelle.

 

L’ingénieur logiciel propose par ailleurs des outils basés sur les infrastructures du cloud. Il connaît le clean code, les principes du DevOps, la programmation d’une blockchain et la cryptographie.

 

 

Ingénieur logiciel : des compétences métier variées

L’ingénieur logiciel doit être en mesure de créer un programme informatique adapté à de nombreux secteurs d’activité. Il joint donc à ses compétences en programmation une vision technique de l’économie et de l’industrie : il comprend les contraintes des marchés, les besoins des professionnels et dispose d’une connaissance pratique de l’utilisation de ses produits sur le terrain.

 

Une telle vision professionnelle ne s’acquiert que par l’expérience et le travail de coopération. À ce titre, l’ingénieur logiciel sait travailler avec des experts de tous les horizons : professionnels du marketing, directeurs d’une société de production, enseignants, etc. Il peut également choisir de se spécialiser dans une niche : conception des logiciels pour voitures intelligentes, domotique ou réalité augmentée.

 

L’ingénieur logiciel fait donc preuve de compétences en relations commerciales qui lui permettent d’exposer son projet en réunion, ainsi que de conduire des négociations à la fois avec ses clients et ses collaborateurs. Il peut parfois avoir à charge une équipe et, à ce titre, démontre de compétences dans la gestion des situations d’urgence et la résolution des litiges. Par ailleurs, l’ingénieur logiciel maîtrise parfaitement l’anglais technique et professionnel.

 

Ces grandes compétences techniques font de l’ingénieur logiciel un professionnel activement recherché sur le marché du travail. Il peut exercer au sien d’une entreprise de services du numérique, d’un cabinet de conseil en informatique ou dans le service IT d’une grande entreprise. Il peut aussi être embauché par un studio de création des logiciels informatiques ou faire le choix du travail en tant qu’indépendant.

 

Pour devenir ingénieur logiciel, il est important de se former au sein d’un établissement spécialisé en ingénierie informatique. L’ESGI propose par exemple une spécialisation en Architecture des Logiciels qui permet de trouver un emploi d’ingénieur logiciel dès l’issue de son cursus. La dimension pratique du cursus se caractérise par la participation à des projets professionnels et le rythme de l’apprentissage en alternance.

 

 

Fort de son expérience professionnelle, l’ingénieur logiciel peut faire évoluer son emploi vers des postes à responsabilité. Il pourra prendre en charge la conduite un projet et devenir chef de projet informatique ou encore consultant spécialisé.

Hackathon IABD : les étudiants relèvent le défi


Actualité publiée le 6 avril 2023

Vendredi 3 mars 2023 les étudiants en Mastère 1 de la filière Intelligence Artificielle et Big Data de l’ESGI ont participé au Hackathon IABD 2023. Une journée riche en défis et en apprentissage.

 

hackathon IADB

©ESGI

 

 

Pour ce nouveau Hackathon 2023 de la filière Intelligence Artificielle et Big Data, c’est Inetum qui a proposé une problématique aux étudiants.

 

Inetum est une entreprise de services numériques (ESN) agile. Cette structure de services et de solutions digitales vise à mettre l’humain et le digital au centre du développement durable de la société. Les valeurs que prône Inetum sont aussi bien la solidarité, l’ambition, l’engagement que l’innovation durable, valeurs que partage également l’ESGI.  C’est donc naturellement qu’est née l’idée de travailler ensemble pour le Hackathon Intelligence Artificielle et Big Data.

 

 

L’événement Hackathon Intelligence Artificielle et Big Data

Pour cet événement, l’entreprise Inetum et le directeur pédagogique de la filière Intelligence Artificielle et Big Data ont réfléchi ensemble au défi qu’allaient relever les étudiants de 4ème année : une compétition Kaggle afin de réaliser un cas pratique de Data Sciences et prédiction de DPE coefficient énergétique de bâtiment.

