Focus sur le métier de Data Architect


Actualité publiée le 31 août 2021

 

A l’ère du Big Data, le Data Architect (ou Architecte Big Data) joue un rôle fondamental au sein de nombreuses entreprises. En effet, cet expert de l’informatique a la mission délicate d’organiser la collecte et la gestion des flots de données brutes.

 

 

Un agrégateur de données

L’objectif du Data Architect est de récupérer des données brutes (de quantité plus ou moins importante), pouvant être issues de sources diverses. Lorsqu’il a fini de récolter ces données, il va ensuite créer et optimiser des infrastructures lui servant à les stocker, les manipuler, et les restituer. Il exerce généralement en étroite collaboration avec le Data Scientist, car il lui procure les données brutes sur lesquelles ce dernier devra travailler.

 

Concrètement, le Data Architect doit être en mesure d’agréger des données (internes ou externes à son entreprise) dans le but d’élaborer un moyen qui permettra non seulement de les regrouper, mais aussi de les organiser avec cohérence. Il est donc amené à concevoir des modèles de données, qui seront utilisés pour les structures des bases de données. 

 

Régulièrement, il participe aux projets informatiques de son entreprise pour définir quels sont les besoins de ses collaborateurs en matière de description et d’usage de données. Il se charge également de mettre en place les évolutions et les changements de normes et de standards qui peuvent intervenir, notamment au niveau des modèles de données ou du dictionnaire de données…

 

 

Un large éventail de compétences à maîtriser

Indispensable au fonctionnement de nombreuses sociétés, le Data Architect permet d’offrir une vision globale en tant que concepteur d’architecture à son équipe, ce qui fait de lui un élément majeur pour la prise de décision des projets data. 

 

Ce poste est généralement ouvert à partir d’un niveau bac +5 car il requiert d’importantes qualifications techniques. Par exemple, le Data Architect doit absolument savoir utiliser les principales technologies du Big Data, comme Hadoop, Spark ou encore NoSQL. Il doit également connaître les différents langages informatiques et leurs outils dans les moindres détails, et savoir administrer une plateforme de calculs distribués. La modélisation, le traitement, et la transformation des données complexes ne doivent pas avoir de secret pour lui, et il doit aussi être capable d’élaborer une solution de stockage des données. Par ailleurs, le Data Architect doit parfaitement parler l’anglais, qui est la langue de référence en informatique.

 

Pour acquérir l’ensemble de ces compétences pointues, une formation spécifique en informatique ou en statistiques est indispensable, et il est donc vivement conseillé de suivre un cursus au sein d’un établissement spécialisé. Certaines écoles de l’Ingénierie Informatique, comme l’ESGI, proposent à ce titre différentes formations spécialisées : pour l’étudiant, il est notamment possible d’y suivre un Mastère Intelligence Artificielle et Big Data, afin de devenir un véritable spécialiste de la gestion des données brutes !

 

Très recherché sur le marché de l’emploi, un Data Architect gagne environ 3000 euros mensuels en début de carrière, mais ce salaire peut rapidement atteindre les 5000 mensuels au terme de quelques années d’expérience.

 

 

Bien que relativement récente, la profession de Data Architect semble incarner un choix de carrière particulièrement prometteur. En effet, ce spécialiste de la donnée brute conçoit des structures qui pourront être utilisées par toute son équipe data, mais aussi par tous les métiers relatifs à l’organisation informatique de son entreprise. 

Meet-Up : Image Recognition With Machine Learning


Actualité publiée le 27 août 2021

 

Depuis quelques années le Machine Learning est en plein essor et ce marché est assuré de progresser dans les années à venir. Etant persuadés que ce sujet peut impacter le monde de l’informatique dans son ensemble, cinq étudiant de la filière Ingénrierie du Web, Duy-Dung TRAN, Martin GENOT, Serigne Saliou SENE, Gerardin Brice FOUEPE FOUEJIO et Kany VOUMBY, ont décidé d’organiser leur Meet-Up autour de ce thème.

