Quelles sont les missions d’un ingénieur système ?


Actualité publiée le 18 mars 2022

La mission principale de l’ingénieur système est de fournir à chaque employé de sa structure les installations et les outils informatiques adaptés et performants. Comment cet expert de l’outil informatique exerce-t-il son métier ?

L’ingénieur système : au cœur du réseau de l’entreprise

L’ingénieur système est responsable de l’installation informatique de la structure qui l’emploie. Il en gère l’entretien et la maintenance et propose des solutions adaptées à l’entreprise comme aux divers collaborateurs. Grâce à une veille du secteur constante et rigoureuse, il fait des propositions quant au développement de l’outil informatique au sein de sa société, afin de lui offrir plus de rentabilité et de confort de travail.

 

Dans le cadre de ses missions, il peut être amené à effectuer diverses tâches, comme :

  • L’installation et la gestion de l’intégralité du système.
  • La gestion des comptes d’utilisateurs et des autorisations d’accès.
  • L’installation et mise à jour des antivirus.
  • La protection des informations et cybersécurité.

 

L’ingénieur système est un expert de l’informatique dans son ensemble et comprend parfaitement les besoins de son entreprise. Excellent manager, il sait gérer une équipe et se faire comprendre de ses collaborateurs peu familiers du domaine de l’informatique. C’est lui qui est au centre du réseau qu’il a contribué à créer et peut donc être amené à effectuer des contrôles réguliers, à déterminer les plannings de maintenance de ses équipes ou à intervenir lui-même en cas de panne.
Le métier d’ingénieur système est jeune et répond aux besoins de plus en plus croissants des entreprises de s’entourer de collaborateurs formés aux technologies du numérique et de l’informatique. C’est un véritable accompagnateur de la transition digitale des sociétés dont le profil est prisé par les recruteurs du secteur.

 

 

Comment faire carrière comme ingénieur système ?

Pour se former et être certain de pouvoir prendre en main toutes les missions de l’ingénieur système, il est capital de suivre une formation de technicien supérieur.

 

Au cours de son parcours universitaire, cet expert a eu la possibilité d’étudier divers modules techniques, comme :

  • La programmation de systèmes et de réseaux.
  • Les méthodes de virtualisation des réseaux.
  • La sécurité avancée des systèmes informatiques.
  • La communication professionnelle.
  • L’anglais des affaires.

 

À l’issue de sa formation, il maîtrise parfaitement les logiciels de virtualisation tels VMHare ou HyperV, les systèmes de sauvegarde comme Veeam Backup et peut travailler sur tous les systèmes d’exploitation.

 

Les étudiants qui réussissent le mieux à s’insérer professionnellement dans le milieu ont suivi une formation de type mastère spécialisé. Ces cursus professionnalisants sont proposés par des établissements d’enseignement supérieur et bénéficient généralement de la modalité de l’apprentissage en alternance. C’est par exemple le cas du mastère Système, Réseaux et Cloud Computing de l’ESGI.

 

 

Les technologies de l’informatique ne font que se développer et choisir de se former au métier d’ingénieur système est judicieux. Les entreprises intègrent désormais les outils du numérique et créent des postes spécifiques dans la spécialité pour répondre à leurs nouveaux besoins.

Meet-Up : la présence féminine dans la tech


Actualité publiée le 16 mars 2022

Trois étudiantes de la filière Ingénierie du Web de l’ESGI, Coumba CAMARA, Emeline GARO et Karla OG, ont décidé de choisir comme sujet pour leur Meet-Up la présence féminine dans le secteur de la tech. Le choix de ce sujet est né d’une constatation : il y a encore des disparités et des inégalités dans le domaine, assez marquées.

 

presence féminine dans la tech

Des profils inspirants

En tant que femmes et développeuses, elles ont pensé qu’il était important de rappeler que les femmes existent dans ce secteur et qu’il leur est possible de se faire une place.

 

L’objectif de ces conférences était donc de créer un échange entre plusieurs typologies de profils de femmes dans l’IT, qui ont évoqué leur parcours et leur place dans leur domaine d’expertise.

