Green IT : comment faire de l’informatique durable ?


Actualité publiée le 5 avril 2021

Green IT

La green IT, également appelée « green computing », a pour principale vocation de réduire l’empreinte carbone pouvant être générée par le système informatique d’une société, tout en l’aidant simultanément à faire des économies. Focus sur cette tendance pleine d’avenir !

Quelques gestes simples

Il serait illusoire de penser que la pollution informatique n’existe pas, car selon plusieurs études réalisées à ce sujet, les émissions de CO² liées à l’industrie informatique représenteraient le double de celles émises par l’industrie aéronautique commerciale.

Dans un contexte de prise de conscience écologique généralisée, il existe désormais de nombreuses manières de pratiquer la green IT pour les sociétés. Bon nombre d’entre elles par exemple, se sont déjà mises à utiliser le cloud computing, car c’est une excellente façon de faire baisser leur facture électrique ! Afin de faire diminuer leur consommation énergétique, certaines sociétés utilisent également des processeurs à basse consommation.

D’autre part, de nombreuses entreprises tentent de limiter au maximum les déplacements de leurs salariés (cette tendance s’est d’ailleurs trouvée très renforcée durant la période de confinement lié à la crise de la covid-19). Elles tentent ainsi de réduire les voyages en avion ou en voiture de leur personnel, en mettant en place un système de visioconférence : pendant le confinement, de nombreuses réunions ont par exemple pu avoir lieu grâce à des logiciels tels que Zoom ou Skype.

Repenser sa consommation de matériel informatique permet également de pratiquer la green IT. Les entreprises sont en effet encouragées à conserver leur matériel le plus longtemps possible : ainsi, lorsqu’un appareil semble hors d’usage, elles peuvent d’abord tenter de le faire réparer ou de faire marcher sa garantie, au lieu de systématiquement en acquérir un neuf.

Une réalité technique

De manière globale, le concept de green IT peut être défini de deux manières. D’un côté, il s’agit d’un ensemble de technologies qui peuvent être utilisées par les sociétés pour faire baisser leur empreinte carbone et leur consommation d’énergie. En d’autres termes, ce sont donc les dispositifs dont bénéficient les entreprises pour réduire leur impact environnemental lié à leurs pratiques informatiques. D’un autre côté, ce terme désigne également les principes à la fois éthiques et économiques adoptés par les entreprises écoresponsables, qui s’inscrivent dans la recherche d’un développement durable.

La mise en place d’une green IT ne peut toutefois pas être improvisée, car ce concept désigne une réalité technique. Pour pratiquer la green IT dans les meilleures conditions, il est donc impératif de faire appel à un spécialiste ayant suivi une formation poussée dans le domaine de l’informatique. Certaines écoles spécialisées, comme l’ESGI, proposent d’ailleurs de nombreux cursus dédiés à l’enseignement des différentes branches de l’informatique !

Grâce à ses nombreuses compétences, l’ingénieur informaticien pourra par exemple conseiller des bonnes pratiques de programmation, qui permettront à son client de réaliser des économies de mémoire et de faire baisser la consommation des processeurs.

Déjà très en vogue, la green IT devrait continuer de se démocratiser dans les années à venir. En effet, elle permet aux entreprises de faire un geste pour la planète, tout en leur faisant réaliser d’importantes économies !

Etudier à l’étranger : témoignage de Pierre LOCHOUARN


Actualité publiée le 1 avril 2021

Pierre Lochouarn

Pierre Lochouran, étudiant de la filière Architecture des Logiciels, a décidé de partir étudier un an à l’UQAC, l’Université du Quebec à Chicoutimi. Une expérience qui lui a permit de découvrir une nouvelle culture et de nouvelles façons de travailler.

Pourquoi avez-vous décidé de partir en échange ?

J’ai trouvé que c’était une bonne opportunité pour voyager et découvrir d’autres mentalités sur la façon de travailler

 

Pourquoi avez-vous choisi ce pays ?

Tout d’abord car on y parle français. Ensuite, parmi les voyages proposés, le Canada me semblait plus attirant que les USA.