 
 

L’organisation du Meet-Up

Les principaux facteurs moteurs du marché sont la prolifération de la génération de données et les progrès technologiques. A travers leur conférence, les étudiants souhaitez donner les bases du Machine Learning dans la reconnaissance d’image et la finance. Ils désiraient également permettre aux participants de différencier le Machine Learning (ML) et l’Intelligence artificielle (AI), car beaucoup les confondent.

 

Pour les étudiants, ce Meet-Up était l’occasion de se dépasser et d’organiser une rencontre unique. Le challenge pour eux était de bien découper le meetup pour ne pas que ce soit trop long. Sinon, la présentation risquait de devenir ennuyeuse et déroutante pour les spectateurs. Le second challenge était la barrière de la langue. En effet, ils ont choisi, en accord avec les conférenciers, de faire les présentations en anglais. Un vrai défi pour eux ! Afin de préparer le contenu, ils se sont mis à la place des spectateurs ou de quelqu’un qui ne connaît pas Machine Learning afin de choisir un vocabulaire pas être trop technique, mais suffisamment avancé pour pouvoir enrichir la culture de chacun.

 
 

Les conférences

La première conférence traitait du Machine Learning en général et de la reconnaissance d’image avec Machine Learning a été animée par Lohic FOTIO TIOTSOP, doctorant en génie informatique et de contrôle à l’Université Politecnico di Torino, Italie. Ce talk avait pour but d’expliquer comment reconnaître une image avec le Machine Learning mais aussi de donner des applications concrète de la reconnaissance d’image dans la réalité.

 

La seconde conférence devait aller un peu plus loin dans la reconnaissance d’image, avec l’intervention de Gérard ROZSAVOLGYI, enseignant de Mathématique et Informatique à l’Université d’Orléans. Il aurait dû parler des algorithmes connus utilisés dans le Machine Learning avec des exemples sur la reconnaissance d’image Néanmoins, en raison de problème de santé, Mr. ROZSAVOLGYI n’a pas pu participer à la conférence.

 

La troisième conférence a traité du Machine Learchine dans la finance, présentée par Thanh-Lan VU, étudiant en alternance à Allianz dans la gestion d’actifs. L’objectif était d’étudier l’impact du Machine Learning ou du non Machine Learning dans la finance. A la fin de cette conférence, les étudiants ont présenté les algorithmes connus en Machine Learning.

 

 

« Je suis très heureux de comment s’est déroulé ce meetup. En le préparant, nous avons beaucoup appris sur le Machine Learning grâce aux intervenants. Je n’étais pas sûr de pouvoir réaliser un bon meetup, l’anglais n’étant pas mon point fort. J’avais peur de dire une bêtise où de ne pas comprendre les intervenants. De plus, deux jours avant le meetup, le seul intervenant s’exprimant en français à annulé, cela ne m’a pas rassuré. Heureusement le reste de l’équipe était confiant, les intervenants étaient motivés, tout cela m’a permis de mieux appréhender les choses. Le meetup était vraiment intéressant, je suis même un peu déçu qu’il n’est pas pu être plus long, le Machine Learning étant un sujet fascinant, j’aurai aimé aller un peu plus dans le détail lors de ce meetup. »

Kany VOUMBY – étudiant en 5ème année en Ingénierie du Web

 

Les compétences les plus recherchées en informatique en 2021


Actualité publiée le 25 août 2021

 

Avec la transition numérique, les entreprises enregistrent un besoin important de candidats issus de filières informatiques. Le secteur a le vent en poupe : quelles sont les compétences les plus prisées sur le marché du travail et pour quelles raisons ?

 

 

Métiers de l’informatique : le top 5 des compétences en 2021

Les métiers de l’informatique évoluent avec le développement des nouvelles technologies.

Aujourd’hui, ils sont représentés dans tous les secteurs d’activité. Cybersécurité, intelligence artificielle, big data, réalité virtuelle, les opportunités sont présentes dans les plus grands secteurs : santé, transports, production industrielle, finance, marketing.

