Le MSDev Roadshow fait escale à l’ESGI


Actualité publiée le 3 décembre 2021

 

Le 11 octobre dernier, le MSDev Roadshow a posé ses valises à l’ESGI le temps d’une soirée. Avec la communauté Azure User Group France, Olivier Leplus et Tiffany Souterre, de chez Microsoft, ont présenté des talks orientés développement.

 

L’objectif du MS Dev Roadshow, avec la communauté AZUGFR, est de rencontrer dans toute la France des étudiants en informatique pour échanger sur des sujets liés au développement. Pour leur passage à Paris, l’équipe du MS Dev Roadshow a souhaité rencontrer les étudiants de l’ESGI. Durant cette soirée, Tiffany Souterre a présenté l’outil Copilot. Olivier Leplus, lui, a décidé d’orienter sa conférence sur le développement des applications sur des « Dual Screen Devices ».

 

Copilot, l’outil intelligent au service des développeurs

C’est Tiffany souterre, Developper Relations pour Microsoft, qui a ouvert le bal en présentant Copilot. Après plus de 4 mois d’utilisation, elle a souhaité faire un retour d’expérience sur cet outil révolutionnaire pour les développeurs. Copilot est un outil doté d’une intelligence artificielle dont l’objectif est d’aider les utilisateurs en complétant automatiquement leur code.

 

Beaucoup d’interrogations se posent autour de cet outil, et, pour Tiffany, la principale question est de savoir si, oui ou non, une IA peut remplacer un développeur. Elle en est arrivée à la conclusion que Copilot est très bon pour proposer des solutions pour de petites briques logiques, mais qu’il ne peut pas coder une application entière, simplement avec un texte lui demandant de le faire.

 

Si Copilot est incapable de remplacer un développeur en tant que tel, il peut toutefois être d’une grande aide et un gain de temps énorme pour la plupart des développeurs. Autre point fort, selon Tiffany, l’outil est excellent pour les débutants, ainsi que pour ceux qui souhaitent apprendre à coder. De plus, il s’adapte au style de chacun de ses utilisateurs. L’outil étant encore en « Technical Preview », l’accès y est restreint et une inscription est nécessaire pour avoir la chance de le tester.

 

L’évolution du développement mobile à deux écrans

Olivier Leplus, également Developper Relations pour Microsoft, a enchainé avec une conférence autour du développement web. Plus particulièrement, il est venu présenter les nouvelles façons de développer des applications mobiles selon les appareils. Le support qui nous intéressait ici était le téléphone à deux écrans. Si Olivier Leplus s’est bien tenu de rappeler que les appareils à deux écrans (Dual Screen Devices) ne datent pas d’hier, il s’est tout de même posé la question de comment avoir une expérience utilisateur convenable avec ce type de support.

 

Concevoir un appareil à deux écrans n’est pas compliqué, la difficulté est de savoir ce que cela peut apporter et comment le support va être utilisé. La première partie de la conférence était théorique, et tournait autour des API, à savoir la manière d’appréhender le « device ». La seconde partie était plus orientée vers la pratique. Olivier a montré la manière de coder un support à deux écrans et comment le rendre « responsive ». Au travers de ce meetup, il a bien précisé qu’il n’y avait rien de révolutionnaire mais seulement de nouveaux cas d’utilisation.

 

Entre la présentation d’un outil d’assistance au codage, et l’évolution du développement sur des supports précis, les conférences du MS Dev Roadshow ont été très enrichissantes pour les étudiants de l’ESGI. Ils ont pu découvrir de nouveaux outils et échanger avec des professionnels sur ces technologies.

Le métier de Data Scientist, qu’est-ce que c’est ?


Actualité publiée le 30 novembre 2021

Le métier de Data Scientist consiste à donner du sens aux données qu’une entreprise collecte auprès de son public afin d’en extraire de la valeur et d’effectuer les bons choix stratégiques. Le Data Scientist décrypte donc les données brutes afin d’en tirer des informations pertinentes pour sa société : comment se former au métier ?

 

 

Quelles sont les missions du Data Scientist ?