 

Plus particulièrement, un Hackathon type sur l’urbanisme écologique et sur des questions environnementales. En une journée seulement, les 60 étudiants présents ont relevé le défi et se sont investis afin de dépasser leurs limites.

 

Par groupe, ils ont dû réaliser une analyse de données sur un modèle primitif de données de performance énergétique pour l’avenir.

 

« Le but est de créer un petit challenge ludique entre les étudiants. Et également de mettre en avant le partenariat entre Inetum et l’ESGI. », explique Gabriel Prévot, Directeur du pôle Data Science à la Direction de l’Innovation chez Inetum.

 

Il poursuit, « Aujourd’hui l’ESGI est vraiment un partenaire privilégié sur la thématique de l’enseignement pour Inetum. Nous avons plusieurs personnes de nos équipes qui font de l’enseignement et qui donne des cours ici autour de l’intelligence artificielle. De créer de l’événement, de créer de la valeur en termes de réputation, c’est quelque chose de structurant pour Inetum et cela fait également partie du travail que l’on propose à la direction de l’innovation. Le but de cette initiative est de créer une dynamique entre l’école et l’entreprise, de créer une expérience ludique qui va confronter les élèves à des situations qu’ils risquent de rencontrer plus tard, mais aussi un événement qui apporte une vraie valeur à toutes les parties prenantes. », conclut Gabriel Prévot.

 

 

Approfondir ses connaissances

Au-delà du challenge, il est important pour les étudiants de participer à ce genre d’événement stimulant pour enrichir les connaissances déjà acquises au cours des précédentes années d’enseignement au sein de l’ESGI.

 

Durant ce Hackathon IABD, les étudiants disposaient de données de l’ADEME afin de travailler sur des diagnostics de performance énergétique, un sujet des plus actuel avec la révolution écologique que nous vivons. Et au-delà du sujet, l’expérience en elle-même a été très enrichissante pour les étudiants :  

 

« Ce Hackathon m’a permis de me replonger dans une compétition comme nous avons déjà pu le faire en début de 3ème année. Ce Hackathon m’a également vraiment permis de me concentrer sur les fondamentaux que nous avons pu voir au cours des dernières semaines et de savoir ou en été mes compétences par rapport à cela. », affirme Marvin Cherrière, étudiant de 4ème année en Intelligence Artificielle et Big Data.

 

Michel Chen, étudiant de 4ème année en Intelligence Artificielle et Big Data, poursuit, « Pour moi aussi, c’était intéressant, j’ai pu appliquer tout ce que j’avais appris durant ma formation de cette année. Surtout qu’avec ce Hackathon qui avait un sujet particulier, j’ai pu m’exercer et appliquer mes connaissances dans un contexte de compétition particulier. »

 

 

Le coaching des étudiants

Pour aider, coacher et guider les étudiants tout au long de la journée, trois experts d’Inetum étaient présent.

 

  • Thibault Malherbe, Data Scientist chez Inetum
  • Ghiles Cherfaoui, Data Scientist chez Inetum
  • Gabriel Prévot, Directeur du pôle Data Science à la Direction de l’Innovation chez Inetum

 

Grâce à leur soutien, les étudiants ont pu avancer et réaliser leur cas pratique plus sereinement.

 

 

Organiser des événements comme ce Hackathon est important pour l’ESGI et fait partie intégrante de la pédagogie de l’école. Tout au long de leur cursus, les étudiants sont régulièrement amenés à mettre en pratique leurs connaissances par le biais de challenges immersifs.

En quoi consiste le métier d’un consultant CRM ?