 

Alors que les offres d’emploi sont nombreuses et affluent sur le marché, les compétences recherchées sont de plus en plus pointues. Pour ceux qui espèrent tirer leur épingle du jeu,

voici les 5 compétences informatiques à posséder en 2021 :

· L’Intelligence Artificielle (IA) et apprentissage automatique (ML) : L’IA représente l’ensemble des théories et des techniques mises en œuvre en vue de réaliser des machines capables de simuler l’intelligence humaine.

· La cybersécurité : c’est un ensemble de technologies, de processus et de pratiques dont l’objectif est de se protéger contre toutes attaques, dommages et accès non-autorisés.

 · La gestion de projet : c’est l’ensemble des activités informatiques qui regroupe la gestion des équipes, l’établissement des budgets et son suivi, la maîtrise d’oeuvre, les méthodologies, la conduite du changement.

 · La programmation : connue également sous le nom de codage, c’est l’ensemble des activités qui permettent d’écrire des programmes informatiques.

 · La créativité : c’est l’activité dont le but consiste à modéliser, simuler ou reproduire la créativité à l’aide d’un ordinateur

 

 

Pourquoi les compétences en informatique sont-elles recherchées?

Le secteur des technologies de l’information a le vent en poupe. Les formations sont nombreuses suivant la spécialité recherchée et les offres d’emploi attractives. Quelles sont les raisons pour se former aux métiers de l’informatique en 2021 ?

 

· Une demande élevée : l’informatique fait partie de notre quotidien et les besoins en professionnels dans ce secteur sont en très forte hausse ces dernières années (transition numérique, cyberattaques, crise du covid-19, télétravail, etc.).

· Une rémunération attractive : les compétences dans le secteur de l’informatique étant très prisées par les recruteurs et la demande en hausse sur le marché du travail, les salaires des professionnels dans le secteur sont particulièrement élevés.

· Des spécialisations variées: le secteur informatique offre des spécialisations et des débouchés très divers : ingénieurs en informatique, développeurs web, chefs de projets, etc. Les candidats postulants aux métiers de l’informatique ont le choix pour se former et choisir une spécialisation qui leur correspond.

 

Pour les étudiants qui souhaitent profiter de ce secteur porteur et se former aux métiers de l’informatique, l’ESGI (École Supérieure de Génie Informatique) est une école dont les diplômes sont reconnus par l’État et propose des formations spécialisées en informatique de niveau Bac à Bac +5. Forte de son expérience de 30 ans, l’ESGI s’adapte aux changements et à l’évolution du secteur et à ses besoins.

Le secteur informatique est en perpétuelle évolution et les recruteurs recherchent constamment des compétences pointues pour s’adapter rapidement aux changements dans ce secteur : Intelligence Artificielle, cybersécurité, gestion de projet, programmation, créativité sont les compétences qui feront la différence sur un CV en 2021 !

Hackathon ESGI | ECTIV pour Infoclimat


Actualité publiée le 29 juillet 2021

A l’occasion d’un Hackathon, les étudiants de l’ESGI et de l’ECITV ont travaillé ensemble afin de répondre à la problématique d’un client : l’association Infoclimat.

 

 

Infoclimat : un client, une problématique

 

Infoclimat et l’ESGI sont tous deux partenaires de l’entreprise Gandi. Ces derniers ont proposé à l’association de participer à un Hackathon en tant que client afin de voir différents projets émerger sur une problématique donnée.

La problématique : Exploiter les données météorologiques historiques d’Infoclimat afin de les rendre lisibles et diffusables sur les réseaux sociaux et mettre en avant les données records.

 

 

L’ESGI et l’ECITV : un duo gagnant

 

102 étudiants ont donc travaillé sur ce projet, en équipe mixte ESGI/ECITV, afin de répondre à la problématique dans son ensemble, aussi bien d’un point de vue technique que marketing. Sans surprise, les deux écoles ont travaillé en parfaite synergie et les étudiants ont pu se challenger, approfondir leurs connaissances et développer de nouvelles compétences.

