Quelles différences entre les BDD SQL et les BDD no SQL ?


Actualité publiée le 21 avril 2022

Le sigle BDD signifie « bases de données ». Il en existe deux grands types : les BDD SQL et les No SQL. Quelles sont les différences ?

Une BDD, qu’est-ce que c’est ?

Une BDD, pour base de données, permet de stocker des informations afin de les traiter et de les utiliser ultérieurement. Elle prend la forme d’un ensemble de fichiers qui sont gérés par un serveur. Afin d’accéder aux informations que ce système comprend, l’utilisateur se connecte via une interface client, comme MySQL ou Oracle.

 

Base de donnée SQL : fonctionnement

Le SQL, pour Structured Query Langage est un code de programmation qui permet de gérer les données d’une BDD. Ce système est considéré comme une interface relationnelle, qui offre de stocker et de manipuler les informations sur le logiciel, ainsi que de procéder à des mises à jour. Dans ce système SQL, les BDD sont organisées selon un schéma précis, souvent sous forme de tableaux aux colonnes fixes.

 

Les applications des BDD SQL peuvent être codées avec des langages comme Python ou des programmes de SQL purs. C’est pour cette raison que ce type de bases de données nécessitent de se former à la programmation professionnelle afin d’être prises en main.

 

Quel est le principe d’une BDD No SQL ?

Les bases de données No SQL offrent de stocker des données de manière non structurée. Elles ne sont pas « relationnelles », et sont beaucoup mieux adaptées aux dynamiques du Big Data et au volume colossal de données qu’il comprend. Les BDD No SQL sont aussi plébiscitées pour la gestion des applications web en temps réel et sont compatibles avec une grande variété de technologies de stockage.

 

Très flexibles, leur absence de structure de base permet de les organiser selon des paires de valeur, des graphiques, ou toute autre organisation jugée propice par le gérant. Leur fonctionnement ne requiert pas d’utiliser un langage de programmation complexe et ces BDD No SQL sont orientées vers la collecte de document.

 

BDD SQL ou No SQL : bien comprendre les différences

Il est possible de citer quelques différences clé entre une BDD SQL et une No SQL :

 

– Les BDD SQL évoluent de manière verticale et les No SQL horizontalement. Cela signifie qu’une SQL est mise à l’échelle en fonction de l’augmentation de la quantité de données, tandis qu’une No SQL évolue selon le nombre de serveurs ressources qui lui sont dédiés.

 

– Les BDD SQL sont privilégiées pour la gestion de requêtes complexes, ce qui est impossible avec les BDD No SQL. À ce titre, les SQL sont plébiscitées pour les applications transactionnelles tandis que les No SQL sont très utilisées pour la gestion d’un très grand volume d’informations.

 

Bien comprendre les différences entre les BDD SQL et No SQL, sur le plan de leur fonctionnement comme de leur programmation, requiert de suivre une formation de niveau professionnel. À ce titre, l’ESGI propose un parcours en génie informatique qui offre la possibilité de se spécialiser en cycle mastère.

 

Chaque type de base de données (SQL ou No SQL) correspond à des besoins et à une utilisation spécifiques. Les entreprises qui y ont recours se font accompagner par des experts informatiques afin de faire le bon choix et de manipuler à bon escient ces outils technologiques.

Quels sont les langages informatiques les plus populaires ?


Actualité publiée le 14 avril 2022

Un langage de programmation est une langue informatique qui permet aux êtres humains d’interagir avec la machine. Le programmateur écrit un code source qui est analysé par l’ordinateur et qui induit une transformation de ses mécanismes. La programmation consiste donc à utiliser des techniques d’écriture d’algorithmes informatiques qui ont une visée opérationnelle : donner des indications comportementales à une machine. Zoom sur trois langages informatiques très populaires chez les professionnels.

 

JavaScript : le langage informatique le plus populaire

JavaScript (développé pour la première fois en 1995) est un langage informatique de programmation dont l’objectif est d’intégrer des mécanismes très complexes dans une page web. C’est ce code qui module la plateforme d’interaction entre le back-end d’un site et ses visiteurs. Il affiche tous les éléments nécessaires à la constitution d’une page Internet : le contenu statique, les animations, les menus défilants, etc. Très souvent, les développeurs professionnels utilisent JavaScript conjointement au code HTLM et CSS pour élaborer leurs pages web.