La Data Science, c’est la science des données. Elle consiste en l’étude des informations par l’utilisation des techniques et des méthodes des mathématiques, des statistiques et de l’informatique. Il s’agit d’une discipline qui permet de faire face au Big Data (un ensemble de données tellement volumineux que les outils informatiques classiques ne peuvent pas les exploiter).

 

Afin de remplir ses missions, le Data Scientist conçoit les architectures logicielles qui permettent de stocker, traiter, restituer ou supprimer les données de son entreprise. Dans le métier, il faut donc être capable de proposer des modèles et des logiciels inédits d’analyse de données. Cet expert utilise donc ses connaissances techniques de pointe en informatique afin d’extraire et d’organiser les Data de son entreprise. Pour y parvenir, il utilise des connaissances de pointe en langages informatiques, Data Mining et Machine Learning par exemple.

 

Attention, le métier de Data Scientist est différent de celui de Data Analyst. Ce dernier prend en main l’analyse des données dans un domaine spécifique, contrairement au Data Scientist dont le champ d’exercice est plus large.

Le Data Scientist : un expert recherché par les entreprises du CAC 40

Le Data Scientist est un collaborateur de choix pour une entreprise qui souhaite relever le défi du Big Data dans les activités professionnelles. C’est lui qui interprète les données pour le compte de sa structure. Afin d’y parvenir, il doit dans un premier temps identifier les besoins de son employeur et les problématiques du marché. Puis, une fois ces éléments déterminés, il se charge de créer les supports pour rendre lisibles les données en sa possession.

 

Le profil du Data Scientist est polyvalent et pluridisciplinaire. Au cours de son cursus universitaire, il doit acquérir de nombreuses compétences, lui permettant notamment de :

– Rechercher, structurer et synthétiser les Data récoltées par sa structure.

– Connaître l’ingénierie informatique (ingénierie d’étude, de micro-réseau, système et consultant).

– Diriger une équipe.

– Maîtriser les nouvelles technologies dans leur ensemble et les langages de la programmation.

 

Des formations émergent afin de permettre aux étudiants qui souhaitent faire carrière dans le métier de suivre des cursus spécialisés. L’ESGI, école spécialisée dans le génie informatique, propose à ce titre des parcours universitaires de haut niveau académique et technique. Son mastère Intelligence Artificielle et Big Data débouche sur une Certification Professionnelle reconnue par l’État et permet d’exercer le métier de Data Scientist grâce à la modalité de l’apprentissage en alternance et à une pédagogie de projet.

 

 

Pour exercer le métier de Data Scientist, il faut être en mesure de traduire mathématiquement un problème économique. C’est donc un expert du Big Data activement recruté par les plus grandes entreprises. La rémunération d’un Data Scientist reflète ce haut niveau de compétence : plus de 56 000 euros par an après seulement trois ans d’expérience.

Sécurité informatique : les risques en télétravail


Actualité publiée le 24 novembre 2021

 

Le télétravail présente un certain nombre de dangers aux conséquences graves pour les entreprises. Connexions peu sécurisées, utilisation des canaux publics et appareils domestiques sont des facteurs de risques importants pour la sécurité informatique des entreprises. Quelles sont ces menaces et comment s’en prémunir ?

 

 

Télétravail : les principaux risques en sécurité informatique

Avec la normalisation du télétravail durant les périodes de confinement, de nombreuses entreprises ont été victimes de cyberattaques. Vol d’informations, rançongiciels ou encore phishing ont pullulé sur la Toile. Le risque principal, c’est le vol de données en vue de la revente ou du paiement d’une somme d’argent. Les cyberattaques sont catastrophiques pour les entreprises, une moitié d’entre elles ont déposé le bilan après une attaque informatique.

 

Les ransomwares sont des logiciels malveillants que les utilisateurs téléchargent malencontreusement. Ils exécutent leur code lorsque le fichier corrompu est ouvert. Selon leur forme, ils bloquent l’accès aux commandes de la machine ou aux données qu’elle héberge. Les cybercriminels à l’origine de cette contamination demandent aux propriétaires de verser une rançon (généralement en cryptomonnaie) afin de retrouver l’utilisation complète de leur ordinateur ou leurs fichiers.