 

Quels étaient vos objectifs avant le départ ? Ont-ils été atteints ?

Mes objectifs étaient de découvrir le pays et d’appréhender d’autres façons de travailler. Je suis assez satisfait car j’ai pu faire les deux.

 

Quelles sont les choses que vous avez remarquées concernant votre cursus dans une autre école ?

Il y a peu d’heures de cours et beaucoup de travail à la maison. La pédagogie est proche de celle en France excepté le fait que l’on ne fait que de la théorie en cours et c’est à nous de réaliser des projets et d’appliquer la théorie.

Le niveau est peut-être légèrement inférieur à celui des écoles françaises mais, à la différence du système de notation en France qui permet de « se rattraper » avec d’autres matières, au Canada il faut être bon dans toutes les matières.

J’ai choisi cette école car elle propose énormément de domaines différents.

 

Pouvez-vous nous décrire brièvement une journée type ?

Je vais en cours, je passe à la BU lorsque j’ai du travail (ce qui est souvent le cas) puis je rentre chez moi. J’ai généralement le temps d’aller à la salle de sport

 

Pouvez-vous nous citer trois endroits que vous fréquentez souvent ?

Le cinéma est incontournable, peu importe le pays. J’ai fait également beaucoup de ski pendant l’hiver au mont Belu qui est à 25 min en voiture, et bien sur le bar UQAC où toutes les soirées universitaires se font.

 

Quel meilleur souvenir gardez-vous de vos sorties ou excursions ?

L’association de ski propose énormément d’excursion dans différents monts, j’ai également pu faire du chien de traineau. Cependant mon meilleur souvenir restera d’avoir vue des aurores boréales

 

Se loger : est-ce facile ? Comment avez-vous trouvé votre logement ?

C’était assez simple, il y a de nombreuses location. Pour ma part j’ai utilisé des sites de location mais je sais que l’université aide beaucoup les étudiants à s’installer

 

Avez-vous des conseils à apporter ?

Je pense qu’il est plus intéressant de trouver un logement hors campus, vous aurez plus de liberté et cela sera surement moins cher.

 

Comment s’est passée votre arrivée dans le pays et comment avez-vous été accueilli(e) ?

Pour ma part je suis arrivé un peu tard donc j’ai été dans le rush dès le début ce qui est assez stressant. Concernant l’accueil, les québécois sont des gens très chaleureux donc tout s’est bien passé.

 

Vous êtes-vous intégré(e) au sein de l’université partenaire et avec les étudiants locaux ? A quels événements étudiants avez-vous participé ?

Comme je le disais, j’ai rejoint l’associations ski et fait les Party Universitaire (PU). Néanmoins, je n’ai pas pu m’intégrer aux étudiants locaux car en maîtrise informatique il n’y a que des français

 

Pouvez-vous nous donner trois adjectifs qui qualifieraient votre expérience d’expatrié ?

Enrichissant, motivant et intéressant sur le plan du travail.

 

Quels conseils pouvez-vous donner aux étudiants qui souhaitent partir ?

Commencez vite vos démarches administratives, c’est très long et lors de la demande du PE (permis d’étude) ajouter le document optionnel en y précisant votre rentrée, cela accélèrera la démarche.

Les compétences nécessaires pour devenir expert développeur


Actualité publiée le 29 mars 2021

À l’ère du digital, les experts en informatique sont plus sollicités que jamais sur le marché de l’emploi. Le métier de développeur fait notamment l’objet d’une demande accrue, car ce professionnel est en mesure de traduire la demande d’un client en code informatique. Quelles sont les compétences requises pour devenir un expert développeur ?

Plusieurs spécialisations possibles

Grossièrement, le développeur web met ses compétences en œuvre pour mettre du contenu en ligne, ce qui se traduit par la création d’un site internet. Il doit donc connaître de nombreux langages web, car ils lui servent régulièrement à coder les pages web qu’il doit créer.  Pour lui, la connaissance du langage HTML est par exemple un véritable indispensable, mais il doit également connaître d’autres langages de programmation, tels que le langage CSS, JavaScript, PHP, MySQL, etc. Parmi ses nombreuses compétences, le développeur doit également être familiarisé avec les différents outils de programmation, et maîtriser les outils de CMS.