Actualité publiée le 4 avril 2023

C’est un professionnel au cœur de la transformation digitale des entreprises : il maîtrise à la perfection l’outil CRM et à ce titre intervient sur le plan informatique et marketing. Fin analyste, il sait consolider les relations entre ses entreprises et leurs clients. En quoi consiste le métier de consultant CRM, quelles sont ses missions et comment se former au métier ? 

visuel consultant crm

© Pexels

 

Utiliser un CRM : la mission du consultant 

L’outil CRM (Customer Relationship Management) est un logiciel informatique permettant de créer de meilleures interactions entre une entreprise et ses clients. L’objectif du programme est d’améliorer les relations commerciales d’une entreprise et permet d’accroître sa rentabilité, sa productivité et améliore ses processus de travail. 

 

Les CRM sont nombreux sur le marché et ils permettent aujourd’hui de prendre en charge l’intégralité du cycle de relation client : depuis les étapes marketing aux interactions avec le service client en passant par les ventes, ou le e-commerce. 

 

Les CRM s’adaptent aux processus de travail de chaque entreprise et s’intègrent à leur système d’information. C’est un instrument aux potentialités considérables qui permet de fluidifier les échanges en interne via des interfaces faciles à utiliser, ce qui favorise considérablement la collaboration inter-services. Chaque département qui compose une entreprise peut donc avoir une vision globale de sa gestion de la relation client et obtient des outils de suivi et des KPIs performants. 

 

Analyse marketing et gestion logicielle : le métier de consultant CRM 

Le consultant CRM a pour principal objectif d’effectuer des analyses techniques en vue de mieux connaître le public cible de son entreprise. Ces audits lui permettent de mieux déterminer les orientations stratégiques à prendre en termes de campagnes marketing, d’innovation, de développement de produit ou encore de technique pour se démarquer de la concurrence. 

 

En pratique, le consultant CRM agit comme un gestionnaire client. Cependant, c’est un expert du digital qui se base sur l’utilisation des logiciels spécialisés. Pour Customer Relationship Management, il s’agit d’algorithmes automatisés permettant de dresser de grands profils de consommateurs en vue de déterminer leurs habitudes de consommation, leurs besoins et leurs attentes. Le consultant CRM utilise donc cet outil en vue de conseiller sa direction ou ses entreprises clientes et mettre sur pied des stratégies d’optimisation de la relation client. 

 

Il peut exercer au sein d’une agence de web marketing, de conseil ou dans un service marketing digital et développement d’une grande multinationale. S’il maîtrise parfaitement son CRM, il connaît également les outils de gestion contemporains comme Salesforce ou Adobe. 

 

 

Quelles sont les compétences du consultant CRM ? 

Le consultant CRM est un fin analyste des données informatiques qu’il récolte. Son métier requiert de faire preuve de vastes compétences en informatique, en marketing, en communication, en management et en gestion de la relation client. 

 

Excellent communicant, le consultant CRM sait présenter de manière intelligible les informations qu’il tire de son système de données. Il maîtrise la data visualization, les outils PAO et adapte aisément son discours à son auditoire. Force de proposition, il effectue également une veille constante de son secteur. Il connaît les dernières versions de son CRM et sait lorsqu’une innovation paraît sur le marché. 

 

Le consultant CRM doit également bien connaître le fonctionnement de son entreprise, puisqu’il doit être en mesure de guider chaque service dans l’utilisation et l’exploitation de l’outil. Il sait donc paramétrer le logiciel en vue de l’adapter parfaitement aux besoins de sa structure. Polyvalent, il est capable de fournir cette vision globale à divers clients, notamment s’il travaille au sein d’un cabinet de consulting digital. Par ailleurs, il est attendu du consultant CRM qu’il endosse une mission de formation du personnel de son entreprise. 

 

 

Consultant CRM : les interventions techniques 

Le consultant spécialisé peut aussi intervenir au plan IT en endossant une mission plus technique, spécifiquement lorsqu’il sélectionne et intègre son CRM au système de sa structure. Dans ce cas de figure, il participe activement au choix des outils informatiques de travail et doit convaincre sa direction du bien-fondé de ses décisions. Il définit aussi les spécificités fonctionnelles du CRM et en gère les flux. Il va travailler sur la construction et la segmentation des bases de données sur lesquelles s’appuie le CRM (et à ce titre, il maîtrise très bien le SQL). 