 

Le télétravail a aussi favorisé des pratiques de phishing, qui ont lieu lorsque les postes ont peu de systèmes de sécurité informatiques viables. Ce sont des attaques en ligne par le biais de mails, chat ou messages. Ces piratages de comptes professionnels ont pour but de voler les données confidentielles des victimes afin de les revendre sur le Dark Web.

 

 

Comment renforcer sa sécurité informatique en télétravail ?

La première solution afin de renforcer sa sécurité informatique est de fournir à ses collaborateurs un matériel de télétravail sécurisé. C’est en opérant depuis des ordinateurs personnels que les attaques aux systèmes informatiques des entreprises sont favorisées. Il est crucial que les postes de travail soient verrouillés au moyen d’antivirus ou de pare-feu. Les salariés d’une société doivent aussi échanger exclusivement via des messageries professionnelles sécurisées et entrer dans un espace de télétravail digital protégé par une double authentification.

 

Ainsi, les salariés en télétravail doivent adopter des pratiques sécuritaires en ligne. Mettre en place des outils du type réseau VPN pour les flux professionnels permet de sécuriser les échanges et évite qu’un ordinateur personnel devienne une passerelle d’abordage pour les pirates informatiques.

 

Afin d’accroître son niveau de protection informatique, une société doit recourir aux services d’un prestataire externe spécialisé. Pour tout apprendre des systèmes de sécurité informatiques adaptés à une utilisation en télétravail, il faut se former à l’ingénierie informatique. L’ESGI propose à ce titre des formations complètes de haut niveau académique. Chacun des cursus de l’école offre la possibilité de suivre une partie de l’année scolaire selon la modalité de l’apprentissage en alternance, ce qui garantit l’acquisition de compétences pratiques et favorise une insertion professionnelle réussie.

 

 

Les entreprises comme les salariés en télétravail doivent adopter des comportements alertes afin de contribuer à la sécurité informatique de leur structure. La sensibilisation et le recours à des outils de protection sont les maîtres-mots d’une utilisation saine des appareils connectés.

Qu’est-ce qu’un expert en ingénierie du web au juste ?


Actualité publiée le 19 novembre 2021

Spécialité très recherchée par les recruteurs des entreprises, l’ingénierie du web vise à optimiser les structures réseau et les outils numériques d’une société. C’est devenu un instrument d’optimisation des activités économiques et les professionnels du secteur accompagnent les dirigeants des sociétés dans une transition numérique sereine et efficace. Quelles sont précisément les missions de l’expert en ingénierie du web et comment se former au métier ?

 

L’ingénierie du web : au cœur de la structure numérique d’une entreprise

L’expert en ingénierie du web a pour mission d’optimiser les ressources et les instruments numériques d’une structure (entreprises ou administrations). Sa mission principale sera d’assurer la maintenance informatique des systèmes de son client. Il doit donc faire preuve d’une connaissance technique des diverses architectures de réseau Web.

 

Dans le cadre de sa mission d’entretien, il doit savoir procéder à un audit des besoins de ses clients et connaître les outils adaptés pour répondre à leurs attentes afin d’accompagner le développement de leurs activités professionnelles. Excellent organisateur, il sait mettre sur pied des plannings viables et peut distribuer intelligemment les tâches aux divers membres de son équipe d’ingénierie du web.

 

Ce professionnel effectue une veille constante de son secteur, afin de connaître tous les derniers outils et les avancées technologiques. Dans le cadre de son travail de conseiller, il doit être capable d’expliquer aux dirigeants des entreprises ses activités et d’argumenter de manière intelligible ses choix ou ses propositions.

 

Comment se former à l’ingénierie du web ?

 Pour se former à l’ingénierie du web, il est crucial d’opter pour une formation complète qui propose de suivre des stages en entreprise durant une partie du cursus universitaire. Une formation en ingénierie du web doit offrir trois compétences principales :

 

– La maîtrise au niveau expert des langages de développement web dernière génération.