Un développeur dit « expert » est généralement considéré comme un spécialiste d’une technologie précise. Il est notamment possible d’être un expert Ios (en se spécialisant dans la programmation d’applications pour iPad et iPhone), un expert du langage Java, un expert en cybersécurité, etc. Par ailleurs, l’expert développeur justifie systématiquement d’un certain nombre d’années d’expérience.

Un niveau d’études élevé

Indépendamment de ses compétences en informatique, l’expert développeur doit attester de références solides, et mener une veille technologique constante afin de bien rester à jour sur les différentes avancées techniques.

L’expert développeur doit également avoir mis ses compétences en œuvre dans des projets concrets, en rapport avec son domaine de spécialisation. Un expert en développement mobile par exemple, aura notamment pris part à des projets incluant différentes sortes de technologies, sur des champs d’action différents, et dans différentes versions.

Il est également en mesure de comprendre les tendances du moment de façon instantanée, et se révèle capable d’anticiper les évolutions technologiques à venir, ce qui lui permet de faire des choix plus facilement.

Par ailleurs, son excellente vision d’ensemble lui permet de donner la bonne impulsion aux projets sur lesquels il travaille. C’est aussi un bon communiquant, qui peut transmettre son savoir et ses compétences à ses pairs.

Le salaire médian d’un expert développeur web s’élève à 37 250 euros annuels, ou à 19 euros de l’heure. Pour occuper ce poste, il est toutefois impératif de justifier d’un bac+ 5 en informatique, car les compétences attendues sont très élevées. Certaines écoles de génie informatique, comme l’ESGI, proposent d’ailleurs un cursus Mastère exclusivement dédié à l’Ingénierie du Web et à ses professions. Avec des cours portant sur la technologie web et frameworks, les outils et l’environnement web, ou encore l’analyse, conception et gestion de projet web, l’étudiant a alors la garantie d’acquérir toutes les connaissances nécessaires pour se préparer à devenir expert développeur !

 

 

L’expert développeur dispose non seulement de nombreuses compétences, mais justifie également d’un certain niveau d’expérience, ce qui lui permet de prendre des décisions avisées et de mener à bien les projets sur lesquels il travaille.

Rencontre avec les alumni de l’ESGI – Elisabeth LY


Actualité publiée le 26 mars 2021

Elisabeth LY

Présentez-vous-en quelques mots…

Je m’appelle Elisabeth Ly, 30 ans et je m’occupe actuellement de la gouvernance Cybersécurité au sein d’Allianz France.

Après quelques années à l’étranger, je suis rentrée en France pour me former là où la Cybersécurité est la plus avancée.

Sinon, j’adore manger et pratique la boxe thaï.

 

Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation ?

J’ai intégré l’ESGI en 2012 pour un Bachelor et suis sortie en 2015 avec un Mastère en Sécurité Informatique.

 

Quels ont été, d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?

Les principaux avantages de la formation sont, à mon sens, l’aspect pratique très présent à l’ESGI contrairement à d’autres écoles qui proposent des cursus plutôt théoriques. Le fait de mettre en pratique la théorie permet d’avoir un apprentissage plus concret et rapide dans la mesure où la formation nous met face à des problématiques réelles du monde du travail ce qui nous permet de rester dans le concret.

Le second point fort de la formation est le corps enseignant. Les professeurs viennent directement du milieu professionnel et échanger avec eux m’a permis d’avoir un réel apprentissage du métier et des problématiques relatives à celui-ci et non pas un apprentissage uniquement académique.

 

Quel souvenir gardez-vous de vos années d’études au sein de l’ESGI ?

Je suis contente d’avoir finis mes études mais je garde de bons souvenirs dans l’ensemble, il y avait beaucoup d’entraide entre les professeurs et mes anciens camarades malgré la charge de travail conséquente. C’était plutôt une bonne ambiance, on est tous dans le même bateau et on rame ensemble !

 

Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?

Être curieux et avoir l’esprit critique, ce n’est pas parce qu’on vous donne une procédure à effectuer qu’elle fonctionnera forcément et que c’est la meilleure façon de faire.