 

Elles ont souhaité les mettre en lumière afin d’inspirer les élèves, les futur-es-s élèves et de pousser potentiellement d’autres entreprises à prendre la mixité plus au sérieux ; de considérer également que la présence féminine dans les innovations est une réelle valeur ajoutée.

 

Les étudiantes ont débuté la conférence par un zoom sur les parcours scolaire et professionnel de chaque participante, très divers :

  • Adèle Restif ingénieure en réseaux et système
  • Mialy Rakotovao développeuse sénior en back-end
  • Maëliza Seymour entrepreneuse qui a fondé sa propre entreprise dans l’IA
  • Marie Trotier, business analyst.

 

Elles ont ensuite abordé les difficultés rencontrées lors de leur parcours, ainsi que partagé des anecdotes illustrant une gestion de crise déjà vécue.

 

Pour elles, échanger sur ces points fut à la fois surprenant et amusant car les intervenantes ont pu leur rappeler (avec humour parfois) qu’il faut souvent surmonter des obstacles pour atteindre des objectifs, qu’on peut également être sous-estimée en tant que femme, mais que cela ne doit pas influencer l’estime de soi.

 

Le sujet suivant était centré sur la femme et l’entreprenariat que Maëliza a présenté en évoquant son propre parcours. Elle a expliqué comment un projet en solo ou en duo peut vite se concrétiser, sans savoir forcément quel budget mettre en place et surtout par où commencer. Elle a évoqué l’importance des incubateurs, du networking et l’a nécessité d’avoir beaucoup de patience.

 

Pour finir, l’ensemble des intervenantes ont partagé leurs expériences personnelles vécues vis-à-vis des stéréotypes. En plus de précieux et pertinents conseils pour se faire une place dans le domaine de la Tech, tout en combattant et surmontant avec sagesse le sexisme parfois présent dans le cadre scolaire et professionnel, les intervenantes ont insisté sur l’importance d’avoir un modèle sur lequel on peut s’inspirer.

Un challenge réussi

Pour les 3 camarades, la principale difficulté de ce meetup était de gérer l’animation pendant toute la durée. En effet, il fallait en amont préparer tout un ensemble de questions et de modérer le temps de parole pour chacune.

 

Concernant les questions posées, elles ont fait en sorte que cela puisse faire sens pour un maximum de personnes : pout les étudiants, les femmes en reconversion, les femmes souhaitant se lancer dans l’entreprenariat, des potentiels RH ou des représentant-es-s d’école.

 

« Ce meetup a été très enrichissant pour nous toutes, les intervenantes ont été satisfaites de l’organisation et des sujets sur lesquels nous avons tous.tes échangé (avec le public aussi). Honnêtement, nous avons craint que le public ne soit pas assez réceptif mais finalement ça s’est bien déroulé, et les choses ont suivi naturellement. C’était assez angoissant d’organiser ce meetup car en cherchant des intervenant-es-s, on a rencontré des imprévus, des annulations, des changements etc…  

Nous sommes également très contentes d’avoir reçu des retours positifs par le public : c’est très motivant. »

Coumba CAMARA, étudiante en 5ème année en Ingénierie du Web

 

 

Ce Meet-Up fait partie de l’une des nombreuses actions que la nouvelle génération de professionnels de l’informatique met en place afin de féminiser le domaine. Et l’ESGI soutient cette démarche notamment en invitant ceux et celles qui le souhaite à rejoindre l’association ESGI Girl.

Mastère en architecture des logiciels : quels débouchés ?


Actualité publiée le 14 mars 2022

Véritable cœur technique d’une entreprise, l’architecture des logiciels est devenue incontournable à la vie d’une structure économiquement viable. C’est un élément central de la politique informatique d’une entreprise qui revêt à ce titre des enjeux cruciaux pour la direction d’une société. Les débouchés d’un mastère spécialisé en architecture des logiciels sont d’ailleurs multiples : comment bien choisir sa formation afin de faire carrière dans le secteur ?

Architecture des logiciels : pourquoi suivre un mastère ?