– La connaissance des outils de gestion de projets web.

– La compréhension des dynamiques économiques et des structures Business.

 

En règle générale, la spécialité ingénierie du web se choisit au niveau bac +3 et à l’occasion d’un cycle de Mastère. Elle doit aussi préparer aux certifications Google. À titre d’exemple, les étudiants doivent être amenés à étudier les outils Web comme Linux ou les instruments professionnels de sécurité et de serveur WEB.

 

Les recruteurs du secteur attendent de leurs futurs collaborateurs la maîtrise des frameworks comme PHP7, Laravel ou encore Javascript. L’ESGI, première école en alternance en ingénierie informatique, propose la spécialité ingénierie du web au sein d’un Mastère qui se déroule en trois ans. Bénéficiant de la modalité de l’apprentissage en alternance, il débouche sur un titre reconnu par l’État de niveau 6. Il permet aux étudiants sortants de trouver un emploi dans la filière de l’ingénierie du web : Ingénieur Web et Nouvelles Technologies, Chef de projet Web ou Consultant commerce électronique.

 

Les experts en ingénierie du web ont un profil polyvalent qui leur permet de travailler en équipe et de mener à bien leurs missions de manière autonome. Métier d’avenir, envisager une spécialisation dans le domaine est un choix très judicieux à condition de suivre une formation technique au sein d’un établissement reconnu.

Kaisen Linux : un nouveau système d’exploitation créé par un étudiant de l’ESGI


Actualité publiée le 16 novembre 2021

 
 

Kévin Chevreuil, étudiant en 4e année Systèmes, Réseaux et Cloud Computing à l’ESGI, s’est lancé en 2019 dans un projet de création d’un système d’exploitation. Après deux longues années de travail, « Kaisen Linux » est sorti le 30 octobre dernier.

 
 

Qu’est-ce que Kaisen Linux ?

 

Kaisen Linux est un système d’exploitation libre et open source basé sur un noyau linux et la distribution Debian. Il permet de fournir un ensemble d’outils pour les techniciens administrateurs systèmes et réseaux et les ingénieurs systèmes, réseaux et cloud.

 
 

Quels sont ses avantages ?

 

L’avantage de Kaisen est qu’il englobe tout un ensemble d’outils complets pour répondre à un maximum de besoins des professionnels du secteur. L’un des avantages que l’on peut également trouver à Kaisen Linux est que c’est un système complet qui peut aider les étudiants lors de leur parcours de formation, que ce soit dans la filière SRC, ou même pour les étudiants en première année pour le cursus systèmes et réseaux.

 
 

Comment avez-vous eu cette idée de créer un système d’exploitation ?

 

J’ai créé Kaisen pour deux raisons. La première est que je ne trouvais pas d’outil qui convenait à mon besoin d’un système qui me permettait de pouvoir faire plusieurs choses à la fois, sur plusieurs machines différentes, avec une seule clé USB. La deuxième raison était pour apprendre en profondeur comment fonctionnait un système d’exploitation linux, ou un système d’exploitation en général.

 
 

Kaisen Linux est aujourd’hui accessible à tous, pourquoi ?

 

Après avoir développé la première version de ce projet, j’ai décidé de le rendre public afin de pouvoir aider d’autres personnes qui pourraient être dans le même besoin, ou qui souhaiteraient avoir un outil clé en main pour pouvoir travailler de façon plus efficace et plus simple.

 
 

Quels sont vos prochains projets ?

 

Suite aux deux premières années de développement de Kaisen Linux, monsieur Kamal Hennou, le directeur de l’ESGI, souhaitait ouvrir un Open Lab au sein de l’école et a souhaité me nommer président, ce que j’ai accepté.

 
 

En quoi consiste l’Open Lab de l’ESGI ?

