Les étudiants de l’ESGI présentent Shooterz, l’application idéale pour réunir et stocker vos souvenirs


Actualité publiée le 2 octobre 2020

shooterz

La principale problématique relevée par Ilan Ducret, Charles Van Hamme et Samuel Benitah, étudiants de l’ESGI, était la complexité à trouver des photos d’un événement auquel on a participé. Pour pallier à cela, ils ont imaginé Shooterz qui permet à tous de devenir photographe l’espace d’un instant tout en disposant d’un lieu ou stocker les clichés de façon sécurisée.

 

Shooterz : Comment ça marche ?

 

« Shooterz permet de vivre et revivre votre événement à travers les yeux de chacun de vos invités. »

Le principe est simple : lors d’un événement, les invités se connectent à la plateforme Shooterz sur un « salon » spécifique lié à l’événement et peuvent prendre autant de photos qu’ils le souhaitent.

Ces photos sont uploadées sur le salon en temps réel et il sera possible de voir celles de tous les invités. Grâce à l’intelligence artificielle, les photos sont analysées avant d’apparaître sur la plateforme afin de s’assurer qu’elles ne contiennent pas de contenu indécent (si c’est le cas elles sont directement supprimées).

Durant l’événement, l’application peut être connectée à des écrans pour diffuser un diaporama des 20 dernières photos prises.

Les administrateurs du salon (définis en amont de l’événement) peuvent à tout moment supprimer ou télécharger les photos de la plateforme.

 

 Des bancs de l’ESGI au développement de Shooterz

Les étudiants de l’ESGI sont les entrepreneurs numériques de demain. Nombre d’entre eux ont déjà créé leur entreprise spécialisée dans le digital et l’informatique.

Ici, la création de l’application Shooterz permet, au-delà de son côté ludique et pratique, de mettre en avant le niveau de professionnalisme qu’ils acquièrent au fur et à mesure de leurs études au sein de l’école. 

L’ESGI met tout en œuvre pour donner la possibilité à leurs étudiants d’aller jusqu’au bout de leur projet, grâce à un accompagnement et des conseils avisés, ils soutiennent également les nouvelles entreprises en étant leur premier utilisateur.

5 success stories qui font rêver les étudiants en informatique


Actualité publiée le 29 septembre 2020

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Autrefois cataloguées comme étant réservées à des « geeks », les carrières de certains informaticiens font aujourd’hui rêver le monde entier. Quelles sont les success stories inspirent tant les étudiants en informatique ?

 

 

Au niveau international

 

L’incroyable ascension de Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, fait aujourd’hui rêver plus d’un étudiant en informatique. À seulement 23 ans, le jeune homme décide de créer un réseau social totalement gratuit, destiné aux étudiants de son université. Très vite, Facebook est adopté par les étudiants d’autres écoles, avant de séduire le monde entier. Aujourd’hui, presque la moitié de la population mondiale possède un compte Facebook, au total, 2,5 milliards d’utilisateurs actifs par mois fin 2019. Mark Zuckerberg, quant à lui, est devenu le plus jeune milliardaire de la planète, avec une fortune s’élevant à plus de 3 milliards de dollars.

Les étudiants en informatique sont également nombreux à connaître la success story inouïe de la plateforme Amazon. Si son fondateur, Jeff Bezos, a dû emprunter de l’argent à ses parents pour lancer son projet, Amazon s’est rapidement démarquée par l’immense diversité de choix proposés au consommateur. Grâce à une exploitation pertinente du système d’e-commerce, Amazon est progressivement devenue une des sociétés les plus rentables au monde. Pour l’année 2019, les ventes de la plateforme ont dépassé les 254 milliards d’euros nets, et malgré la controverse, la popularité d’Amazon ne décroît pas. En effet, plus de 89 % des acheteurs déclarent préférer Amazon aux autres sites d’e-commerce.

 

 

À l’échelle nationale

 

Même s’il est impossible de mesurer son succès aux géants internationaux tels que Facebook ou Amazon, de nombreuses sociétés françaises ont réalisé une ascension remarquable aux cours de la dernière décennie.