 

Au plan de la stratégie marketing et du développement, le consultant CRM met en place les solutions de suivi de son logiciel (appelées les tracking) et analyse le comportement en ligne des utilisateurs. C’est également lui qui gère les campagnes de prospection et de fidélisation, ainsi que des analyses de performance des actions et la mise en place d’une stratégie corrective. 

 

Quelles sont les perspectives de carrière du consultant CRM ? 

Le consultant CRM, s’il a suivi une bonne formation en ingénierie informatique notamment, peut devenir responsable clientèle, chargé d’études CRM ou encore chef de produit. S’il poursuit en tant que consultant CRM senior, son salaire peut considérablement augmenter. D’une tranche comprise entre 45 et 50 K€ annuels en tant que consultant CRM junior, il peut obtenir une rétribution dépassant les 55K€ après cinq ans d’expérience. 

 

Pour parvenir à exercer le métier de consultant CRM, il est conseillé de suivre un Bachelor en Management des Systèmes d’Information. Ce type de cursus est proposé au sein des établissements spécialisés en ingénierie informatique. Il permet de se constituer une base de connaissances en gestion de projet, structure d’une entreprise et besoins économique, outils de communication et compétences techniques (matériel, réseau, SI, etc). 

 

Idéalement, il faut que la formation bénéficie du rythme de l’alternance, en vue de permettre aux étudiants de se familiariser immédiatement avec l’offre de CRM sur le marché. 

 

L’ESGI propose à ce titre un cursus en Management des Systèmes d’Information dont le Bachelor débouche sur le métier de consultant CRM. Les étudiants désireux d’opter pour la poursuite d’études peuvent, à l’issue du Mastère spécialisé, devenir responsable informatique, auditeur SI ou directeur des systèmes d’information. 

 

Le consultant CRM est devenu un professionnel incontournable de la transformation numérique des entreprises. 

Comment devenir développeur d’applications web ?


Actualité publiée le 28 mars 2023

Le développeur d’applications web, parfois appelé développeur mobile, est un expert du design digital, de la fonctionnalité des interfaces, du responsive design et de la programmation informatique. Fortement recherché sur le marché du travail, comment se former pour exercer avec succès en tant que développeur d’applications web dès l’issue de ses études ? 

visuel dev appli web

© Pixabay

Zoom sur la mission de conception d’applications du développeur web 

Le développeur web peut être un spécialiste de la conception d’applications. Il travaille sous la responsabilité d’un chef de projet, avec lequel il contribue à établir un cahier des charges pour chaque application sur laquelle il intervient. Dans ce document, il rappellera les besoins de son client, les objectifs à atteindre et les caractéristiques principales du produit à créer. 

 

 

Le développeur d’applications web peut tout à fait donner des avis techniques sur la faisabilité du projet de son client et l’orienter en vue de créer un produit numérique viable, fonctionnel, ludique et performant. 

 

 

Au cahier des charges, le développeur d’applications mobiles fera figurer le langage de programmation à utiliser, les étapes de conception de son produit digital et même les moyens humains à utiliser pour atteindre ses objectifs. En effet, selon la structure au sein de laquelle il travaille, le développeur mobile peut être en charge d’une équipe. Dans ce cas de figure, il vérifiera le bon respect du cahier des charges, du budget et des délais et dispatchera les tâches entre ses différents collaborateurs. 

 

 

Par ailleurs, le développeur d’applications web suit son projet dans son intégralité. Ainsi, il contrôle son bon fonctionnement, procède aux tests de fonctionnalité, améliore son design ou son ergonomie, etc. C’est également lui qui sera l’intermédiaire entre son entreprise de conception de produits web et son client en cas de difficulté technique. 

 

 

 

 

En quoi consiste la méthode de conception du développeur d’applications web ? 