 

L’objectif de l’Open Lab sera de fournir des cours particuliers pour tous les étudiants de toutes les filières de tous les niveaux confondus sur le programme LPI linux, donc toutes les certifications. L’autre objectif de l’Open Lab sera de fournir du contenu sur linux. Pour cela une chaîne YouTube ainsi qu’un magazine bimensuel seront créés pour y publier des articles et des vidéos concernant linux et l’ensemble des technologies open source pouvant y être associées.

Informatique : qu’est-ce qu’un architecte logiciel ?


Actualité publiée le 12 novembre 2021

L’architecte logiciel est le professionnel qui conçoit la structure d’un système informatique. Il crée les éléments qui la composent ainsi que la manière dont ces composants s’imbriquent et fonctionnent ensemble. Qui est-il, quelles sont ses missions et comment se former au métier ?

 

Architecte logiciel : un expert informatique organisé et méthodique

 L’architecte logiciel travaille dans le cadre d’une commande, au sein d’une entreprise informatique ou chez un éditeur de logiciels. Pour arriver à créer un programme qui fonctionne et qui réponde aux besoins de son client, il doit en premier lieu procéder à un audit.

 

Cette analyse lui permet d’étudier les systèmes pré-existants, d’en cibler les points forts et les éléments qui nécessitent d’être améliorés. À la suite de cette première étape, il se charge de produire une carte du système en place afin d’y appliquer les standards d’architecture informatique qu’il a choisi.

 

L’architecte logiciel doit impérativement faire preuve d’une connaissance experte de tous les systèmes, des outils et des logiciels informatiques existants sur le marché. Il effectue donc une veille constante de son secteur et n’hésite pas à suivre des formations régulières afin de toujours rester à jour des dernières avancées technologiques. Il est attendu de ce professionnel qu’il soit capable d’imaginer une structure extrêmement complexe. Elle doit pouvoir soutenir le bon fonctionnement d’un logiciel de pointe, flexible, évolutif et qui fait intervenir des éléments de diverses technologies informatiques.

 

Il peut travailler seul ou en groupe et être amené à diriger une équipe de développeurs. Polyvalent, l’architecte logiciel s’adapte très rapidement aux évolutions techniques de son métier.

 

Comment devenir architecte logiciel ?

 

Un informaticien qui justifie d’un certain nombre d’années d’expérience peut se voir proposer un poste d’architecte logiciel. En effet, seule la connaissance pratique du métier permet d’acquérir suffisamment de connaissances pour avoir une vision globale et technique de tous les systèmes logiciels. Ainsi, il est vivement conseillé de suivre une formation en informatique qui bénéficie de la modalité de l’apprentissage en alternance.

 

C’est le meilleur moyen de cumuler de l’expérience sur le terrain dès le début de son parcours universitaire. L’alternance permet de mettre en pratique les connaissances nouvellement acquises en cours. Apprendre au contact des professionnels permet de développer ses compétences techniques et de nombreux étudiants se voient offrir un emploi à l’issue de leur stage professionnel dans leur structure d’accueil.

 

Les recruteurs à la recherche d’un architecte logiciel sont attentifs à son parcours universitaire et attendent de leur futur collaborateur :

 

– qu’il sache concevoir et modéliser un système logiciel,

– qu’il maîtrise le fonctionnement des systèmes d’exploitation,

– qu’il connaisse les protocoles réseaux et les outils de sécurité,

– qu’il justifie de l’utilisation des bonnes méthodes de développement,

– qu’il puisse gérer et mener à bien un projet.

 

À ce titre, l’ESGI forme les futurs experts de l’ingénierie informatique. Ses formations comportent toutes un volet en alternance et sa spécialité Architecture des Logiciels (que les étudiants peuvent choisir en 4e année du Programme Grande École), forme au métier d’architecte logiciel. Les participants à la formation sont amenés à apprendre en participant à des projets techniques et pratiques, dans les mêmes conditions que l’exercice de leur futur métier. Ainsi, les étudiants de l’ESGI apprennent dès leur cycle Mastère à générer des dynamiques de code source ou à maîtriser les frameworks JEE.

 

Un architecte logiciel est donc un professionnel essentiel dans le développement d’un système informatique fiable. Il garantit que les éléments informatiques qu’il a produits fonctionnent entre eux et vérifie la stabilité de la structure qu’il a participé à créer.