Fondée en 2006, la start-up BlaBlaCar par exemple, a su se faire une place dans le quotidien d’une grande partie de la population. Elle s’est progressivement imposée dans 19 autres pays et recense aujourd’hui plus de 20 millions d’utilisateurs. Son créateur, Frédéric Mazzella, ne trouvait pas de train pour rejoindre sa famille en vacances. Contraint de faire déplacer sa sœur, il s’est alors aperçu que de nombreux véhicules en circulation n’étaient remplis qu’à moitié… L’idée de Blablacar était née.

La success story de la plateforme Cdiscount fait également rêver de nombreux étudiants en informatique. Son histoire est quelque peu semblable à celle d’Amazon, car Cdiscount était initialement spécialisée dans la vente de DVD. En misant sur une stratégie de « prix cassés », la plateforme a rapidement séduit de nombreux internautes et s’est considérablement diversifiée.

En seulement quelques années, la startup Doctolib a également connu une ascension fulgurante. Une grande partie des médecins y font appel pour gérer leurs prises de rendez-vous, en échange d’une facturation mensuelle. Fonctionnant sur le même principe qu’un agenda en ligne, cette application recense aujourd’hui plus de 150 000 partenaires chez les professionnels de santé et environ 42 millions de visites mensuelles.

 

 

Le fait d’avoir une idée pertinente, qui répondrait aux besoins concrets des utilisateurs, peut parfois constituer le point d’un départ d’une véritable success story. Pour mettre cette idée en pratique, certaines compétences techniques sont toutefois indispensables. Il faut, par exemple, être en mesure de programmer et de développer une application, et c’est pourquoi ce genre de scénario fait particulièrement rêver les étudiants en informatique. En suivant un cursus spécialisé au sein d’une école telle que l’ESGI, ils acquièrent toutes les compétences nécessaires à la création des outils de demain.

Créer son propre site web : les étapes clés


Actualité publiée le 21 septembre 2020

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Créer son site internet est aujourd’hui une étape indispensable à toute société commerciale. Simples vitrines de marque ou plateformes e-commerce, elles constituent, pour les entreprises, un moyen d’améliorer leur popularité et d’attirer de nouveaux clients. Quelles sont les principales étapes pour créer son site web ?

L’étude préalable du projet

Avant de créer son site web, il est indispensable de définir clairement son projet. Il faut donc répondre à de nombreuses questions préalables. Par exemple, à quel type de cible s’adresse ce site ? Quelles fonctionnalités doit-il posséder ? Quel est le budget alloué à ce projet ?  

Une fois ces questions résolues, il faut établir un cahier des charges. Ce cahier fait état de l’ensemble des tâches à réaliser ainsi que des différentes contraintes à respecter. Entre autres, il contient la description du graphisme du site, la description de ses fonctionnalités…

Il convient ensuite de choisir le nom du domaine et son type d’hébergement. Cette étape est d’une importance capitale, car elle concerne directement la qualité de référencement du site. Un nom trop long ou trop complexe à orthographier, par exemple, constituerait un réel handicap !

Une autre étape clé de ce travail porte sur la conception graphique. Le visuel d’un site internet est un critère déterminant. Il doit être suffisamment attractif de sorte que l’internaute ait envie de poursuivre sa navigation.

La mise en ligne du site

L’étape suivante pour créer son site web est consacrée à la création technique. Autrement dit, à la programmation et au développement. Cette étape consiste en l’implantation de toutes les fonctionnalités préalablement mentionnées dans le cahier des charges. Elle requiert l’emploi de lignes de programmations en HTML (pour structurer les pages) et en CSS (pour les coloris).

Selon les fonctionnalités du site, il faut parfois lui concevoir une base de données pour stocker les informations récoltées. Cela exige l’emploi d’autres langages de développement, notamment le langage PHP.