L’objectif du développeur d’applications web est de créer une expérience client unique et réussie. Pour y parvenir, il suit une méthode de conception très spécifique, à cheval entre les disciplines du design et de la programmation informatique. 

 

 

Dans l’industrie des produits web, c’est la méthode Agile qui est principalement utilisée, en complément des principes du DevOps. L’objectif, c’est de baser ses étapes de création de son produit numérique sur les retours des utilisateurs. 

 

 

Selon ces méthodes, les développeurs d’applications web commencent leur travail par déterminer les grandes lignes descriptives de leur produit : fonctionnalités, public cible, budget. Ils produisent très rapidement un wireframe, qui correspond à un prototype sur écran qui comprend le design général et les parcours principaux de l’application. Enfin, ils dresseront l’architecture IT et technique générale de leur projet. 

 

 

Les créateurs numériques passent ensuite à la production proprement dite de l’application. Ils définissent alors les grandes lignes de l’identité visuelle du projet en vue de parvenir à transmettre le message de leur client. Ils travaillent par cycles itératifs en vue de sélectionner le bon format, les meilleures fonctionnalités et le design le plus adapté. 

 

 

Puis ils font évoluer au niveau technique et ergonomique leur application en fonction des retours des utilisateurs. À ce titre, le développeur d’applications mobile va corriger les bugs et améliorer son interface. Il prend d’ailleurs en charge l’hébergement, le monitoring et la maintenance de son produit. 

 

 

Plus que de maîtriser la programmation informatique, le développeur d’application adopte donc une approche fondée sur les principes de l’UX et de l’UI Design. Dans une grande structure, il travaille avec les designers spécialisés. Il doit aussi avoir à l’esprit la dimension commerciale et économique des produits digitaux : son application web a pour vocation d’être vendue, elle doit être attractive pour le grand public et doit rencontrer le succès. 

 

Attention, il est tout à fait possible que le développeur d’applications web intervienne dans les étapes d’après-lancement de son produit. Dans ce cas de figure, il adopte une démarche d’amélioration continue et ajoute de nouvelles fonctionnalités à son produit. Il propose donc des mises à jour régulières de son application web en vue de toujours mieux satisfaire les utilisateurs. 

 

 

 

Devenir développeur d’application web : la bonne formation 

Le développeur spécialisé dans les applications web est un expert informatique doublé d’un bon designer. À ce titre, il a suivi une formation complète en ingénierie informatique et en développement web. Ce type de cursus est proposé par une école spécialisée en informatique et doit comprendre une pédagogie axée vers la pratique : participation à des projets, des séminaires professionnels et rythme d’apprentissage en alternance. 

 

L’objectif est de développer des compétences professionnelles spécifiques : maîtrise des algorithmes, gestion de la data, exploitation du web, conception numérique, etc. 

 

Très autonome, le développeur d’application web doit néanmoins être capable de travailler en équipe. Il effectue aussi une veille constante de son secteur et se forme constamment afin de savoir utiliser les dernières innovations sur le marché. 

 

Ses compétences d’exception lui permettent de travailler dans les services techniques d’une grande entreprise, au sein d’un département web marketing, recherche et développement ou IT. Il peut aussi exercer en agence web et en cabinet de conseil digital où il aura en charge un portefeuille client. Enfin, le développeur d’applications web peut faire le choix de l’indépendance et adopter le statut de free-lance. 

 

Un développeur d’applications web débutant peut gagner un salaire d’environ 35 000 euros annuels bruts. Selon ses années d’expérience, ses compétences et la structure qui l’emploie, un développeur senior est en mesure d’obtenir une rétribution de près de 60 000 euros annuels bruts. 

 

L’ESGI propose une spécialité en Mastère : Architecture des Logiciels. La filière permet de se former au métier de développeur d’application web. Caractérisé par son haut niveau en ingénierie informatique et par sa pédagogie pratique, le cursus en alternance permet de trouver un emploi dès l’issue de sa formation. 