 

Avez-vous gardé contact avec vos anciens camarades ?

Oui quelques-uns mais ayant vécu 3 ans à l’étranger après mes études, c’était compliqué.

 

Parlez-nous de vos missions actuelles. (CDI?, mission…)

Je suis actuellement en CDI chez Allianz France dans l’équipe du RSSI qui est en charges de la gouvernance Cybersécurité. Pour résumé, je construis des processus, les fais appliquer et m’assure qu’ils le sont au quotidien. Le tout ayant pour but de limiter les risques encourus pour Allianz France.

 

Quels outils/logiciels spécifiques utilisez-vous pour vos projets ? Si vous ne deviez recommander qu’un seul logiciel, ce serait lequel ?

Excel, ça parait bête mais c’est un outil très puissant.

 

Quelle(s) avancée(s) technologique(s) attendez-vous avec impatience ?

Une IA qui travaillera à ma place pour pouvoir prendre des vacances !

Quelles compétences pour devenir Ingénieur en Cybersécurité ?


Actualité publiée le 23 mars 2021

Dans un contexte où les sociétés cherchent activement à se protéger contre les cyberattaques dont elles sont parfois victimes, le métier d’Ingénieur en Cybersécurité est actuellement très prisé sur le marché de l’emploi. Focus sur cette profession d’avenir.

Les missions de l’Ingénieur en Cybersécurité

L’Ingénieur Cybersécurité est responsable de la sécurité des données de son entreprise. Au quotidien, il lutte contre les différentes tentatives d’intrusion, afin d’éviter que des pirates informatiques n’exploitent des failles contenues dans le système informatique.

Ainsi, il effectue des audits réguliers du niveau de sécurité des systèmes informatiques, des applications web, ou de tout autre point d’entrée qui pourrait éventuellement permettre une attaque. Il doit donc détecter et analyser les différents incidents ou menaces, en identifiant leurs sources, leurs mécanismes, dans le but de leur bloquer l’accès au système.

Il doit également anticiper des plans d’action bien précis, qu’il faudra mettre en œuvre en cas de problème. Par exemple, comment réagir au lendemain d’une attaque ? Que faire en cas de faille constatée sur le site internet ?

De plus, l’Ingénieur en Cybersécurité se doit de sensibiliser le personnel de son entreprise sur les bonnes pratiques à adopter pour limiter le risque de cyberattaque. Il fait notamment en sorte que certaines erreurs évidentes soient évitées : par exemple, il peut expliquer à ses collègues pourquoi il ne faut jamais laisser un mot de passe écrit sur un post-it, ou bien laisser d’anciens employés accéder aux bases de données, etc.

 

Un niveau d’expertise élevé

L’ingénieur Cybersécurité dispose de nombreuses qualifications. En effet, il justifie de nombreuses compétences dans le domaine du développement informatique (notamment sur JavaScript et C/C++). Par ailleurs, il est parfaitement à l’aise avec les différents systèmes d’exploitation disponibles. Il est également en mesure de comprendre les fonctionnements, parfois très complexes, des architectures réseaux, qu’elles soient internes ou externes.

Au niveau de la rémunération, il faut noter que le salaire d’un Ingénieur en Cybersécurité est amené à rapidement évoluer dès sa sortie de l’école. Il peut atteindre 40 000 annuels au cours des deux premières années d’exercice, et augmente ensuite selon le nombre d’années d’expérience et le type d’employeur.

En général, l’Ingénieur en Cybersécurité est titulaire d’un bac +5 obtenu au sein d’une école d’Ingénieur, avec une spécialisation principale dans le domaine de la sécurité. L’ESGI par exemple, propose un cursus Mastère exclusivement consacré à la Sécurité Informatique. Cette formation propose de nombreux enseignements incontournables, qui permettront à l’étudiant de devenir un véritable spécialiste de la sécurité Informatique : il recevra notamment des cours portant sur la sécurité avancée des systèmes, la détection des intrusions (Thread Hunting), la cryptographie avancée, la sécurité des IoT…

Véritable garant de la sécurité des systèmes d’information, l’Ingénieur en Cybersécurité est aujourd’hui particulièrement recherché sur le marché de l’emploi, en particulier auprès des banques, des assurances, ou dans le secteur de la défense. Il atteste toutefois de compétences élevées, et doit avoir suivi une formation poussée dans le domaine de l’ingénierie et de la sécurité informatique.