L’architecture des logiciels est une discipline dont la maîtrise nécessite un certain nombre de compétences : concepts techniques, architectures essentielles des systèmes d’information des sociétés, connaissance experte des plateformes web ou mobile, etc. Pour travailler dans le domaine, il faut savoir analyser et résoudre rapidement une situation problématique en utilisant à bon escient les nouvelles technologies, tout en demeurant en cohérence avec la ligne business d’une structure.

 

Les plus grandes entreprises cherchent donc à s’entourer de professionnels formés à haut niveau technique à l’architecture des logiciels et capables d’évoluer dans tous les domaines de l’industrie : finance, direction des systèmes informatiques, etc.

 

L’architecture logicielle est une spécialité du développement et de la programmation. Il est donc tout à fait envisageable de commencer son parcours universitaire en intégrant une formation Bachelor en génie informatique. Ce premier socle de compétences permet de travailler comme développeur informatique ou administrateur de base de données. En revanche, pour intégrer un poste à responsabilité et pour développer ses compétences, il est vivement conseillé de poursuivre sa formation universitaire en mastère spécialisé.

 

 

Comment choisir le bon mastère en architecture des logiciels ?

La spécialisation architecture des logiciels intervient généralement au niveau mastère dans le cadre d’un parcours universitaire spécialisé en informatique. Une bonne formation doit comprendre un certain nombre de modules d’apprentissages et déboucher sur une Certification Professionnelle reconnue par l’État.

 

Un mastère spécialisé en architecture des logiciels doit permettre de maîtriser les langages informatiques à un niveau avancé : langage C, Java, Stream ou encore Java FX. Les participants à la formation doivent pouvoir proposer des Design Patterns en C# et sont de véritables experts de l’ingénierie du logiciel.

 

Pour aller plus loin, un mastère en architecture des logiciels complet offre à ses étudiants d’apprendre de manière concrète et technique et de manipuler des outils de développement et de systèmes avancés. Les participants sont amenés à prendre en main la gestion d’un projet dans son intégralité et développent un socle de compétences en Design Thinking ou dans la maîtrise de Scrum.

 

Le cursus de l’ESGI en architecture des logiciels bénéficie de la modalité de l’apprentissage en alternance, ainsi que de sa pédagogie de projet innovante et de haut niveau académique. À l’issue de leur mastère, les étudiants peuvent immédiatement s’intégrer dans la vie active comme architecte logiciel, ingénieur logiciel ou encore chef de projet.

 

 

Afin de s’assurer d’opter pour le bon Mastère Architecture des Logiciels, il est essentiel de vérifier qu’il bénéficie de la modalité de l’apprentissage en alternance. En effet, l’informatique au niveau professionnel est une discipline dont la maîtrise s’acquiert grâce à l’expérience. Se former au sein des professionnels du secteur est donc incontournable afin d’acquérir toutes les compétences techniques requises d’un architecte logiciel.

Quelle est la différence entre hardware et software ?


Actualité publiée le 11 mars 2022

Le hardware et le software sont deux éléments nécessaires au fonctionnement d’un ordinateur. Complémentaires, ils n’en demeurent pas moins radicalement différents et désignent des composants de nature diverse de la machine.

Différences entre hardware et software : le matériel et l’immatériel

Hardware signifie en français « matériel », le terme désigne tous les composants physiques d’un ordinateur (intérieurs comme extérieurs). Par exemple, parmi les hardwares, on peut citer : la carte mère, le processeur, mais aussi la clé USB ou les CD-ROM.

La première différence entre le hardware et le software, c’est la durée de vie. En effet, les composants matériels d’un ordinateur ont une durée de vie qui varie en fonction de leur qualité de fabrication et de l’utilisation qui en est faite.

Il existe différentes catégories de matériel hardware :

  • Le boîtier.
  • Les périphériques.
  • Les entrées (clavier, écran, manette).
  • Les supports de stockage d’informations (RAM ? Disque dur).
  • Les hardwares de traitement : le processeur ou à carte graphique.
  • Le matériel de sortie : l’écran ou l’imprimante.
  • Le hardware utile au réseau : les câbles ou le wifi.