 

Le développeur d’applications web peut se construire une carrière prestigieuse dans les métiers de l’informatique, du web et du digital. Par exemple, il peut se reconvertir dans la programmation ou devenir chef de projet informatique.

ESGI : Retour sur le Hackathon “Mob and Soft, Let’s be social Together”


Actualité publiée le 24 mars 2023

Du 1er au 3 mars dernier a eu lieu le Hackathon 2022/2023 des filières « Architectures des Logiciels » et « Mobilité des Objets Connectés » de l’ESGI. En partenariat avec Extia, cet événement a permis aux étudiants de 4ème année de ces deux filières de se challenger.  

visuel hackathon

© ESGI

 

Qu’est-ce qu’un Hackathon ? 

Un Hackathon est un événement de courte durée généralement de 24 à 72h heures, pouvant aller jusqu’à 5 jours dans de rares cas, au cours duquel des développeurs, des entrepreneurs et des experts en technologie se réunissent pour collaborer sur des projets créatifs liés aux dernières technologies. 

 

Au cours d’un Hackathon, les étudiants travaillent ensemble pour concevoir, développer et présenter des prototypes fonctionnels de solutions innovantes dans un domaine particulier. Généralement, pour des Hackathons, les participants utilisent des technologies de pointe telles que l’intelligence artificielle ou la blockchain par exemple. Tout au long de « l’exercice » les participants sont encadrés et coachés par des professionnels du secteur. 

 

Les Hackathons sont souvent organisés par des écoles en informatique et des entreprises pour stimuler l’innovation et la créativité, pour découvrir des talents ou pour résoudre des problèmes spécifiques. Les Hackathons peuvent avoir des thèmes spécifiques, tels que les applications mobiles ou les technologies durables pour ne citer qu’eux.  

 

 

L’organisation et le coaching  

Organisé depuis plusieurs années par Frédéric Sananes, directeur pédagogique des filières « Architectures des Logiciels » et « Mobilité des Objets Connectés »,les Hackathons sont événements durant lesquels les étudiants vont être totalement immergés dans le projet. Cela leur permet également de mettre en application leurs connaissances de façon plus ludique. Pour les coacher et les aider tout au long de ces 3 journées intenses, l’ESGI avait réuni une équipe de choc : 

  • Christophe Delon, spécialiste du développement Java, développement Android et enseignant à l’ESGI depuis 2014 

  • Thomas Ecalle, directeur technique de l’entreprise Flappy 

  • Raphael Kiffer, membre de l’équipe Flappy

 

 

Le projet Hackathon Mob and Soft, Let’s be social Together

Pour l’entreprise partenaire Extia, le bien-être et la convivialité sont les raisons d’être de la société. Et, depuis quelques années, ils ont décidé d’inclure également des dimensions environnementale et sociétale à l’ensemble des décisions quotidiennes.

 

« Pour l’organisation du Hackathon avec l’ESGI, j’ai été en contact avec Frédéric Sananes et c’est ensemble que nous avons réfléchi à la thématique et réfléchi également à de petits challenges pour ces 3 jours de Hackathon. C’est quelque chose que l’on apprécie beaucoup chez Extia, cela nous permet d’échanger avec de nombreux étudiants de filières spécifiques. Nous sommes très contents de collaborer avec l’ESGI et on espère en faire encore pleins d’autres.», explique Soumia Mounir, chargée de recrutement et des relations entreprises chez Extia.

 

En l’occurrence, pour ce Hackathon, les étudiants de 4ème année des filières Architectures des Logiciels, et Mobilité et Objets Connectés devaient s’associer par groupe afin de réaliser une application Web et/ou Mobile ainsi qu’un ensemble de services dont les sources ont été déposés sur Github (plateforme open-source permettant aux étudiants de partager le code informatique de leurs projets afin de travailler dessus de façon collaborative).