Enfin, il est indispensable de veiller à ce que le site créé soit suffisamment visible par les internautes. Il faut donc accorder une importance toute particulière à la question du référencement. Par exemple, certaines sociétés optent pour un référencement payant (référencement SEA) : elles multiplient alors leurs chances de sortir en tête des résultats fournis par les moteurs de recherche, en se positionnant sur des mots-clés stratégiques. D’autres entreprises préfèrent miser sur le référencement naturel (SEO), qui améliore la visibilité des sites ayant un contenu optimisé (richesse des textes, utilisation de mots-clés, présence de balises…).

La création de site internet est donc un procédé très technique et complexe. S’il est aujourd’hui possible de créer son propre site web, il reste préférable de confier cette tâche à un expert en informatique pour obtenir un rendu « professionnel ». Certaines écoles d’informatique telles que l’ESGI proposent d’ailleurs un cursus de niveau Mastère spécialisé en Ingénierie du Web. Avec des enseignements portant sur les technologies web et frameworks, la conception de projet web ou les outils du web, ce type de formation est idéal pour se former à la création web !

La qualité d’un site internet doit être irréprochable pour séduire les internautes et se démarquer. C’est pourquoi chaque étape de sa conception est déterminante. Un design peu attractif, des bugs, et bien d’autres éléments encore risqueraient fort de faire « décrocher » l’internaute. Pour être en mesure de concevoir un site web convenablement, il est donc conseillé de préalablement se spécialiser dans cette discipline.

Etudier à l’étranger : témoignage d’Aurélien COUPRIT


Actualité publiée le 16 septembre 2020

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Aurélien Coulprit, étudiant de 5ème année en Management et Conseil en Systèmes d’Information, a décidé de s’envoler le temps d’une année en Californie pour étudier à l’University of California Riverside, université partenaire de l’ESGI.

Pourquoi avez-vous décidé de partir en échange ? 

Tout simplement car j’aime sortir de ma zone de confort, que je voulais tenter cette expérience et surtout saisir cette chance car elle ne ce serait pas présentée une seconde fois.

 

Pourquoi avez-vous choisi ce pays ? 

Quitte à partir à l’étranger, autant parler une langue internationale : l’anglais. Et surtout car j’aime bien la chaleur de la Californie !

 

Quels étaient vos objectifs avant le départ ? Ont-ils été atteints ? 

Je voulais améliorer mon anglais, découvrir une nouvelle culture et de nouvelles personnes. Pour l’instant ils ont été atteints mais pas autant que je l’aurais aimé car les internationaux sont regroupés dans un bâtiment à part, donc l’expérience n’est pas toujours immersive.

 

Quelles sont les choses que vous avez remarquées concernant votre cursus dans une autre école ?

Il y a très peu de travail à la maison à part pour les projets en groupe. Les examens écrits sont assez simples mais il faut quand même bien connaître le sujet et écouter en cours.

Tous les intervenants sont qualifiés et certaines matières abordent les mêmes sujets. Néanmoins on ne va pas toujours assez en profondeur.

Il y a également énormément de choix possible concernant l’orientation (biologie, ingénieur, sport, hospitalité, tourisme, business). 

Pour finir, nous sommes évalués sur notre présence en cours, les examens écrits pour chaque matière et un projet de groupe pour chaque matière.

 

Pouvez-vous nous décrire brièvement une journée type ? 

20 minutes de vélo pour commencer la journée étant donné que j’habite « loin », ensuite cours de 9h à 12h, pause déjeuner (soit on mange à la cafétéria, soit dans les fast food aux alentours, soit on ramène sa nourriture ; ce que je faisais). Ensuite on a cours de 13h à 15h, et après j’allais à la salle de sport jusqu’à 19h?20h.

 

Pouvez-vous nous citer trois endroits que vous fréquentiez souvent? 

Gateway café : un bar à côté de l’université

International village : endroit juste à côté de l’université avec pleins de restaurants

Downtown : centre?ville de Riverside avec beaucoup d’endroits sympas

 

Quel meilleur souvenir gardez-vous de vos sorties ou excursions ? 

Le match de NBA à Phoenix en Arizona et la visite de San Diego en trottinette électrique.