Quant au software, le terme se traduit en français par « logiciel », il s’agit d’un élément qui n’est pas palpable, mais qui fait aussi fonctionner l’ordinateur. Sans le software, il n’est pas possible d’utiliser le matériel hardware : c’est le logiciel qui donne des informations à la machine sur les actions à effectuer.

 

 

Mises à jour du software : une différence de taille avec le hardware

Le software désigne les systèmes d’exploitation des ordinateurs aussi bien que les applications numériques. Il existe trois grandes catégories : le logiciel système, d’application et de programmation. À ce titre, Windows, Macintosh, Linux ou Android sont des softwares : ils offrent une interface ludique et facile d’utilisation à l’utilisateur qui commande son ordinateur. C’est ce même système d’application qui permet de télécharger et d’installer d’autres programmes : les applications ou les jeux vidéo.

À la différence avec le hardware, le software ne perd pas en matière de performance au cours de leur utilisation. Les systèmes d’exploitation sont mis à jour ou deviennent obsolètes à cause des évolutions technologiques des autres logiciels sur le marché.

Bien comprendre les différences hardware et software est crucial afin de travailler dans le génie informatique et pour développer de nouveaux outils plus performants. En effet, les progrès technologiques s’appliquent dans les deux domaines. Le software se développe et atteint un très niveau de technicité : Intelligences Artificielles, nouvelles applications (dans le domaine commercial, les Supply Chain ou l’optimisation de la production pour l’industrie 4.0).

Constamment en évolution, c’est un secteur qui embauche et qui a besoin de jeunes collaborateurs dynamiques. Se former en informatique est donc un choix judicieux, à condition d’opter pour le bon établissement. À ce titre, l’ESGI offre des cursus de très haut niveau qui bénéficient de la modalité de l’apprentissage en alternance.

 

La différence entre hardware et software est essentielle afin de développer des machines toujours plus performantes. Il est capital de se former au niveau professionnel afin d’en saisir toutes les subtilités.

Alumni’s Moment – Danie Fallot


Actualité publiée le 9 mars 2022

Danie Fallot, ancienne étudiante à l’ESGI, a suivi le cursus MCSI, Management et Conseil en Systèmes d’Information et revient sur ces années de formation.

 

 
Quel a été ton parcours ?

J’ai eu la chance d’être à l’ESGI du début à la fin, c’est à dire que j’ai fait de la 1ère jusqu’à la 5ème année. J’ai suivi le tronc commun les deux premières années et j’ai étudié l’informatique la technique en long, en large et en travers pour ensuite me spécialiser dans le Management et le Conseil, pour aujourd’hui être consultante en informatique.

 

 

Quels ont été tes meilleurs souvenirs ?

J’ai fait de supers rencontres, que ce soit parmi les étudiants qui sont aujourd’hui devenus de très bons amis mais aussi parmi les intervenants parce qu’il y a vraiment des pépites dans cette école et je garde un super souvenir de tous les moments passés en cours et à l’extérieur.

 

 

Quels conseils donnerais-tu aux étudiants de l’ESGI ?

Je sais qu’il y a beaucoup de cours et que cela peut être très lourd mais sachez que chaque cours est un atout qui est rajouté dans votre CV, cela permet d’aiguiser vos armes pour ensuite rentrer dans le monde du travail donc si j’ai un conseil à vous donner c’est vraiment accrochez-vous, moi je dis toujours qu’aujourd’hui je suis payée pour réfléchir et pour comprendre et grâce à la filière MCSI et grâce à l’ESGI, c’est ce que je suis capable de faire.

 

Si tu ne devais conseiller qu’un seul logiciel, ce serait lequel ?

Si je devais vous conseiller un ERP, SAP tout de suite sans hésitation SAP à de très belles années derrière lui et a de très belles années à venir donc c’est vraiment là qu’il faut aller si vraiment vous voulez vous amuser, travailler sur des projets intéressants. Aujourd’hui par exemple j’interviens chez Engie où je m’occupe de tout la migration de la data sur SAP.