 

Le challenge pour les étudiants était donc le suivant :  construire une application web ou mobile, afin de permettre à l’entreprise de concilier performance et bien-être au travail. Le livrable devait également être constitué si nécessaire de tous les éléments DevOps et Data construits pour la solution.  

Ainsi, la pertinence de l’application était évaluée selon différents critères : réponse à la problématique, créativité, gamification, qualités des services, interactions utilisateurs, outils d’accessibilité, agents conversationnels et interfaces. 

 

« Pendant ce Hackathon, nous avons créé une application Swift intégrant de la réalité augmentée pour proposer des emplacements de plantes sur les bureaux. Cet événement était assez intense et fatiguant mais très stimulant intellectuellement. Nous avons appris à faire beaucoup de choses en très peu de temps. C’était vraiment très intéressant ! », a réagi Théo Omnes Mouhamadou, étudiant en 4ème année d’Architecture des Logiciels à l’ESGI. 

 

 

Pour répondre à la problématique d’Extia, les étudiants de 4ème année AL et MOC ont pu compter sur le coaching des professionnels de Flappy ainsi que sur Frédéric Sananes et Christophe Delon. Grâce à leur impressionnante motivation, tous les étudiants ont réussi à fournir un projet quasiment viable en seulement trois jours. L’ESGI est très heureuse d’organiser ce genre d’événements afin de permettre aux étudiants d’apprendre à se surpasser chaque jour un peu plus 

 

En quoi consiste le métier de rédacteur web ?


Actualité publiée le 21 mars 2023

Aussi appelé copywriter, le rédacteur web occupe une place centrale dans l’élaboration des contenus sur la toile. Analyste SEO, plume d’exception et connaisseur du fonctionnement des dernières versions des algorithmes de recherche : zoom sur le métier et les formations à suivre pour faire carrière à son tour. 

visuel redac web

© Pexels

 

Quelles sont les missions du rédacteur web ? 

Le rédacteur web poursuit un objectif : produire du contenu textuel en cohérence avec la stratégie éditoriale et SEO du client ou de l’agence pour lequel il travaille de manière à optimiser la visibilité de son site internet. 

 

C’est un expert de la rédaction technique : il sait écrire pour le web, construit ses phrases en respectant de hauts niveaux qualitatifs tout en ne perdant jamais de vue les besoins d’indexation de ses productions. Concrètement, il formule élégamment son propos en y intégrant les mots-clés les plus propices à propulser les sites dont il a la charge en première place des moteurs de recherche. 

 

Pour démarquer ses productions de la concurrence, le rédacteur web fait preuve d’originalité. Il ne plagie ni ne copie jamais du texte existant, bien conscient que la version panda de Google sanctionne sévèrement les contenus dupliqués. Il effectue également une veille des tendances de son secteur, en vue de déterminer ce qui marche auprès des internautes et mieux formuler ses propos. Le contenu de ses textes doit être pertinent et cohérent avec l’image de marque et le message de son client. 

 

Le rédacteur web produit du contenu texte, néanmoins, il doit faire preuve de flexibilité et savoir écrire des articles d’actualité, des billets de blog, mais également des quizz des sondages ou des posts sur les réseaux sociaux. Il sait donc travailler avec les équipes de web marketing, de communication digitale, d’optimisation SEO et les community manager. Aujourd’hui, on note que le rédacteur web est généralement payé au mot lorsqu’il travaille en indépendant et qu’il bénéficie d’une rémunération mensuelle s’il est salarié d’une agence. 

 

 

Le rédacteur web et le SEO 

S’il n’est pas toujours demandé au rédacteur web de réfléchir à la stratégie de référencement de son client, c’est malgré tout un expert des techniques du SEO, du SEA et du SMO. Il en connaît les principales méthodes : indexation, recherche par mots-clés, arborescence, publicités payantes, etc. Cette expertise lui permet de mieux formuler ses textes en fonction de leur positionnement stratégique et de leur canal de diffusion. Bien souvent, il est aussi demandé au rédacteur Web de connaître les bases du code HTML. 