ESGI X Gandi Social Club


Actualité publiée le 18 mars 2021

Gandi Social Club

L’ESGI propose régulièrement à ses étudiants de travailler sur des projets concrets. C’est l’objectif de la pédagogie par projet mis en place au sein de l’école, sur toutes les années, du bachelor aux mastères. Et Gandi a donné l’opportunité à quatre étudiants de mettre en application leur expertise.

 

C’est au travers du Gandi Social Club que le projet a pu voir le jour. Cette plateforme a pour but de mettre en relation des ONG, des associations, ayant un besoin, un projet, avec des écoles ou des encadrants pédagogiques. L’objectif : permettre au demandeur de réaliser son projet et aux étudiants d’expérimenter et de mettre en application leurs connaissances.

 

Et c’est sur la plateforme du Gandi Social Club que les étudiants de l’ESGI ont travaillé :

 

« Cela a été notre premier projet scolaire à destination d’un client réel que l’on a réalisé de A à Z, c’est-à-dire de la direction technique à la relation client. L’expérience fut aussi amusante qu’enrichissante, cela nous a permis de mettre en pratique des compétences étudiées en cours : gestion de projet, relation client, transformation des besoins métier en besoins techniques, développement d’applications riches et complexes, DevOps, etc… Cédric, notre contact avec Gandi a été un client très impliqué dans le projet et disponible pour nous aider à mener à bien ce projet ensemble.
Toute l’équipe pédagogique de la filière Web était là pour nous épauler, notamment Adrien MORIN et Yves SKRZYPCZYK qui étaient disponibles pour nous aider sur des problématiques techniques.
Travailler sur ce projet a donc été une réussite pour nous, puisque toutes les personnes impliquées par ce projet nous ont fait confiance pour sa réalisation et le client était satisfait de l’application finale. Nous sommes encore aujourd’hui en relation avec Gandi pour les appuyer sur de la maintenance applicative. Gandi Social Club est le début d’une formidable collaboration et nous sommes fiers d’avoir été sélectionnés pour réaliser cette solution. »

Amin NAIRI – Etudiant de 5ème année en Ingénierie du Web

 

La plateforme, désormais fonctionnel, répond donc complétement aux besoin du client qui a pris beaucoup de plaisir à travailler avec ces étudiants :

 

« Grâce à l’ESGI et à une équipe de 4 étudiants hyper-motivés, Gandi a pu se doter d’un outil Web performant, totalement conforme au cahier des charges, avec même des propositions d’évolution pertinentes de la part de cette jeune équipe. Ils ont réalisé un travail de niveau professionnel, sans compter leur temps, jours fériés et week-end inclus quand c’était nécessaire et ont su revenir après la livraison pour peaufiner le job alors que le projet était clos de leur côté. »

Cédric LEROY – Marketplace Manager chez Gandi

 

Une belle première expérience pour l’ESGI qui n’hésitera pas à mettre de nouveau en contact ses étudiant avec des projets pertinents et enrichissants !

Les métiers les plus recherchés en IA et Big Data


Actualité publiée le 15 mars 2021

Les métiers de l’IA et du Big Data ont actuellement le vent en poupe, et ils devraient représenter une part non-négligeable des emplois occupés dans un futur proche. Quelles sont les professions les plus sollicitées à l’heure actuelle ?

Les métiers de la donnée au cœur des offres d’emploi

Au cours d’une étude menée en 2019, la plateforme de recherche d’emploi Indeed a dévoilé les métiers du Big Data et de l’IA qui étaient les plus prisés par les recruteurs.