 

 

Quelles avancées dans ton domaine attends-tu avec impatience ?

Les avancées que j’attends pour le futur, j’ai hâte d’avoir un peu plus de femmes autour de moi dans le monde du travail et dans le monde de l’informatique. Les filles n’hésitez pas, l’ESGI c’est vraiment the place to be, vous allez apprendre à devenir des professionnelles aguerries, n’hésitez pas.

Qu’est-ce qu’un non-OP en informatique ?


Actualité publiée le 7 mars 2022

« Non-op » pour no operation est une Instruction en langage informatique qui commande au processeur de ne rien faire. Pourquoi occuper un espace de mémoire entier pour un ordre qui ne correspond à rien est capital dans le cadre de l’écriture des lignes de code d’un programme ?

Instruction non-op : qu’est-ce que c’est ?

À l’origine, la commande non-op elle est implémentée sur le premier processeur x86 sous le code 90. C’est encore aujourd’hui un ordre de base pour plusieurs processeurs du marché. L’instruction non-op s’intègre dans la liste des instructions données au système sans changer le contexte pour le processeur. En pratique, elle ne fait rien si ce n’est s’ajouter au pointeur d’instruction.

 

Elle vient combler un espace prévu pour du code non-utilisé et permet de ne pas décaler le restant de la liste de code. Afin de remplir tout cet espace, elle est codée en un seul octet.

 

Certains professionnels considèrent les non-op comme nécessaires, mais indésirables pour les performances d’un processeur : insérer une non-op dans le pipeline d’un système et n’arriver à rien est une perte de performance. En effet, le CPU a besoin d’un peu de temps afin de récupérer et de décoder le no-op.

 

 

 

Pourquoi intégrer une no-op à ses lignes de code ?

Parfois écrite NOP, cette information est nécessaire au fonctionnement du processeur, bien que le but de la commande est de ne rien modifier à l’état du registre, des indicateurs d’état ou même de la mémoire.

 

Elle est utilisée dans des opérations de chronométrage, pour forcer l’alignement de la mémoire et éviter d’occuper un espace de retard de branche. Elle permet aussi d’annuler une instruction existante (comme un saut) ou de remplacer (en écrasant simplement) les instructions erronées. L’instruction non-op est aussi très utile à des fins de synchronisation : elle contraint le CPU à attendre que les périphériques externes, qui peuvent être plus lents, terminent leur tâche et lui communiquent leurs données.

 

Les professionnels intègrent une commande non-op à leurs lignes de code afin d’anticiper les mises à jour ultérieures de leurs programmes. Ainsi, lorsque est venue la mise à jour, il suffit de remplacer la ligne non-op avec du nouveau code. Sans aune indication NOP déjà implémentée, il faudra insérer des lignes de code, ce qui oblige le programme à se décaler dans son intégralité.

 

Il est important de recourir à l’instruction non-op avec parcimonie. Sinon, le programme produit n’est qu’une suite de non-op, qui prennent de la place dans la mémoire et entachent grandement les performances du processeur. Pour savoir utiliser à bon escient l’instruction non-op, il faut maîtriser le code informatique et avoir eu l’occasion de pratiquer régulièrement. Les informaticiens professionnels et les programmateurs ont suivi une formation pratique afin d’acquérir toutes les connaissances nécessaires à la maîtrise des divers langages informatiques. À ce titre, l’ESGI offre des cursus premium qui comportent tous la modalité de l’apprentissage en alternance.

 

 

La commande non-op est essentielle aux professionnels du code. Elle offre plus de flexibilité dans l’écriture et permet d’anticiper des modifications ultérieures au p

Qu’est-ce que le NAT en informatique ?


Actualité publiée le 4 mars 2022

En informatique, un routeur de réseau fait du Network Adress Translation quand il fait correspondre entre elles des adresses IP. Il s’agit d’un processus de modification des adresses IP, des ports source et des ports de destination du réseau qui vise à pallier au manque d’adresses IP. La traduction est prise en charge par des routeurs ou des pare-feu : en quoi consiste ce procédé précisément ?