L’initiative d’un projet de Métaverse à l’ESGI


Actualité publiée le 9 novembre 2021

Tout au long de l’année, les étudiants du laboratoire pédagogique 3D et Jeux-Vidéo travaillent sur un projet de Métaverse, l’objectif étant de créer un univers virtuel entièrement dédié à l’enseignement, à l’échelle de l’ESGI.

 

Les laboratoires faisant partie du programme associatif de l’école, un après-midi par semaine leur est dédié. Les étudiants peuvent travailler sur le projet chaque jeudi après-midi. 

 

Les étudiants en 1re et 2e année ne sont que très peu concernés et se contentent d’apprendre les bases de la 3D et les logiciels utiles. En parallèle, les 3e, 4e et 5e années eux se concentrent sur le Métaverse. Ils sont plus d’une trentaine d’étudiants de la filière Ingénierie de la 3D et des Jeux Vidéo à participer à ce beau projet. Un défi pour le moins ambitieux mais très prometteur.

 

Un ancien étudiant au cœur du projet

Mohamed-Ali Kaddour, ancien étudiant du Mastère Ingénierie de la 3D et des Jeux Vidéo, supervise ce projet. Sollicité par l’école dans le cadre du laboratoire 3D et Jeux-Vidéo, le directeur lui a proposé cette idée, qu’il a tout de suite validée. L’objectif du Métaverse de l’ESGI est de créer une sorte de campus virtuel avec des classes virtuelles, dans le but de pouvoir suivre des cours plus immersifs à distance.

 

En se basant sur le moteur de jeu Unity, Mohamed-Ali souhaite ajouter plusieurs fonctionnalités afin de rendre l’expérience la plus agréable et réelle possible. Parmi ses fonctionnalités, on retrouve une personnalisation des avatars, un outil de communication vocale, mais également la possibilité d’envoyer des messages écrits. Le partage de contenu en direct est aussi envisagé, outil indispensable dans le cadre des cours.

 

Une année pour concrétiser

Le projet ayant été entamé en novembre 2021, le défi du laboratoire pédagogique est de sortir un prototype avant la fin de l’année scolaire. Mais avant ça, les étudiants, guidés par Mohamed-Ali Kaddour, ont une première échéance le 2 février 2022, à l’occasion du « 3D & Game Day » de l’ESGI. Afin de valoriser leur travail, les étudiants du laboratoire comptent présenter une ébauche du Métaverse, avec, éventuellement, une première classe en réalité virtuelle fonctionnelle.

 

Si en réalité, ce type de prototype prendrait seulement deux ou trois mois pour être développé avec une équipe complète et à plein temps, Mohamed-Ali voit plus large et se donne donc jusqu’à la fin de l’année scolaire environ. Mais ce projet n’a pas uniquement une ambition à court terme. Sur la durée, un réel objectif d’expansion est envisagé. Dans un premier temps dans le cadre de l’école ESGI, mais, par la suite, l’élargir à l’échelle du Réseau GES, et même plus loin encore.

 

 

Cette initiative de Métaverse développée au sein du laboratoire 3D et Jeux Vidéo est en adéquation avec les valeurs de l’ESGI. Le secteur du numérique étant en constante évolution, les projets proposés aux étudiants se doivent de suivre le cours de cette évolution.

Focus sur les ransomwares : quel impact pour une entreprise ?


Actualité publiée le 4 novembre 2021

Les cyberattaques sont plus nombreuses et dommageables depuis quelques années. Les criminels du web s’attaquent en priorité aux entreprises. Alors, un ransomware, qu’est-ce que c’est, et quelles sont les conséquences d’une attaque sur les sociétés ?

 

Un ransomware : qu’est-ce que c’est ?

 Il s’agit d’un logiciel malveillant qui s’attaque aux ordinateurs des internautes (particuliers comme professionnels) afin d’accéder à ses données. Ce logiciel débloque son code nocif lorsque l’utilisateur exécute un fichier compromis qu’il a malencontreusement téléchargé ou s’il navigue sur une connexion peu sécurisée et visite des sites peu fiables.