 

Langage populaire et open-source : comment fonctionne Python ?

Python, né en 1991, est un langage informatique open source très employé par les informaticiens professionnels. Il est très utilisé dans le cadre de la gestion des infrastructures informatiques, de l’analyse de données ou du développement de logiciels. C’est un outil qui propose de développer un code de manière très rapide, grâce à sa flexibilité d’utilisation. Complexe à appréhender, il se réserve aux professionnels pour :

 

– Programmer des applications.

– Créer des services web complexes.

– Générer des codes informatiques, etc.

 

Rust : le dernier-né des langages informatiques les plus populaires

La première version stable du langage Rust date de 2015 et ce langage informatique est de plus en plus populaire en raison de ses nombreux atouts. Il permet de :

 

– Coder des systèmes complexes et embarqués.

– Développer des applications web.

– Programmer des outils de lignes de commandes, etc.

 

Rust est un langage compilé : le code source est modifié par un programme appelé compilateur. Il n’est donc plus nécessaire de faire appel à un logiciel annexe, comme c’est le cas avec les langages interprétés. C’est aussi une multiplateforme : on peut l’utiliser sur tous les systèmes d’exploitation en utilisant plusieurs concepts de programmation (fonctionnelle, orientée objets, etc.).

 

Tous ces langages informatiques très populaires sont utilisés pour répondre à des objectifs précis en raison de leurs performances diverses. Les informaticiens et les développeurs professionnels apprennent tout de ces solutions de programmation au fil de leurs études techniques supérieures.

 

L’enseignement proposé à l’ESGI bénéficie d’une structure très complète, les étudiants de l’établissement apprennent et manipulent tous les langages informatiques les plus populaires du marché. Grâce à la modalité de l’apprentissage en alternance, ils prennent immédiatement ces outils en main et sont amenés à anticiper les nouveautés technologiques de leur domaine.

 

Les langages informatiques évoluent quotidiennement pour répondre aux besoins des développeurs professionnels. Ces experts effectuent à ce titre une veille constante de leur secteur afin de tout connaître des nouveaux outils les plus populaires.

Sécurité informatique et cybersécurité : quelle différence ?


Actualité publiée le 12 avril 2022

Parfois à tort confondues, quelles sont les différences entre sécurité informatique et cybersécurité ? Comment tout connaître des deux disciplines et faire carrière dans le génie informatique.

 

En quoi consiste la sécurité informatique ?

Il s’agit d’une branche de l’informatique qui analyse les faiblesses d’un système informatique en réseau. La sécurité informatique permet donc de repérer les points d’entrée des virus comme les chevaux de Troie, les invasions de système ou encore le vol de données. Elle vise à garantir la sécurisation des accès et de l’utilisation des informations qui sont stockées dans les équipements informatiques d’une entreprise afin de protéger le système lui-même.

 

La sécurité informatique a donc recours à des outils pour renforcer le niveau de protection d’une structure : antivirus, comptes d’accès, limitation des accès au réseau interne et à Internet, etc. Les techniciens en charge de la sécurité informatique d’une structure développent ainsi une gamme sur-mesure, afin de combler les failles dans la sécurité des systèmes de leurs clients : cryptage de l’information, contrôles d’accès aux salles de serveurs physiques, etc.

 

Cybersécurité : une politique de protection de l’information

Relève de la cybersécurité les protocoles et les mesures visant à sécuriser les informations d’une entreprise. Ces méthodes privilégient la prévention afin d’éviter les attaques informatiques (le phishing, les virus, les ransomware, etc.).

 

Ainsi, la cybersécurité regroupe tous les moyens mis en œuvre pour assurer la protection informatique d’une structure. Elle assure donc une gestion des data d’une entreprise de manière optimisée et ultra-sécurisée.