Avec un salaire moyen de 142 858 dollars annuels, c’est la profession d’Ingénieur en Machine Learning qui se hisse en tête de ce classement. Concrètement, cet ingénieur est un spécialiste de la data, et il a pour rôle d’apprendre aux IA et aux logiciels en utilisant différentes données. La majeure partie de son travail consiste donc à développer des algorithmes et à rédiger des programmes, afin de pouvoir extraire des informations pertinentes au sein d’un très large éventail de données.

La profession de Data Scientist se hisse en deuxième position des métiers les plus recherchés en IA et en Big Data, car elle offre une rémunération moyenne de 129 927 dollars chaque année. Le Data Scientist est un expert des sciences des données, qui analyse généralement des datas relatives à des clients ou à des prospects. Ces datas ont préalablement été récupérées par son entreprise via différents canaux, et il doit ensuite les restituer en les articulant sous forme de prospectives, de conseils, etc. La plupart du temps, il part d’une problématique générale, et doit sélectionner les données dont il aura besoin pour y répondre.

Un secteur porteur

Parmi les métiers du Big Data et de l’IA les plus prisés, on peut également citer celui d’Architecte Data, qui reçoit un salaire d’environ 128 000 dollars annuels. Au quotidien, il est chargé d’assurer l’ordre et l’organisation de la récupération et la gestion des données brutes. Il a la mission complexe de construire les fondations des systèmes de gestion, de prédiction ou d’analyse qui ont des données pour principale ressource.

Enfin, les Ingénieurs en Algorithme se distinguent parmi les métiers du Big Data les plus recherchés dans le monde, car ils reçoivent un salaire annuel d’environ 109 313 dollars.

Les technologies du Big Data et de l’IA semblent donc particulièrement prometteuses sur un plan professionnel, car elles font émerger de nombreux métiers, dont les qualifications sont cependant très élevées. Dans ce contexte, il peut sembler très pertinent d’orienter ses études vers l’un de ces domaines. Certaines écoles de génie informatique, comme l’ESGI, proposent d’ailleurs un cursus Mastère exclusivement consacré à l’Intelligence Artificielle et au Big Data !

Les métiers de l’IA et du Big Data s’illustrent aujourd’hui comme les professions les plus prisées du monde. Elles exigent toutefois un très haut niveau de qualification en informatique, et à ce titre, il est indispensable de s’y former au sein d’un établissement spécifique.

MCSI Day – 6ème édition


Actualité publiée le 12 mars 2021

MCSI Day

Depuis plus de 30 ans, l’ESGI forme des professionnels dont les compétences sont reconnues auprès des entreprises. Forte d’un réseau de plus de 7500 anciens et de 1900 étudiants en alternance, l’ESGI délivre une Certification Professionnelle Bac+5 Niveau 7 reconnue par l’Etat.

 

Parmi les 9 filières proposées à nos étudiants, la spécialisation Management et Conseil en Systèmes d’Information permet d’acquérir des compétences opérationnelles dans toutes les problématiques inhérentes aux déploiements, à la gouvernance et au pilotage des Systèmes d’Information. Ces compétences, tant sur le plan managérial que technique, sont aujourd’hui un enjeu majeur pour les sociétés qui ont besoin de faire évoluer et adapter en permanence leur Système d’Information.

Chaque année est organisé le MCSI Day, journée dédiée à la filière. Cette année, de nombreux professionnels sont venus échanger avec les étudiants : 

  • Florent BOUGON – Consultant pour EXTIA est intervenu sur « La gestion de projet des SI avec la méthode Agile »
  • Maximilien BERSOULT – Software Developer chez CENTREON a abordé le thème de « L’observabilité : visibilité sur votre SI, mais pas uniquement »
  • Arnaud REA – Responsable PMO chez DOCAPOSTE a animé la conférence « Présentation d’un volet du SI pour la Poste »
  • Servane KOUIDRI – Consultant pour HRConseil a présenté « Le rôle de l’AMOA dans un projet »
  • Patrick GIRAULT – Ingénieur SI pour le Conseil Départemental des Hauts-de-Seine est intervenu « Le SI départemental »
  • Yamina SEDDOUKI – Cheffe de projet chez CHSF a abordé la question de « Comment élaborer un Schéma Directeur pour son Système d’Information »
  • Alice LEGROS – Chargée de projets chez APHP-International a animé la conférence « Les clés pour réussir son projet à l’international »
  • Ferdinand TACHDJI – Consultant pour TCP a présenté « Les facteurs clés de la réussite du changement »
  • Branck BRUCHET – Consultant pour NATIXIS est intervenu sur « Les Enjeux des Outils collaboratifs »
  • Stéphane LARCHER – Expert SI chez ESNIH a abordé le thème de la « Virtualisation et production informatique »
  • Lova RAKOTOZAFY – Expert Audit chez MAZARS est intervenu sur le sujet « Audit et Conseil »
  • Marc-Antoine GAMEIRO – Responsable MCO pour l’Agence du numérique en santé a animé la conférence « Anciens de l’ESGI : Que sont-ils devenus ? »