 

Par ailleurs, cette connaissance approfondie du web est cruciale pour le rédacteur web qui souhaite évoluer professionnellement. Il pourra ainsi devenir chef de contenu web, chef de projet digital ou community manager. Ces professions lui offriront de démultiplier ses missions professionnelles, d’être plus polyvalent et de développer la dimension stratégique de son métier. 

 

Cette vision globale des stratégies Web lui permet de créer des contenus véritablement adaptés au support de diffusion. Le rédacteur web peut tout à fait développer une spécialité propre : rédacteur sportif, financier ou commercial par exemple. La très grande technicité de certains secteurs économiques requiert que les rédacteurs Web démontrent de très hautes compétences dans leur corps de métier (e-commerce, service informatique ou encore cybersécurité et gouvernance). 

 

La grande flexibilité du rédacteur Web lui permet de travailler avec des clients très hétéroclites. Il collabore avec les agences digitales ou les services communication des plus grandes marques, les blogueurs (qui ont besoin d’un service externalisé ponctuel) ou directement avec les professionnels qui opèrent la refonte de leur site. Pour fournir un service de qualité, le rédacteur Web devra croiser ses compétences personnelles avec une méthodologie stricte et rigoureuse. À ce titre, il sait effectuer une recherche en se basant sur des sources viables et véridiques, mettre en forme un contenu unique, relire ses productions, veiller à la syntaxe et à produire des contenus exempts de fautes d’orthographe. 

 

 

Quelle formation suivre pour exercer comme rédacteur Web ? 

Il n’existe pas de cursus spécialisé pour le métier de rédacteur web. En vue d’exercer le métier, il faut suivre une formation orientée en ingénierie du web, marketing ou communication digitale. Puis, fort de ses compétences spécialisées, il est conseillé de pratiquer très rapidement la rédaction orientée web via des stages en alternance ou la tenue régulière d’un blog personnel. 

 

Il est important, au titre de sa formation universitaire, d’appréhender les contraintes de l’écriture digitale, de l’indexation, de la lisibilité par les internautes et de l’attractivité en ligne. Il faut aussi pouvoir mettre sur pied soi-même une stratégie de référencement naturel viable : 

 

  • Identification des besoins d’une entreprise. 
  • Définition des objectifs : accroissement de la visibilité, e-réputation, conversion des prospects ou accroissement des ventes. 
  • Sélection des moyens à mettre en œuvre pour y parvenir : stratégie éditoriale de contenu textuel, utilisation des divers canaux de diffusion, élaboration des formats. 
  • Évaluation de l’intérêt de l’utilisation du Netlinking. 

 

Idéalement, la formation se suit en alternance afin d’assurer à l’étudiant d’une dimension pratique importante. En effet, les recruteurs du secteur digital et les grandes agences de communication en ligne apprécient les profils de candidats qui justifient d’une expérience professionnelle dès l’issue de leur parcours universitaire. 

 

L’alternance consiste également en un véritable tremplin professionnel : il n’est pas rare de voir des contrats et les conventions de stage déboucher sur une véritable embauche. C’est aussi une opportunité de financement de ses études qui permet à tous les étudiants d’intégrer les plus grandes écoles spécialisées en web et en ingénierie informatique. 

 

L’ESGI, la première école en alternance spécialisée en ingénierie informatique, propose des cursus premium qui permettent de tout comprendre des contraintes et des besoins professionnels du web. Les débouchés de ses formations sont multiples : web développeur spécialisé comme rédacteur web. 

 

 

La rémunération du rédacteur Web varie en fonction de ses modalités d’exercice. Nombreux sont ceux qui font le choix de travailler en free-lance : le statut d’indépendant permet de multiplier les projets et offre une rémunération variable. Le rédacteur Web salarié par une agence de communication, il peut obtenir près de 38K€ annuels bruts après cinq à dix années d’expérience. 

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