 

Grâce aux méthodes de la cybersécurité, les entreprises mettent en place des plans de gestion informatique, qui comportent des actions préventives ainsi que des programmes de reprise après sinistre. C’est une discipline qui permet aussi de mettre en place des formations et des séminaires de sensibilisation auprès des collaborateurs d’une entreprise, afin qu’ils acquièrent des comportements conscients et sécurisants dans leur approche de l’outil informatique. Ainsi, elle offre aux directions des entreprises de mettre sur pied une politique de sécurité informatique solide et cohérente.

 

Les enjeux de la cybersécurité et de la sécurité informatique pour les entreprises

Plus de 70 % de la valeur d’une société réside dans ses données et les rapports des experts indiquent de plus d’une entreprise sur deux a déposé le bilan suite à un incident relevant d’un échec dans sa politique de cybersécurité. Ainsi, on comprend que les enjeux de la sécurité informatique sont si importants pour les structures professionnelles.

 

Les entreprises (PME comme multinationales), quel que soit leur secteur d’activité, cherchent donc à s’entourer d’experts en génie informatique formés aux méthodes de la sécurité informatique et de la cybersécurité. L’ESGI propose à ce titre des parcours spécialisés de très haut niveau académique et technique qui répondent aux besoins des recruteurs du secteur.

 

Pour une entreprise, apporter une attention extrême à sa sécurité informatique et à sa politique de cybersécurité est un gage de protection lui permettant de développer sereinement ses activités.

Alumni’s moment – Amin Nairi


Actualité publiée le 5 avril 2022

Amin Nairi, ancien étudiant à l’ESGI, a suivi le cursus Ingénierie du Web et revient sur ces années de formation.

Quel est ton poste actuellement ?

Mon poste actuel est professeur permanent à l’ESGI donc ma mission principale consiste à enseigner aux générations futures les différentes facettes du métier de l’internet.

 

Qu’est-ce-qui t’as plu dans ta filière ?

Les avantages de la filière Ingénierie du Web c’est que l’on a une vraie formation théorique et pratique et pour le coup c’est extrêmement utile notamment quand on va appliquer nos compétences en alternance, c’est ce qui nous permet d’être productif très rapidement.

 

Quels sont tes meilleurs souvenir à l’ESGI ?

Les souvenirs que je garde de cette formation c’est avant tout beaucoup de franche camaraderie avec les collègues de travail, ça a été vraiment un plaisir de pouvoir travailler avec eux dans la joie et la bonne humeur.

C’était aussi une formation dotée d’intervenants qui sont extrêmement compétents et qui ont à cœur de nous apprendre de nouvelles choses.

 

Si tu devais ne recommander qu’un seul logiciel, ce serait lequel ?

Si je devais recommander un seul logiciel aujourd’hui ce serait évidemment Vim parce qu’on gagne énormément de temps à éditer du texte sur ce logiciel plutôt que sur VS Code ou d’autres éditeurs de texte.

 

Quelle avancée technologique attends-tu avec impatience ?

L’avancée technologique que j’attends avec impatience c’est l’avènement de la programmation fonctionnelle dans le monde du web et plus généralement dans le monde du développement parce que je considère que ce paradigme de développement à un fort potentiel et qu’il est pour l’instant sous-estimé malheureusement.

 

Si tu avais un conseil à donner aux étudiants de l’ESGI ce serait lequel ?

Si j’avais vraiment un seul conseil à donner aux étudiants suivant un cursus à l’ESGI ce serait de ne pas se concentrer sur les notes et plutôt de se concentrer sur les technologies ce qui vous permettra de vraiment approfondir par la suite et d’apprendre des choses intéressantes, tandis que si vous vous concentrez sur les notes, vous passerez à côté de certaines choses qui seraient vraiment cool à apprendre au sein de l’ESGI.

Quels sont les pré-requis pour faire de l’animation 3D ?


Actualité publiée le 31 mars 2022

L’animation 3D est une discipline des arts graphiques et numériques qui consiste à intégrer des éléments en relief à un contenu multimédia. Elle comprend des techniques et des outils qui sont utilisés par l’industrie du divertissement, mais aussi de la publicité, de  la médecine ou encore de l’enseignement.

 

L’animation 3D, qu’est-ce que c’est ?