 

Se loger : est?ce facile ? Comment avez-vous trouvé votre logement ?

C’est assez facile, il y a énormément de propositions. Le problème c’est que les baux sont assez longs (en général 1 an). Donc il faut réserver rapidement pour pouvoir négocier le bail quand on contacte les résidences universitaires ou alors contacter un particulier (comme j’ai fait) et là on peut modifier le bail en payant légèrement plus par mois. L’université propose également de résider dans des familles d’accueil ou dans la résidence des internationaux.

 

Où logiez-vous et quel a été le budget mensuel pour l’hébergement ? 

Je vivais à 20 minutes à vélo de l’université (sur Olivewood Avenue) et je payais $600 par mois.

 

Avez-vous des conseils à donner ? 

Il faut réserver le logement le plus vite possible. Il existe des groupes Facebook pour voir les offres.

 

Comment s’est passée votre arrivée dans le pays et comment avez-vous été accueilli(e) ?

Les débuts ont été compliqués car tout est différent, on est un peu désorienté et on se pose pleins de questions. Mais une fois que les cours commencent et qu’on rencontre du monde, tout va beaucoup mieux. J’ai été très bien accueilli par l’université et par les étudiants.

 

Vous êtes-vous intégré(e) au sein de l’université partenaire et avec les étudiants locaux ? A quels événements étudiants avez-vous participé ? 

Comme je l’ai dit plus haut, les internationaux sont un peu regroupés, donc l’expérience n’est pas assez immersive à mon goût. J’ai quand même intégré l’équipe de volley masculine de l’université et j’ai participé à plusieurs tournois ainsi que plusieurs soirées/repas avec l’équipe de volley.

 

Pouvez-vous nous donner trois adjectifs qui qualifieraient votre expérience d’expatrié ? 

Enrichissante, humaine, mieux se connaître.

 

Quels conseils pouvez-vous donner aux étudiants qui souhaitent partir ? 

Préparez bien votre voyage, essayez de budgétiser au maximum, et ne vous refusez rien, il faut découvrir le plus possible.

Quelles compétences pour devenir développeur d’application mobile ?


Actualité publiée le 14 septembre 2020

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A l’ère des smartphones et des tablettes, le développeur d’application mobile fait partie des profils les plus recherchés dans le monde du travail. Très technique, ce métier exige toutefois de posséder des qualifications spécifiques. Quelles sont les principales qualités du développeur d’application mobile ?

Un métier entre créativité et technicité

Le développeur d’application mobile est un expert en création d’applications destinées à des supports mobiles, comme la tablette, le smartphone, ou encore les objets connectés. Son métier ne se résume pas au développement pur. Il doit également se soucier de l’ergonomie de l’application créée, ce qui induit des compétences importantes en design.

Concrètement, le développeur d’application mobile se base sur un cahier des charges, afin de créer ou perfectionner des applications pour différents supports. Il les conceptualise et les développe en s’adaptant à un certain nombre de contraintes techniques comme la taille de l’écran mais aussi aux attentes spécifiques de son client.

Très pédagogue, le développeur mobile est en mesure de justifier ses choix techniques auprès de son équipe et travaille souvent en collaboration avec le chef de projet et le graphiste.

Le développeur d’application mobile atteste de solides connaissances en informatique et en mathématiques. Il doit être parfaitement à l’aise avec les calculs d’algorithmes, la création de tests… Sa formation doit lui permettre d’avoir une connaissance experte des différentes normes utilisées dans l’univers de la création mobile (HTML5, CSS, etc). Il doit également maîtriser un certain nombre de langages de programmation (comme Java ou Swift), en menant une veille constante sur leur évolution.

Comment se former à cette profession ?

Le développeur d’application mobile est un véritable spécialiste en informatique et se doit d’avoir suivi des études orientées sur la création mobile. Certains postes sont parfois accessibles à partir du niveau bac+2 ou bac+3 en informatique, mais la majorité d’entre eux renvoie à des postes destinés à des ingénieurs, exigeant de posséder un niveau bac+5.