Le NAT : traduire des adresses pour les router sur Internet

Le NAT en informatique permet à un équipement unique d’agir comme un intermédiaire entre Internet et un réseau local. Ainsi, une seule adresse IP est nécessaire afin de représenter un groupe entier d’ordinateur, comme ceux qui appartiennent à une entreprise.

 

La pratique informatique qui consiste à traduire les adresses est née pour pallier au manque d’adresse IPv4 libre. Ces adresses sont codées sur 4 octets et il y a peu de références disponibles comparé au nombre croissant d’ordinateurs présents sur Internet. Il faut donc réserver des intervalles pour créer des adresses à usage privé. Or, ces adresses privées ne sont pas routables sur le net.

 

Ainsi, le NAT en informatique, c’est une traduction d’adresses qui permet de rendre ces références privées (non-routables sur Internet) en une référence capable d’accéder au réseau public (ainsi qu’à d’autres réseaux).

 

 

Quelles sont les différentes méthodes de NAT en informatique ?

Il existe trois différentes méthodes de traduction d’adresses IP :

  • Le NAT Statique qui traduit une adresse privée en une référence publique. Dit aussi NAT de base, aucune information de connexion n’est requise pour effectuer la traduction, elle s’effectue de manière automatique.
  • Le NAT dynamique : les adresses privées sont associées au groupe d’adresses IP publiques. Dans cette configuration, il n’existe pas d’association prédéfinie entre les IP publiques et privées.
  • La surcharge NAT ou la traduction d’adresse de port (dit PAT). Aussi appelée le NAPT MASQ, la méthode offre une solution dans le cas d’un nombre d’adresses externes limitées. Techniquement, ce mode de traduction doit résoudre un problème informatique important : savoir à quel ordinateur spécifique sont destinées les informations envoyées à l’adresse IP de référence, puisque toutes les machines d’une même structure utilisent la même adresse IP publique. Afin de résoudre ce problème, le NAT conserve une trace des paramètres de chaque connexion : l’adresse source, le numéro de port et le protocole supérieur.

 

De nouvelles initiatives se sont développées : le NAPTRedirect / Port Fowarding, le Bi-directional NAT ou le Twice-NAT. Pour tout connaître de ces méthodes, il faut suivre une formation professionnelle en informatique. Ce cursus technique doit être suivi dans un établissement spécialisé, qui permet à ses étudiants de bénéficier d’un apprentissage de haut niveau en alternance.

 

Par exemple, l’ESGI est un établissement spécialisé dans le génie informatique. Son enseignement, axé sur l’acquisition de compétences techniques par la pratique, est complété par l’alternance et des sessions de stage en entreprise.

 

 

Bien connaître les méthodes et les fonctions informatiques du NAT est essentiel pour les informaticiens professionnels. Le NAT est devenu un outil de sécurité des réseaux internet et des connexions des entreprises.

8ème édition de l’ESGI Cloud Day


Actualité publiée le 2 mars 2022

Cette année a eu lieu la 8ème édition de l’ESGI Cloud Day, une journée entièrement à la filière Systèmes, Réseaux et Cloud Computing. Le thème de cette année était : Gestion des réseaux dans le Cloud : évolution et automatisation.

 

 

Comme chaque année, l’ESGI Cloud Day accueille de nombreuses entreprises partenaires spécialisées dans le domaine du Cloud, afin d’échanger avec les étudiants et de leur présenter les dernières évolutions du secteur. Pour cette 8ème édition, des conférences, des ateliers et des workshops ont été organisés :