Les professionnels de l’animation 3D intègrent des éléments (objets et/ personnages) dans un espace en trois dimensions afin de les manipuler pour créer une illusion de mouvement. Afin d’y parvenir, ils travaillent à partir de logiciels informatiques de modélisation 3D.

 

Ces techniciens spécialisés travaillent avec une méthode complexe qui comprend plusieurs étapes :

  • La modélisation, qui consiste à créer les personnages et les objets à intégrer à l’espace 3D.
  • La mise en page, étape pendant laquelle les éléments sont incrustés sur un programme d’animation.
  • Le rendu. Véritable phase finale du projet, elle permet d’apporter de la fluidité aux mouvements et d’habiller les personnages.

 

Les professionnels de l’animation 3D sont donc de fins techniciens informatiques doublés de grands connaisseurs du monde de l’art. À ce titre, ils font preuve d’une très solide culture de l’univers de l’animation, des nouvelles technologies et des jeux vidéo et développent quotidiennement leur sens artistique.

 

Que faut-il savoir pour faire de l’animation 3D ?

Pour produire des projets qui répondent aux exigences de la discipline de l’animation 3D, il faut impérativement bien connaître l’outil informatique. En effet, les graphistes et les animateurs 3D utilisent des logiciels professionnels de pointe et savent paramétrer leurs appareils en autonomie.

 

Ils effectuent aussi une veille constante de leur secteur professionnel, la technologie est un domaine qui évolue constamment et très rapidement. Leurs logiciels doivent être maintenus jour et les techniciens se doivent d’anticiper les nouveautés sur le marché.

 

À ce titre, l’animation 3D requiert de suivre une formation spécialisée. Or, avant d’intégrer un cycle de spécialisation, il est important d’acquérir un certain nombre de pré-requis nécessaires pour maîtriser pleinement la discipline. Ces connaissances de base s’acquièrent à l’occasion d’un bachelor en animation 3D, il s’agit notamment d’apprendre à :

  • Mettre en œuvre des méthodes professionnelles afin de prendre en main la gestion informatique d’un projet.
  • Administrer et paramétrer un système performant afin de répondre aux besoins d’un projet de grande envergure.
  • Concevoir des solutions logicielles pour mener à bien son projet d’animation 3D.

 

L’ESGI, la grande école du génie informatique en alternance, propose à ce titre un programme de spécialisation en Ingénierie de la 3D et des jeux vidéo. Le cursus se développe autour d’un cycle bachelor et d’un mastère de spécialisation. Grâce à sa pédagogie de haut niveau et son rythme en alternance, la formation bénéficie d’un excellent taux d’insertion professionnelle.

 

L’animation 3D est en constante évolution. Désormais, elle se mêle aux méthodes de la réalité augmentée et bénéficie de très nombreuses filières d’application.

Hackathon 2021-2022 : Une semaine inoubliable


Actualité publiée le 30 mars 2022

Du 7 au 11 mars 2022 s’est déroulé le Hackathon GES-Eductive impliquant des étudiants de trois écoles, à savoir l’ESGI, l’ICAN et l’ECITV. L’évènement a eu lieu sur le campus de Beaugrenelle, dans les locaux des écoles MODART et EIML.

 

 

Un défi lancé par Wired Beauty

Comme chaque année, les étudiants participant au Hackathon GES travaillent pour un client. Cette année, il s’agissait de Wired Beauty, une start-up de la Beauty Tech française. Cette start-up, spécialisée dans les soins du visage, a développé un laboratoire portable miniaturisé qui permet d’analyser in situ (dans la salle de bain des consommateurs) l’efficacité objective d’une formule et de recueillir simultanément grâce à une application digitale l’avis subjectif du consommateur. Son nouveau défi : se lancer dans le B to B.

 

L’objectif, grâce aux talents complémentaires des étudiants, était d’aider cette start-up à lancer ses services en :

  • Refondant leur site internet
  • Développant une nouvelle charte graphique
  • Développant une plateforme back-office automatisable
  • Inventant une dataviz automatisée claire et originale des rapports
  • Recommandant une stratégie marketing digitale opérationnelle dès avril 2022

 

Pour ce Hackathon, les étudiants étaient répartis en 36 groupes, avec dans chaque groupe, 3 développeurs issus de la filière Ingénierie du Web de l’ESGI, au moins un Designer de l’école ICAN et au moins un étudiant en Marketing Digital de l’ECITV.