Bien que cette profession soit relativement récente, certaines écoles spécialisées en informatique proposent aujourd’hui des cursus exclusivement consacrés au développement mobile. C’est le cas de l’ESGI, qui propose un Mastère spécialisé en Mobilité et Objets Connectés. Cette filière permet à l’étudiant d’acquérir toutes les compétences nécessaires pour devenir ingénieur en développement mobile grâce à des cours portant sur le Machine Learning, la Cryptographie, l’Ingénierie de la Mobilité…

Une fois diplômé, le développeur d’application mobile a accès à de très nombreux débouchés. Par exemple, il peut travailler au sein d’une start-up, dans l’industrie du jeu vidéo, dans une agence web… La rémunération du développeur d’application mobile est particulièrement attractive : elle se situe, en moyenne, entre 2 900 et 3 200 euros mensuels en début de carrière, et peut évoluer très rapidement.

La présence d’un développeur d’application mobile est désormais indispensable aux entreprises qui souhaitent développer ou améliorer des applications pour supports mobiles. Véritable expert en informatique et doté d’un potentiel créatif, le développeur mobile leur permet d’élargir leur clientèle grâce à des applications ergonomiques et agréables.

Yuccan Lead : La fidélisation 2.0


Actualité publiée le 11 septembre 2020

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L’Ecole Supérieur de Génie Informatique (ESGI) est représentée cette année lors de la finale d’EngrainaGES par Baptiste Vandenborght qui propose une solution digitale innovante et ingénieuse : Yuccan Lead.

Le parrainage 2.0

Afin de se démarquer, Baptiste Vandenborght a opté pour une solution digitale répondant aux problèmes de parrainage d’entreprises de type B2C. L’objectif est simple : montrer aux clients qu’ils sont bel et bien les rois.

Adieu les coupons à imprimer chez soi, ou encore les faibles réductions sur les produits, « Yuccan Lead » va plus loin. Les clients qui téléchargeront l’application et recommanderont une personne à une entreprise (un « lead ») pourront être récompensés directement sur leur compte bancaire via leur smartphone si le lead abouti (si la personne fait appel aux services de l’entreprise).

Plus simple, plus motivant, l’objectif est de fidéliser une large clientèle afin de rassurer les entreprises et leurs adhérents.

Ce programme est le résultat de la rencontre entre marketing et informatique, porté par un jeune diplômé de l’ESGI qui y insuffle tout son savoir-faire.

Un exemple Américain

C’est lors de son échange étudiant en Californie que l’idée est venue à Baptiste. Immergé dans un monde dans lequel les start-up et l’innovation font la loi, la question de la fidélisation s’est imposée d’elle-même. Pourquoi être fidèle à une entreprise quand de multiples choix s’offrent à nous ?

Il fallait donc ajouter un nouveau vecteur (ici financier) afin de déclencher cette fidélité. L’avantage est triple ; pour la personne qui recommande, c’est l’occasion d’être récompensée en cash ; pour la personne recommandée, c’est l’occasion de faire appel à une entreprise qui a la confiance d’une de ses connaissances ; pour l’entreprise, ce sont des nouveaux clients potentiels qu’elle n’aurait pas forcément pu atteindre au travers de sa communication « classique ».

L’ESGI accompagne ses entrepreneurs

L’Informatique est un secteur riche d’innovations, en constante évolution. Il est donc évident qu’il regorge de jeunes entrepreneurs, aux idées ingénieuses.

L’ESGI accompagne et encourage ces graines d’entrepreneurs au sein de l’école, au travers de conseils, de recommandations ou même de mise en contact avec des acteurs majeurs de l’informatique.

Les élèves peuvent également participer au concours EngrainaGES, qui permet aux étudiants ou jeunes diplômés de différentes écoles du Réseau GES de tenter leur chance pour, s’il le remporte, être accompagné dans la création de leur entreprise

7 idées de métier pour travailler dans les nouvelles technologies


Actualité publiée le 8 septembre 2020

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Selon une étude publiée par Pôle emploi début 2020, le domaine du numérique recrute en moyenne 2,4 fois plus que les autres secteurs, et plus de 190 000 postes devraient être créés d’ici 2022. La perspective de travailler dans les nouvelles technologies est donc très engageante. Mais quelles sont les possibilités de carrière dans ce secteur ?  