  • Conférence sur l’infrastructure : l’évolution vers le Cloud, par Axians
  • Conférence sur le domaine spatial : contexte, enjeux et opportunités pour de nouveaux services exploitant les données de la Terre, par Orange Cloud for Business
  • Conférence sur le Cloud Public OBS Flexible, Engine et Open Cloud, par Huawei et Orange Cloud for Business
  • Conférence sur DevSecOps : Organizations in a Shift left security models, par Squad
  • Conférence sur le Cloud Privé de Thales : D’une plateforme Cloud vers un environnement Multi-Cloud, pas Thales
  • Atelier sur Kubernetes, par VP Tech
  • Workshop Gestion des VPC dans le Cloud avec Terraform par Rentacloud
  • Atelier Software Defined Network maison chez un Cloud Provider français par Sewan
  • Atelier sur lee déploiement en IaC d’une infrastructure sur le Cloud souverain 3DS Outscale, par 3DS Outscale
  • REX : 12 ans dans le #Cloud – survol d’une carrière informatique en transformation, par la Société Générale
  • Workshop entretien d’embauche : Comment entrer dans la tête des recruteurs ? par Neurones IT
  • Workshop sur les outils les plus utilisés par les ingénieurs Cloud par Kévin CHEVREUIL, Etudiant SRC & Fondateur de Kaisen Linux

 

Ces moments d’échanges privilégiés ont permis aux étudiants d’approfondir leurs connaissances sur les différents thèmes abordés. Et les entreprises partenaires ont eu l’occasion de présenter leurs nouvelles technologies :

 

« Nous sommes très heureux de participer à cet événement parce que c’est l’opportunité pour nous de présenter la haute technologie de Huawei et également de montrer comment nous fonctionnons en partenariat avec de très grands acteurs du Cloud et des Télécoms en France »

Yves CHEDRU – Business Developper Coud chez Huawei Technologies

 

 

Un Business Hall a également été organisé afin de permettre aux étudiants de rencontrer des représentants RH et des recruteurs de différentes entreprises partenaires ayant des offres d’alternance à proposer dans le domaine du Cloud.

Tout savoir sur le métier de chef de projet web


Actualité publiée le 28 février 2022

Le métier de chef de projet web est un emploi technique et activement recherché par les recruteurs informatiques. C’est ce professionnel qui est chargé de la gestion d’un projet de création ou de refonte de site internet. Analyse des besoins de ses clients, rédaction d’un cahier des charges et coordination des équipes : en quoi consiste précisément le métier de chef de projet web ?

 

Métier de chef de projet web : définition et missions principales

Le métier de chef de projet web peut se décliner dans diverses disciplines de spécialité : SEO, SEM, E-commerce ou encore édition par exemple. Ce professionnel travaille donc sur une multitude de supports : sites, portails, applications mobiles, etc. Il est aussi très polyvalent quant aux actions à effectuer : buzz, marketing digital, campagnes de communication en ligne, etc.

 

Dans le cadre de ses missions, il commence par effectuer un audit des besoins de son commanditaire. Suite à cette première phase d’analyse, il évalue la faisabilité du projet au regard des tendances du web, du marché ou de l’environnement économique mondial.

 

Cette première étape le conduit à rédiger un cahier des charges où il définit un planning de production du site web et établit les budgets conjointement avec le commanditaire.

 

Lors de la phase de développement, il est chargé de l’encadrement des équipes techniques avec lesquelles il travaille : les graphistes, les réalisateurs, les développeurs, les rédacteurs ou encore les prestataires externes (les hébergeurs et les fournisseurs du site web par exemple).

 

Le métier de chef de projet web requiert des compétences de haut niveau dans plusieurs secteurs, de l’édition à l’audiovisuel en passant par l’informatique, la gestion, le management et l’administration.

 

 

Quelle formation pour exercer le métier de chef de projet web ?

Pour exercer comme chef de projet web, il faut se former à la maîtrise des logiciels professionnels comme Photoshop ainsi qu’à la manipulation des langages web (comme Ajax l’HTML pu le PHP).

 

Le chef de projet web a parfaitement conscience que l’évolution rapide et exponentielle des nouvelles technologies et de leurs potentialités le contraint à effectuer une veille constante et consciencieuse de son secteur. Il peut donc être parfois amené à suivre une formation même en tant que professionnel en poste, afin de maîtriser les derniers outils de son secteur.