 

Dès lundi matin, les représentants de Wired Beauty ont briefé les étudiants sur leurs attentes de la semaine. La première étape consistait à rendre individuellement un Moodboard résumant la solution proposée. Après délibération d’un jury, 36 étudiants ont vu leur réalisation sélectionnée et ont été désignés comme étant « Chef de projet ».

 

 

Une expérience personnelle intense

Tout au long de la semaine, les étudiants ont été épaulés par des coachs aux qualifications différentes dans différents domaines. Yves Skrzypczyk, directeur pédagogique de la filière Ingénierie du Web de l’ESGI et organisateur du Hackathon, portait également la casquette de Coach Technique. Adrien Morin et Karl Marques Bernardo étaient également présents pour coacher les étudiants sur l’aspect technique. Pour la partie Design, Jeremy Serval accompagnait les étudiants. Enfin, pour tout ce qui avait trait au Marketing Digital, ils ont pu compter sur le soutien de Yoann Barrier, directeur de l’ECITV. Leurs précieux conseils ont permis aux étudiants de relevé le défi par Wired Beauty et de vivre une belle expérience :

 

« Il ya un gros challenge sur une courte période de temps qui nous « force » à connaître un secteur que l’on ne connaît pas à communiquer entre nous. C’est très satisfaisant parce qu’on peut se dépasser et chercher des problématiques que l’on n’a pas l’habitude de connaître. »

Romain Pierucci – étudiant en 4ème année en Ingénierie du Web à l’ESGI

 

Pour les plus motivés, le mercredi soir a eu lieu une « nocturne » accompagnée d’une soirée pizzas, pour se détendre et relâcher la pression le temps d’un instant. Des mini-challenges ont également été organisés différents jours de la semaine, avec des lots à la clé, pour dynamiser et rendre la semaine plus ludique.

 

 

Cette année encore, les étudiants se sont investis et ont donné leur maximum lors de ce Hackathon. Félicitations à toutes et tous, et merci à Wired Beauty d’avoir accepté de participer à ce nouveau Hackathon GES-Eductive.

Que faire après un mastère Systèmes Réseaux et Cloud Computing ?


Actualité publiée le 28 mars 2022

Les entreprises ont toutes recours aux services de l’internet dans le cadre de leurs activités professionnelles. Les besoins de professionnels experts des systèmes réseaux et du Cloud sont de plus en plus importants. Comment choisir le bon mastère Systèmes Réseaux et Cloud Computing et quels sont les débouchés de cette formation ?

Mastère Systèmes Réseaux et Cloud Computing : qu’est-ce que c’est ?

Un mastère Systèmes Réseaux et Cloud Computing s’adresse aux étudiants désireux d’obtenir des compétences opérationnelles sur les méthodes de conception et de réalisation d’architectures numériques et informatiques pour les systèmes et les réseaux. Une formation spécialisée permet de tout connaître de la sécurisation et de l’optimisation de ces architectures au sein d’une structure professionnelle : entreprise, data center organisation ou opérateur.

 

Un professionnel en systèmes, réseaux et Cloud Computing est garant de la fiabilité et de la sécurité des données qui transitent sur les réseaux des entreprises avec lesquelles il travaille. Les sociétés qui utilisent des applications bureautiques ont désormais toutes recours aux services du Cloud Computing (les éditeurs de logiciels de bureautique y hébergent leurs outils informatiques). Il est donc crucial pour les entreprises d’obtenir un haut niveau de sécurisation de leurs activités en ligne.

 

C’est pour cette raison que toutes les entreprises, quel que soit leur secteur d’activité ou leur taille, travaillent avec des ingénieurs formés, qui ont suivi un mastère spécialisé en Systèmes Réseaux et Cloud Computing.

 

 

Quels sont les débouchés d’un mastère Systèmes Réseaux et Cloud Computing?

Ces experts peuvent travailler à divers postes à responsabilité, dont :

  • Ingénieur systèmes.
  • Ingénieur réseaux.
  • Ingénieur télécom.
  • Ingénieur virtualisation.
  • Responsable informatique.
  • Consultant en réseaux et sécurité, etc.