 

Les différentes présentations ont permis d’appréhender les méthodes, méthodologies et technologies permettant la mise en service et le pilotage d’un système d’information complexe, et de mesurer les transformations induites dans l’organisation d’une entreprise.

Cet ESGI MCSI Day a aussi été l’occasion de présenter des technologies de virtualisation de SI mais également de présenter des méthodologies de conception de schémas directeur. Les nombreuses entreprises présentes au cours de cet ESGI MCSI Day ont présenté avec plaisir leurs métiers et ont répondu aux nombreuses questions des étudiants.

 

Un grand merci à toutes nos entreprises partenaires qui rendent possible cet ESGI MCSI Day et qui permettent à nos étudiants de trouver leur voie.

 

Comment devenir expert judiciaire en informatique ?


Actualité publiée le 8 mars 2021

Le fait de devenir expert judiciaire informatique peut constituer une option très sérieuse pour les jeunes diplômés en informatique qui veulent diversifier leur activité. Il s’agit en effet d’une profession annexe de plus en plus recherchée, dont les tâches quotidiennes s’avèrent particulièrement variées et intéressantes.

 

En quoi consiste cette activité ?

En général, l’expert judiciaire informatique est un spécialiste de l’informatique d’entreprise, et maîtrise parfaitement les nouvelles technologies de l’information-communication (NTIC).

Pour avoir le droit d’exercer, l’expert judiciaire en informatique doit donc justifier d’un haut niveau de qualification en informatique, et par ailleurs, il doit impérativement être inscrit au registre national, car il est accrédité par une cour d’appel.

En pratique, ce spécialiste peut être désigné par un juge, lorsqu’il a besoin d’une expertise dans le cadre d’un litige relatif au domaine informatique. Sa mission est donc encadrée par le code judiciaire, et il doit être en mesure d’intervenir en toute neutralité vis-à-vis des deux parties pour donner son avis. Pour orienter le travail de l’expert judiciaire informatique, le juge aura préalablement défini un cadre de mission, et les différentes questions techniques auxquelles il faudra répondre. L’expert doit donc analyser le dossier, en réaliser la synthèse, et présenter ses conclusions au juge dans un rapport, afin de l’aider à rendre sa décision.

Dans certains cas, l’expert judiciaire en informatique peut également faire office de conseiller technique pour une seule des deux parties. Dans ce contexte, il ne peut évidemment plus être désigné par le juge pour intervenir sur le litige.

 

Des missions diversifiées

Au fil des évolutions technologiques, les domaines d’intervention de l’expert judiciaire en informatique ont été amenés à évoluer. Par le passé, ce spécialiste était surtout contacté pour intervenir dans des litiges entre constructeurs informatiques et clients, ou dans des conflits entre clients et éditeurs. Désormais, il est surtout prisé pour amener la lumière sur de grands projets qui rencontrent des difficultés. Il doit par exemple identifier quelle a été la cause d’un problème technique, ou intervenir dans des litiges qui concernent les délits et la traçabilité sur le net.

En moyenne, un expert judiciaire en informatique est rémunéré entre 100 et 125 euros l’heure. Il convient toutefois de préciser que cette activité ne peut être exercée qu’à titre complémentaire, en parallèle d’une carrière d’informaticien. En effet, un décret voté en 2004 stipule qu’elle ne peut être exercée à temps plein, afin que l’expert ne soit pas coupé des techniques utilisées sur le terrain.