 

Pour retrouver le contrôle de sa machine ou les données qu’elle contient, la victime est contrainte à payer une rançon au cybercriminel (généralement en cryptomonnaie).

 

Quels sont les ransomwares les plus utilisés ?

 Il existe divers types de ransomwares qui peuvent être classés en deux familles : les Locker et les Crypto.

 

Les ransomwares Locker bloquent les fonctions de l’ordinateur. Seules quelques touches du clavier restent en fonction, afin de permettre à la victime d’entrer en contact avec le cybercriminel et de payer sa rançon.

 

Les ransomwares Crypto chiffrent les données importantes de l’ordinateur. L’utilisateur peut visualiser ses fichiers sans possibilité d’y accéder.

 

Des exemples connus de ransomwares ont déjà sévi sur la toile et impacté fortement de nombreuses entreprises :

 

– Lock : utilisé pour la première fois en 2016, il s’est propagé par de faux e-mails avec des pièces jointes infectées.

– WannaCry a touché plus de 150 pays en exploitant une faille de sécurité de Windows. Ce logiciel aurait causé environ 92 millions de livres sterling de dommages au Royaume-Uni en s’attaquant au système de nombreux hôpitaux.

– Bad Rabbit s’est propagé en raison de connexions peu protégées et de visites sur des sites web non sécurisés.

 

Attaque de ransomware : des conséquences désastreuses

 Depuis quelques années, les ransomwares s’attaquent en priorité aux systèmes d’exploitation des entreprises. Véritable danger numérique, une cyber-attaque peut littéralement mener une structure à la faillite : plus d’un quart des entreprises victimes de pratiques malveillantes comme le phishing déposent le bilan deux ans après les faits.

 

En effet, un ransomware contraint la structure à un temps d’immobilisation long. De plus, le paiement de la rançon n’assure en rien que l’entreprise va effectivement récupérer ses données. Cette perte de productivité engendre pour la structure des conséquences importantes : non-respect des délais, perte de clients ou fuite de données confidentielles. Les dommages à la réputation (et la e-réputation) de la structure sont désastreux. Bien souvent, ces entreprises victimes doivent régler des amendes aux autorités de régulation pour non-respect de la réglementation sur la protection des données personnelles.

 

L’unique solution face à une attaque est de se tourner vers un informaticien spécialisé, qui saura retrouver les données ou les restaurer au moyen des sauvegardes qu’il a préalablement effectuées. La maintenance informatique d’une société est donc cruciale afin de ne pas se retrouver paralysée trop longtemps.

 

Pour apprendre à gérer une situation de crise comme une cyber-attaque de ransomware, il faut suivre une formation professionnelle. À ce titre, l’ESGI propose des formations de haut niveau en informatique qui bénéficient de la modalité de l’apprentissage en alternance.

 

Les ransomwares font de plus en plus de dégâts et les professionnels doivent impérativement mettre en place des systèmes de protection fiables.

L’ESGI œuvre pour la santé et le bien-être des étudiants


Actualité publiée le 2 novembre 2021

Cellule psy

Le confinement et la généralisation prolongée de l’enseignement à distance à mis en lumière un besoin d’accompagnement chez certains de nos étudiants. Afin de répondre au mieux à ce besoin, l’ESGI met en place, à partir de du mois de novembre 2021, un parcours prévention et bien-être au sein de l’établissement.

Dans le cadre de ce parcours, une cellule d’écoute psychologique est mise en place et gérée par Elena PARADA, responsable de l’organisation à l’ESGI. Les personnes nécessitant une aide approfondie seront redirigées vers un professionnel de santé qualifié. Rien n’est à la charge des étudiants, tout est entièrement gratuit afin de rendre le programme le plus accessible possible. L’école s’occupe également de l’organisation des rendez-vous.