 

En effet, à la suite d’un bon mastère Systèmes Réseaux et Cloud Computing, ces professionnels sont aptes à travailler au sein de toutes les branches de l’ingénierie informatique.

 

Ils savent analyser, organiser et concevoir des infrastructures informatiques capables de répondre aux besoins de leurs clients. Ils peuvent manier les différents protocoles de communication et opter pour le langage de programmation approprié. À titre d’exemple, grâce à un bon mastère spécialisé en Systèmes Réseaux et Cloud Computing, les étudiants apprennent à utiliser les outils de création de réseaux comme CISCO Entreprise CORE ou la virtualisation des réseaux et le SDN. À l’issue de leur formation, ils sont de véritables experts du Cloud Computing, et peuvent paramétrer l’automatisation de la virtualisation de leur architecture ou encore développer un système entier fonctionnel et sécurisé.

 

C’est pour cette raison qu’il est vivement conseillé de suivre un mastère Systèmes Réseaux et Cloud Computing qui se déroule en alternance, à l’instar de la formation proposée par l’ESGI. Un apprentissage dispensé par des enseignants issus du monde professionnel est un véritable atout afin de s’assurer d’un contenu qui reflète constamment les réalités du secteur. La formation bénéficie de la qualité pédagogie de l’établissement ainsi que de la modalité de l’apprentissage en alternance.

 

 

Suivre un mastère Systèmes Réseaux et Cloud Computing, c’est choisir une filière dynamique en plein essor.

Quelles sont les missions du consultant web ?


Actualité publiée le 25 mars 2022

Le métier de consultant web se développe considérablement et répond à une véritable attente des professionnels (PME, collectivités territoriales, multinationales tous secteurs confondus). Véritable expert en ingénierie du web, excellent communicant, manager et responsable technique, quelles sont les missions du consultant web ?

 

Consultant web : des missions d’accompagnant

Le rôle du consultant est d’analyser les projets qui lui sont présentés, d’évaluer les besoins de ses clients et de les conseiller afin d’opter pour les solutions informatiques les mieux à même de répondre à leurs attentes.

 

Sa principale mission est donc de donner à une entreprise des avis quant à sa stratégie internet (mise en place d’un site e-commerce par exemple) tout en apportant son aide lors des diverses étapes du projet. C’est un véritable accompagnateur du développement stratégique des entreprises avec lesquelles il travaille. Pour remplir cette mission, il doit donc faire preuve de solides connaissances techniques dans le domaine du web et des nouvelles technologies, ainsi que de véritables compétences relationnelles.

 

Il lui faut aussi avoir une vision globale les dynamiques et des contraintes du web en lien avec l’économie actuelle. Sa mission de conseil le pousse alors à effectuer une veille constante de ces divers secteurs afin d’offrir des prestations et des audits de qualité.

 

Les consultants web peuvent être spécialistes d’un domaine spécifique et exercer dans cinq grands domaines :

  • L’architecture web : la mise en place du système réseau d’une entreprise.
  • Le référencement : dans ce cas il officie comme consultant SEO/ SEM.
  • La stratégie digitale, qui est le domaine de prédilection des consultants web analystes.
  • L’ergonomie : il offre un conseil qui suit les méthodes de l’UX Design.
  • Le marketing, il conseille alors à propos des stratégies de vente des produits en ligne.
  • La sécurité informatique, en proposant des outils d protection des interfaces.

 

Comment apprendre les missions de consultant web ?

Les missions du consultant web ne peuvent être prises en charge qu’après avoir suivi une formation technique et professionnalisante auprès d’un établissement d’enseignement spécialisé. Il est aussi important que le cursus fasse preuve de trois critères de choix : qu’il se déroule sur cinq années, qu’il permette de s’expertiser et qu’il s’organise selon la modalité de l’apprentissage en alternance.

 

Pour remplir efficacement sa mission de conseiller, il doit avoir un bagage technique opérationnel en ingénierie du web. Le consultant web sait donc maîtriser les langages et les frameworks les plus courants et peut réaliser lui-même tous les types de sites web : statiques, web service pour une PME comme une multinationale.