Avec un très haut niveau de rémunération, une activité d’expert judiciaire informatique peut donc permettre de sensiblement élever les revenus mensuels d’un ingénieur informaticien. De nombreuses compétences sont toutefois nécessaires pour devenir un spécialiste de l’informatique, et il est indispensable de suivre une formation poussée pour les acquérir. L’ESGI propose par exemple un total de 9 Mastères, focalisés sur différents domaines de spécialisation en informatique !

 

 

Devenir expert judiciaire en informatique incarne donc une opportunité exceptionnelle de diversifier sa carrière d’ingénieur informaticien, tout en bénéficiant d’un niveau de rémunération très attractif.

Google Cloud se met à l’informatique « confidentielle »


Actualité publiée le 2 mars 2021

Dans un contexte où la confidentialité et la sécurité des données sensibles sont au cœur des préoccupations, Google Cloud a récemment annoncé sa décision de se mettre « à l’informatique confidentielle ». En quoi ce choix consiste-t-il ?

Offrir une meilleure sécurité

On emploie aujourd’hui le terme d’informatique « confidentielle » lorsqu’on travaille sur des données chiffrées. Évoquant une « technologie révolutionnaire », le géant Google a ainsi déclaré que l’informatique confidentielle offrira d’ici peu un certain nombre de produits, qui permettront aux utilisateurs de crypter leurs données sensibles, que ce soit au niveau de leur stockage, de leur transfert, ou même au moment de leur création.

En effet, selon un communiqué de Google, l’informatique confidentielle conserve des données chiffrées lorsqu’elles sont « utilisées, indexées, interrogées ou formées » en mémoire, et « ailleurs en dehors de l’unité centrale de traitement ».

Un premier produit, Confidential Virtual Machines, a d’ores et déjà été lancé dans une version beta courant 2020. Il se traduit pour une nouvelle option, qui peut être enclenchée lors de la création d’Instances Compute Engine. Le Confidential VM s’appuie notamment sur des services Google Cloud qui utilisent des processeurs capables de générer et de gérer des clefs de chiffrement, et qui restent sur la puce.

L’objectif pour Google est ici très simple : offrir une confidentialité optimale à ses utilisateurs, grâce à des données qui resteront indécryptables à tout moment.  

Se former à l’informatique confidentielle

Selon les responsables de ce projet, ces nouvelles machines virtuelles et confidentielles proposeront un niveau de sécurisation et de confidentialités inédit. En effet, elles offriront un chiffrement de la mémoire, et les entreprises seront donc en mesure de stocker davantage leurs charges de travail dans le Cloud.  Les utilisateurs pourront ainsi protéger leurs données sensibles, mais les spécialistes jugent aussi que ces machines seront particulièrement pratiques pour les personnes qui travaillent dans des secteurs réglementés.

Dans un contexte où le Cloud se développe de plus en plus, il peut sembler particulièrement pertinent d’orienter ses études sur cette technologie. A ce titre, certaines écoles d’informatique, comme l’ESGI, proposent un cursus exclusivement consacré aux Systèmes Réseaux et au Cloud Computing.  Conférant un niveau Mastère, cette formation est accessible à partir d’un niveau bac+3 en informatique, et comprends l’enseignement de nombreuses disciplines fondamentales à une spécialisation dans le Cloud : Virtualisation VMWare avancée, Automatisation de la Virtualisation, Conteneurs et DevOps, Cloud Computing AWS… Par ailleurs, ce cursus est accessible sur la base de l’alternance, et l’étudiant peut donc alterner entre une semaine de cours et trois semaines en entreprise, ce qui est idéal pour lui permettre d’acquérir une autonomie optimale !

 

En se lançant dans l’informatique confidentielle, Google Cloud garantira d’ici peu un nouveau type de machines virtuelles aux entreprises. Grâce à elles, les données en mémoire resteront indéchiffrables au moment de l’exécution. Un moyen de garantir une meilleure isolation et une meilleure confidentialité au moment de l’exécution sur des serveurs partagés. 

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