 

 

Une demande réelle

Le top 3 des professions les plus recherchées au cours de l’année 2018 comprend exclusivement des métiers issus du secteur des nouvelles technologies, d’après Pôle emploi. 

Le métier de Développeur Web surpasse ce classement, et incarne un choix de carrière particulièrement stratégique. C’est lui qui a la lourde responsabilité de créer un site internet au fonctionnement optimal, ce qui implique de maîtriser de nombreuses compétences et langages de programmation. 

Le Développeur Mobile fait lui aussi l’objet d’une sollicitation importante de la part des employeurs : véritable expert en codage informatique, il travaille sur la création d’applications utilisables sur tablette, smartphone ou parfois même sur des objets connectés.

Le Chef de Projet Web occupe également un rôle majeur au sein des entreprises. Il est chargé d’évaluer la faisabilité et la pertinence d’un projet de site internet. Pour cela, il s’occupe de rédiger les grandes phases du projet dans un cahier des charges, en fixant ses délais et son budget.

De nombreux domaines d’expertise

Le phénomène Big Data a engendré l’apparition d’une multitude de professions dans le monde des nouvelles technologies. Dans un contexte où les entreprises récoltent quotidiennement des masses de données, elles ont besoin d’experts en traitement statistique pour les exploiter correctement. Le Data Scientist par exemple, est un spécialiste en gestion et en étude de données massives. Il conçoit des modèles dans le but de « faire parler » l’ensemble des données récoltées, pour ensuite utiliser ces informations à des fins commerciales.

Parallèlement, les métiers liés à la protection des données font aussi l’objet d’une forte demande dans l’univers des nouvelles technologies. Ainsi, la présence d’un Expert en Cybersécurité est désormais incontournable aux entreprises qui génèrent d’importants volumes de données. L’expert en Cybersécurité permet d’assurer une protection maximale du système informatique d’une société, car il le teste régulièrement pour identifier d’éventuelles tentatives d’intrusion ou des failles de sécurité.

Le domaine des IoT (Internet des Objets Connectés) connaît également un développement considérable depuis quelques années et recrute de nombreux profils. Le Développeur Java par exemple, est indispensable pour la création d’objets connectés et le développement d’applications diverses. L’Ingénieur en Système Embarqué, quant à lui, a pour tâche principale de faire en sorte que des ordres soient correctement envoyés à un objet connecté, dans le but de lui faire réaliser une tâche spécifique.

Ces professions des nouvelles technologies comptent à la fois parmi les plus demandées et les mieux rémunérées du marché. Elles exigent toutefois un niveau d’expertise très élevé, et pour y être éligible, il est préférable d’avoir préalablement suivi une formation spécialisée au sein d’une école d’informatique. L’ESGI propose, à ce titre, des filières très diversifiées à l’étudiant, qui peut alors choisir entre plusieurs Mastères spécialisés : Ingénierie du Web, Intelligence Artificielle et Big Data, Sécurité Informatique…

 

 

Envisager une carrière dans les nouvelles technologies est donc un choix particulièrement judicieux à l’heure actuelle. Toutefois, les postes à pourvoir exigent de posséder un haut niveau de compétences spécifiques. Il est donc fortement conseillé de s’orienter vers une école d’informatique pour les acquérir.

Se former en ligne aux métiers de la sécurité informatique


Actualité publiée le 27 août 2020

Sécurité informatique

 

La cybersécurité fait actuellement partie des secteurs qui génèrent le plus d’emplois dans l’informatique, et c’est pourquoi il peut être très judicieux d’envisager une carrière dans ce domaine.   Face à la demande croissante des entreprises, qui recrutent fréquemment des étudiants en alternance, il est aujourd’hui possible d’opter pour une formation en sécurité informatique exclusivement en ligne.