 

À titre d’exemple, la filière Ingénierie du web de l’ESGI offre à ses étudiants de se former pleinement aux missions du consultant web grâce à l’alternance et à une pédagogie de projet d’exception.

 

 

Il est tout à fait possible d’exercer comme consultant web au sein d’une entreprise, d’une agence ou à son compte, bien que ce professionnel travaille généralement au sein d’un cabinet de conseil. Après quelques années d’expérience, la rémunération d’un bon consultant web se situe entre 35 000 et 80 000 euros bruts annuels.

Alumni’s moment – Amrta Devy Balasoupramaniane


Actualité publiée le 22 mars 2022

Amrta Devy

Présentez-vous en quelques mots…

Je m’appelle Amrta Devy, j’ai 23 ans et je suis une vraie passionnée d’informatique !

 

Quand avez-vous intégré l’ESGI et pour quelle formation ?

J’ai intégré l’ESGI en Premier Cycle, juste après l’obtention de mon baccalauréat en 2016, et j’ai choisi d’intégrer la filière Intelligence Artificielle et Big Data à la fin de ma 2ème année.

 

Quels ont été, d’après vous, les avantages de la formation que vous avez suivie ?

Afin de répondre parfaitement aux besoins des organisations, le programme de la filière couvre l’ensemble des métiers présents dans le domaine de la Data Science, Data Analyse, et du Data Engineering. Constamment mis à jour, celui-ci nous permettait non seulement d’être à la pointe des nouvelles technologies mais également d’appliquer directement ce que nous avons appris en cours dans le cadre de projets en entreprise grâce à l’alternance.

Je trouve aussi que la vie de campus nous permet de créer un réseau professionnel beaucoup plus facilement au travers des nombreuses associations, des conférences organisées au sein de l’école et des divers échanges que l’on peut avoir avec les intervenants de l’école.

 

Parlez-nous de votre poste actuel et de vos missions (journée type).

Je suis actuellement Data Engineer chez AXA France et je m’occupe de préparer et traiter les données en fonction de la demande métier. En général, je commence ma journée par un Daily avec les Product Owners de mes projets pour communiquer les avancements des projets ainsi que les points de blocages. Ensuite je continue le développement des différents tickets (use-cases) rédigés par les PO. Dans le cas où les tests de développement sont terminés, nous validons les développements effectués avec le PO avant de préparer l’instauration des uses-cases dans les divers environnements de travail (dev, recette, preprod, prod) etc ..

 

Comment avez-vous trouvé votre poste actuel ?

J’ai pu envoyer ma candidature au service de recrutement d’AXA lors d’une conférence à l’école. Après plusieurs entretiens, j’ai pu obtenir le poste que j’occupe aujourd’hui.

 

Parlez-nous de vos expériences en alternance passées, que vous ont-elles apportées ? 

Grâce à l’ESGI, j’ai eu la chance de vivre deux expériences d’alternance inoubliables.

Que ça soit au sein de 3Ci Solutions ou de Natixis, je suis tombée sur de formidables tuteurs qui, de par leur pédagogie, m’ont aidé à exploiter pleinement mon potentiel dans des projets d’équipe.

Grâce à cela, j’ai pu, d’une part, approfondir mes compétences techniques sur le terrain de l’entreprise tout en enrichissant mon CV et d’autre part, développer mon réseau à travers des rencontres enrichissantes tout au long de mon parcours.

 

Quelles sont les qualités indispensables pour faire votre métier ?

Être bon communiquant, avoir un esprit d’analyse et de synthèse, avoir le sens de l’organisation et avoir l’esprit d’équipe sont les qualités humaines que je définirais essentielles pour être Data Engineer.

En ce qui concerne les compétences techniques, je dirais que la maîtrise de SQL et du framework SPARK (en scala ou en python) est primordial pour un Data Engineer. La connaissance de l’environnement HADOOP est très conseillée aussi.

 

 

Quels outils/logiciels spécifiques utilisez-vous pour vos projets ? 

Pour mes projets, j’utilise essentiellement git pour assurer un développement continu.