 

Un accompagnement nécessaire

Le nombre de créneaux étant tout de même limité, il ne faut pas trop attendre pour prendre un rendez-vous. Pour les étudiants souhaitant recevoir de l’aide et un suivi, il suffit de s’adresser au référent en charge du parcours prévention et bien-être, à savoir Elena PARADA.

 

Les mesures mises en place à l’ESGI pour la santé et le bien-être des étudiants ont pour objectif de leur permettre de s’épanouir et d’être en mesure d’exploiter toutes leurs capacités à la fois en cours et en entreprise.

Quels métiers possibles après un mastère ingénierie de la blockchain ?


Actualité publiée le 21 octobre 2021

La blockchain est une technologie permettant le stockage et le traçage de transactions numériques. Elle offre de nombreux avantages, dont la transparence et la sécurité de fonctionnement grâce à un système d’interaction de blocs. Elle permet ainsi aux utilisateurs connectés en réseau de partager des données sans passer par un intermédiaire. Quels sont les métiers du secteur accessibles après un mastère spécialisé en Ingénierie de la Blockchain ?

L’ingénierie de la Blockchain : qu’est-ce que c’est ?

La Blockchain est une technologie de sécurisation et de stockage des données numériques. Elle est massivement utilisée dans le secteur bancaire, mais qui ne se limite pas à ce seul domaine. Les diplômés d’un mastère ingénierie de la blockchain peuvent travailler dans :

– La finance.

– L’assurance.

– La logistique.

– L’agro-alimentaire.

– le secteur énergétique.

– Le luxe.

– L’aéronautique, etc.

Opter pour un mastère Ingénierie de la Blockchain est un choix judicieux : le secteur recrute massivement de jeunes collaborateurs spécifiquement formés. Un cursus technique au sein d’un établissement spécialisé permet d’acquérir toutes les compétences nécessaires pour se construire une véritable expertise.

Les participants à un mastère Ingénierie de la Blockchain apprennent les méthodes de conception et de développement des architectures logicielles liées aux chaînes de blocs. Dans le cadre de leur future profession, ils garantissent la disponibilité, la fiabilité et la sécurité des transactions et des données qui utilisent leur chaîne.

Pour y parvenir, les étudiants d’un mastère Ingénierie de la Blockchain étudient diverses disciplines :

– Les sciences de l’ingénieur.

– Les technologies spécifiques à la Blockchain (Protocoles Bitcoin, Ethereum, etc.).

– Les techniques de développement : langage C avancé, fondamentaux de Git ou bases de données NoSQL.

– L’architecture des systèmes et des réseaux.

– Les fondamentaux du management de projet.

Que faire après un mastère Ingénierie de la Blockchain ?

Un bon mastère Ingénierie de la Blockchain doit déboucher sur une Certification Professionnelle reconnue par l’État et offrir à ses étudiants des débouchés immédiatement à l’issue de leur cursus universitaire. Le programme de formation doit leur permettre d’évoluer à divers postes de la Blockchain.

Les étudiants sortants d’une bonne formation peuvent travailler dans toutes les branches de l’ingénierie de la blockchain :

  • En ingénierie d’étude, en obtenant un poste d’analyse, d’organisation et de conception des applications.
  • En ingénierie micro-réseau, grâce à leurs connaissances des matériels et des protocoles de communication, de développement et d’exploitation.
  • En ingénierie système en appliquant les langages de programmation ou l’administration d’une base de données.
  • En ingénierie consultant grâce à leur capacité à effectuer un audit et à modéliser l’architecture et le fonctionnement du système.

 

Les diplômés d’un mastère Ingénierie de la Blockchain peuvent donc exercer comme :

– Développeur blockchain.

– Architecte Blockchain.

– Directeur de l’innovation digitale.

– Consultant en sécurité et en chiffrement, etc.

Le mastère Ingénierie de la Blockchain de l’ESGI bénéficie d’un très haut niveau académique et technique. Les cours sont animés par des enseignants issus du monde professionnel et les étudiants peuvent suivre plusieurs stages en alternance.

Le secteur de la blockchain recrute massivement des étudiants sortant d’un mastère au sein d’un établissement spécialisé et reconnu par la profession.

200