Une meilleure flexibilité

La cybersécurité est un secteur professionnel très prometteur, car de nombreuses entreprises souhaitent être protégées en cas de cyberattaque. Il existe donc une forte demande dans ce domaine. Mais les métiers de la sécurité informatique nécessitent toutefois des qualifications pointues. Les postes à pourvoir sont généralement accessibles à partir du niveau bac+5, et il est indispensable d’avoir préalablement suivi un cursus spécialisé pour y être éligible.  

En intégrant un mastère spécialisé en sécurité informatique, l’étudiant acquiert des connaissances théoriques propres à ce domaine : sécurité avancée des systèmes, programmation système et réseaux sous Linux©, détection des intrusions, sécurité de la blockchain…

Malgré la qualité de ces enseignements théoriques, une formation en cybersécurité ne serait pas « complète » si elle ne permet à l’étudiant de mettre ses connaissances en application. Pour cette raison, de nombreux établissements d’enseignement supérieur proposent de suivre un cursus en alternance. Le rythme des formations en alternance varie selon les modalités des établissements. En règle générale, l’étudiant doit ponctuellement s’absenter de son entreprise pour suivre une semaine de cours, à des dates préalablement fixées par son école.

Depuis quelques années, certains établissements, comme l’ESGI, permettent à l’étudiant de bénéficier de modalités plus souples quant à son cursus en alternance, en lui proposant de suivre un Mastère Sécurité Informatique exclusivement en ligne. Ainsi, l’étudiant est en mesure de suivre ses cours sans avoir l’obligation de quitter son entreprise pour plusieurs jours, une organisation plus flexible, pour lui comme pour son employeur.  

Comment s’organise une formation en ligne ?

Le programme du Mastère Sécurité Informatique online est identique à celui du Mastère en présentiel, et l’étudiant bénéficie de la même qualité de suivi de la part de son équipe pédagogique. La seule différence se situe dans la répartition des cours : l’étudiant suit deux modules de cours par mois, en assistant, deux fois par jour, à 45 minutes de cours en direct. Un samedi par mois, il se rend également sur le campus afin d’être évalué sur les deux modules en question.

Plusieurs dispositifs sont mis en œuvre de sorte à ce que l’étudiant en sécurité informatique ne se retrouve pas dans une situation isolée : il peut échanger à tout moment avec les autres apprenants grâce à la plateforme extranet, mais également les rencontrer directement au cours d’une journée d’intégration et d’un séminaire thématique d’une semaine au second semestre.

La formation en sécurité informatique en ligne représente donc une alternative idéale pour l’étudiant ne pouvant pas s’absenter de son lieu de travail trop fréquemment. Elle lui garantit, pour ainsi dire, un enseignement de qualité optimale, avec un programme adapté à son rythme de vie en entreprise. 

Hommage à l’Alumni Ruslan Kassimov


Actualité publiée le 31 juillet 2020

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En hommage à Ruslan Kassimov ancien diplômé en Mastère à l’ESGI nous a récemment quitter.

Nous avons souhaité revenir sur le beau parcours de cet alumni au sein de notre établissement.

Ruslan a intégré l’ESGI pour sa 1ère année d’étude supérieur en 2010. Il a été diplômé d’un Mastère en Management et Conseil en Systèmes d’Information en 2015.

CTO chez Popchef, Ruslan, expert dans son domaine, a su mettre en avant ses compétences d’ingénieur et ses qualités humaines au sein de son équipe. Il était très impliqué dans la vie étudiante sur le campus, notamment en tant que responsable du laboratoire Microsoft et lors des semaines d’intégration. Ses camarades se souviennent de son implication dans l’organisation d’un jeu rassemblant à la fois les étudiants, les enseignants et l’administration.

En étant « maître du jeu », il a pu renforcer l’esprit d’équipe et créer des souvenirs, gravés dans la mémoire de chacun d’entre nous. Ruslan était quelqu’un sur qui nous pouvions compter, toujours prêt à rendre service, à l’écoute de ses camarades et de son entourage.

Il restera à tout jamais un emblème de l’ESGI.