 

Idéalement, il a suivi une formation jusqu’à un niveau bac +5 et l’obtention d’une Certification Professionnelle de Mastère spécialisé. À l’issue de son cursus universitaire, un chef de projet web junior gagne près de 2200 euros par mois et cette base de rémunération évolue très rapidement au fil de sa carrière. En effet, il est possible qu’un chef de projet web gagne près de 70 000 euros annuels.

 

Le parcours de l’ESGI forme à ce titre au métier de chef de projet web grâce à une pédagogie innovante et de haut niveau académique. Axé sur la pratique, les formations de l’établissement offrent d’apprendre par la modalité de l’apprentissage en alternance et débouchent sur des Certifications Professionnelles reconnues par l’État.

 

 

Le métier de chef de projet web s’exerce à la suite d’une sérieuse formation en ingénierie informatique suivie auprès d’un établissement spécialisé.

Mastère en sécurité informatique : quelles voies possibles ?


Actualité publiée le 24 février 2022

L’importance de la cybersécurité pour les professionnels, les entreprises et les gouvernements ne fait que prendre de l’ampleur. Le recours constamment plus important aux applications hébergées en ligne, la multiplicité des connexions, la quantité des données et leur caractère sensible rend la sécurité informatique cruciale dans la vie d’une société. Alors, quelles sont les voies possibles pour intégrer un mastère en Sécurité Informatique ?

 

Mastère en Sécurité Informatique : commencer immédiatement après le Bac

Il est tout à fait envisageable de débuter son parcours universitaire dans la sécurité informatique immédiatement après l’obtention d’un baccalauréat. Certains établissements spécialisés proposent en effet aux étudiants un Parcours Grande École comprenant une ou deux années de « remise à niveau ».

 

Ce tronc commun permet aux étudiants d’une même promotion de débuter leur cursus avec le même niveau technique en informatique. À titre d’exemple, sont étudiés des modules comme :

 

– Les sciences de l’ingénieur, avec une remise à niveau en mathématiques et en infographie.

– Les techniques de développement. Les nouveaux étudiants peuvent apprendre les bases de la modélisation ou du langage C, afin de faciliter leur futur apprentissage.

 

Choisir de commencer son parcours en vue de suivre un mastère en Sécurité Informatique dès l’obtention de son bac, c’est aussi bénéficier d’un cursus complet et cohérent. S’il est suivi dans son intégralité au sein du même établissement spécialisé, les étudiants seront mieux encadrés et bénéficieront de la même qualité pédagogique tout au long de leur parcours.

 

Mastère en Sécurité Informatique : une intégration en cours de cursus est-elle possible ?

Selon la politique de l’établissement qui organise le mastère en Sécurité Informatique, il est possible d’intégrer une formation en cours de cursus (en troisième ou quatrième année par exemple).

 

Cependant, il est crucial de faire preuve de compétences dans le domaine d’un niveau suffisant afin de suivre correctement les enseignements du programme. En effet, un mastère Sécurité Informatique est une formation premium qui vise à approfondir des savoir-faire techniques en vue d’une insertion professionnelle rapide et réussie. À ce titre, un mastère qui propose la modalité de l’apprentissage en alternance est un véritable tremplin à l’insertion professionnelle.

 

Les diplômés d’un mastère en Sécurité Informatique pourront choisir d’exercer comme :

 

– Testeur d’intrusion ou Pentester.

– Ingénieur en sécurité de l’information.

– Conseiller en prévention des fraudes

– Spécialiste en réponse aux incidents.

– Auditeur.

– CISO (Chief Information Security Officer).

 

Ainsi, il devient possible d’intégrer un mastère Sécurité Informatique suite à des études post-bac dans un autre domaine, ou encore grâce à la modalité de la VAE. Certains excellents établissements, dont l’ESGI, proposent plusieurs sessions au sein de l’année, afin de permettre aux étudiants d’intégrer leur mastère Sécurité Informatique à différents moments de leur parcours académique.

 

Diverses voies sont envisageables afin de suivre un bon mastère Sécurité Informatique. Ce qui est essentiel, c’est le contenu du programme de formation et la qualité pédagogique de l’établissement qui la propose.

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