 

Si vous ne deviez recommander qu’un seul logiciel, ce serait lequel ?

Etant donné que je développe essentiellement en Python, je dirais l’IDE Pycharm.

 

Avez-vous une anecdote à nous raconter ? (sur une réunion, premier entretien, projets de cours)

Lors d’un entretien pour ma recherche de CDI, j’ai eu l’occasion d’exposer le schéma technique de mon projet annuel : “Watchbot ” un outil d’analyse et traitement des données d’objets connectés (montre connectée) en temps réel, ayant pour but de fournir des réponses à des questions de l’utilisateur grâce à des graphiques. Captivés par mes explications, les recruteurs me posaient énormément de questions sur le projet en cours ainsi que les étapes d’acheminement.

Ce que j’essaye de dire à travers cette anecdote, c’est qu’il ne faut surtout pas hésiter à mettre en avant vos projets annuels de fin d’année de manière professionnelle lors de vos entretiens. Ce n’est que de la valeur ajoutée à votre profil.

 

Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui suivent aujourd’hui cette formation ?

Soyez curieux et créatif dans vos projets ! Investissez-vous à fond dans vos études !

Informatique : comment bien choisir un mot de passe ?


Actualité publiée le 21 mars 2022

De très nombreuses démarches de la vie quotidienne et professionnelle passent par Internet et l’accès à des comptes : banques, administration, messagerie électronique ou applications de travail. Sécuriser ses informations de connexion s’avère donc être un élément central pour s’assurer de ne pas être victime de piratage informatique. Alors, comment bien choisir son mot de passe ?

 

Pourquoi faut-il bien choisir son mot de passe ?

En informatique, il est essentiel d’utiliser des mots de passe pour ses comptes d’utilisateur qui soient suffisamment complexes pour éviter les cyberattaques. En effet, les virus ou les attaques informatiques fonctionnent grâce à des algorithmes capables de tester une infinité de combinaisons afin d’entrer dans le système informatique des professionnels comme des particuliers.

 

Opter pour le bon mot de passe entre donc dans une logique de prévention visant à assurer un bon niveau de sécurité informatique à son système. Naturellement, il est recommandé de ne pas confier ces informations à des tiers, ni par message ni par téléphone.

 

Si un cybercriminel réussit à découvrir les mots de passe d’un particulier ou des salariés d’une entreprise, il aura ainsi accès à toutes ses informations. Il sera donc en mesure de lui voler de l’argent, d’usurper une identité voire de se livrer à des activités criminelles.

 

Choisir un mot de passe : les conseils de la CNIL

La CNIL propose aux particuliers comme aux professionnels certains conseils afin de déterminer un mot de passe de niveau suffisant :

  • Choisir un mode de passe alphanumérique comprenant au minimum 12 caractères.
  • Opter pour une formule qui ne dit rien sur soi-même ni son entreprise.
  • S’abstenir d’utiliser les mêmes mots de passe pour plusieurs comptes et éviter les connexions depuis un compte ayant les droits d’administration. La CNIL considère qu’un Français gère près de 25 comptes sur Internet, ce chiffre est bien évidemment démultiplié pour une société qui comprend plusieurs salariés.
  • Ne pas écrire ses informations de connexion sur un post-it ou une feuille volante.
  • Mettre en place des processus de double authentification.
  • Mémoriser ses mots de passe ou à défaut recourir aux services des gestionnaires de mots de passe.

 

Ces excellentes indications permettent de structurer des mots de passe plus solides pour les néophytes. Ils ne se substituent pourtant pas au travail de fond qu’effectuent les spécialistes de la sécurité informatique pour le compte de leurs clients.

 

C’est pour cette raison que l’ESGI forme ses étudiants à toutes les techniques de création et de gestion de mots de passe personnels et professionnels. Forts de leur apprentissage complet, cohérent et de très haut niveau académique et technique, ses étudiants sortants sont en mesure de mettre en place une politique de cybersécurité propice aux activités professionnelles de leurs clients.

 

Bien choisir son mot de passe est devenu un acte essentiel de la vie quotidienne. Au même titre que l’on ferme sa porte d’entrée, il faut désormais penser à sécuriser ses accès en ligne.

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