Ingénieur en Machine Learning, en quoi cela consiste-t-il ?


Actualité publiée le 28 juillet 2020

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Selon Indeed, le célèbre moteur dédié à la recherche d’emploi, Ingénieur en Machine Learning est considéré comme le meilleur métier de 2019, sur un classement mondial prenant en compte le salaire moyen et la hausse du nombre de postes à pourvoir pour chaque profession.

En effet, le nombre d’offres d’emploi en Ingénierie Machine Learning a connu une augmentation colossale de 344 % entre 2015 et 2018 ! Dans ce contexte, le fait d’envisager une carrière dans le secteur du Machine Learning semble particulièrement judicieux, mais en quoi consiste précisément cette profession ?

 

 

Les missions de l’Ingénieur en Machine Learning

 

L’Ingénieur en Machine Learning œuvre dans le domaine de l’Intelligence Artificielle (IA). Il est spécialisé dans les algorithmes d’apprentissage automatique afin de pouvoir traiter des données très volumineuses. Son expertise permet aux entreprises d’exploiter les données dont elles disposent à des fins stratégiques, notamment pour leur marketing.  

Ce spécialiste peut travailler au sein de secteurs d’activité variés et peut, s’il le souhaite, exercer dans une société spécialisée dans la conception de nouvelles technologies. Il peut également proposer ses services à des entreprises qui vendent des solutions de Machine Learning, ou encore dans un département consacré à la recherche et au développement.

Concrètement, la fonction principale de l’Ingénieur en Machine Learning demeure d’écrire des programmes nécessaires au développement d’algorithmes, qui extrairont par la suite des informations utiles aux entreprises. En d’autres termes, c’est lui qui apprend aux logiciels et aux IA comment sélectionner des données pertinentes parmi l’immense volume informationnel généré chaque jour.

Au quotidien, l’Ingénieur en Machine Learning doit développer des algorithmes pertinents, et les tester via différentes approches. Il a aussi la responsabilité d’optimiser les programmes afin de les rendre toujours plus rapides et plus performants. Dans certains cas, l’Ingénieur en Machine Learning s’occupe également du Data Engineering afin d’assurer la « propreté » des données récoltées.

Cette profession est parfois assimilée à celle de Data Scientist mais, en réalité, le travail de l’Ingénieur en Machine Learning porte sur un domaine d’application plus spécifique.

 

 

Quelles sont les qualifications de l’Ingénieur en Machine Learning ?

 

Des compétences élevées sont attendues de la part de l’Ingénieur en Machine Learning, et pour accéder à ce type de poste, il est préférable de justifier d’un niveau bac+5 en informatique. 

En premier lieu, l’Ingénieur en Machine Learning doit parfaitement maîtriser le domaine de la programmation et être à l’aise avec l’utilisation de langages tels que Python, R, C++, etc. Il doit être en mesure d’entraîner des réseaux de neurones profonds et de modéliser des données complexes. De solides compétences en mathématiques et en statistiques sont alors requises dans le cadre de l’optimisation des différentes fonctions, et les langages informatiques tels que SQL ou NoSQL doivent, eux aussi, être maîtrisés.

Pour acquérir toutes ces compétences, l’idéal est de suivre une formation spécialisée. À cet effet, certaines écoles d’informatique, comme l’ESGI, proposent un cursus spécialement consacré au Big Data et à l’Intelligence Artificielle. Avec ce type de spécialisation, l’étudiant reçoit des enseignements relatifs aux Architectures Distribuées, aux Systèmes, Réseaux et Infrastructure…

 

 

Face à une demande qui ne cesse d’augmenter sur le marché de l’emploi, l’Ingénieur en Machine Learning incarne incontestablement l’un des métiers les plus en vogue dans le secteur de l’Intelligence Artificielle et du Big Data. Sa rémunération est d’ailleurs particulièrement attractive : un Ingénieur Machine Learning Junior peut prétendre à un salaire d’environ 2900 euros net mensuel. Autant de raisons pour lesquelles cette profession attire de nombreux étudiants en informatique.

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