 

« Cette expérience a été très enrichissante pour nous, elle nous a permis de mettre un pied dans le monde professionnel et travailler dans des conditions qui sont quasiment identiques, à savoir travailler avec des équipes pluridisciplinaires qui nous permettent d’aborder une vision différente de celle que l’on a d’habitude.

On a aussi pu développer nos soft skills, ce sont des compétences qui ne s’apprennent pas à l’école mais plutôt directement sur le terrain, et ça va être un plus pour nous dans la vie professionnelle de demain. »

Levy Zire, étudiant en 5ème année en Ingénierie du Web à l’ESGI

 

Un coaching personnalisé

 

Tout au long de cette semaine, très intense, les étudiants ont été accompagnés par des coachs techniques, afin d’être guidés et conseillés dans leur travail. Ces derniers les ont également mis au défi au travers de challenges ayant pour but de renforcer la cohésion d’équipe.

 

« Le fait de les mettre entre dev et entre digital marketers ça fonctionne, c’est une formule qu’ils vont retrouver assez régulièrement dans la vraie vie. Et ils ont abordé ce séminaire avec toutes les armes possibles, que ce soit théorique ou pratique, pour pouvoir montrer de quoi ils étaient capables. Et l’alchimie se fait vraiment bien, on est vraiment tous fiers d’eux et on leur souhaite d’être aussi performants dans leur vie professionnelle future. »

Yoann Barrier – Directeur de l’ECITV et coach technique marketing

 

Une nocturne a également été organisée afin de travailler dans un cadre plus informel et d’échanger autour d’une bonne pizza.

 

 

Faire travailler ensemble des étudiants de différentes écoles fait partie de l’ADN du Réseau GES, qui encourage les étudiants à réaliser des projets entre eux afin d’acquérir de nouvelles compétences et de se professionnaliser durant leur vie estudiantine.

Des étudiants de l’ESGI premiers au Siggraph


Actualité publiée le 27 juillet 2021

Le Siggraph (Special Interest Group on Computer GRAPHics and Interactive Techniques), salon aux Etat-Unis d’envergure mondiale, accueille chaque année des professionnels venus présenter leurs travaux dans les domaines de l’infographie et la programmation graphqiue. C’est un événement majeur pour l’industrie des images numériques. Une compétition se déroule également chaque année, voyant s’affronter de nombreux projets en lien avec le secteur, portés par des professionnels ou des étudiants. Et cette année, 3 étudiants de la filière Ingénierie de la 3D et des Jeux-Vidéo de l’ESGI sont arrivés premiers de la catégorie étudiante. Ce sont également les seuls français du palmarès !

 

Un projet complexe de dessin en temps réel

Chaque année les étudiants de cinquième année doivent réaliser en groupe un projet annuel sur le thème de leur choix. Félix Cantet, Julien Boutet et Sofiane Ben Embareck ont choisi comme thème la génération d’images, la génération procédurale, thème qu’ils avaient souvent abordé durant leurs deux années de Mastère.

 

Leur projet : Procedural Real-Time Live Drawing Animation. Il consiste à générer une animation de dessin à partir d’une image statique, pour obtenir une image finale qui soit dessinée. Ce projet leur a demandé énormément de temps, de patience mais surtout beaucoup de recherches, notamment dans des publications scientifiques, aussi bien en français qu’en anglais. Ils gardent néanmoins de très bons souvenirs de ce projet :

 

« La réalisation du projet nous a permis de gagner en confiance en nous et de nous initier à la recherche. Et notre participation au Siggraph nous a permis d’échanger avec beaucoup de professionnels du secteur et d’obtenir une certaine légitimité dans notre domaine »

Sofiane Ben Embareck – étudiant en 5e année de la filière Ingénierie de la 3D et du Jeu-Vidéo

 

Pour le Siggraph, ils ont donc réalisé un poster de 2 pages, c’est-à-dire deux pages en anglais expliquant leur projet de façon détaillée. Ils ont eu la chance de pouvoir le présenter lors d’une session technique, ne regroupant que les meilleurs posters, en compagnie d’entreprises et de grands laboratoires de recherche venus présenter leurs propres projets, très souvent de grande envergure.

 

 

L’ESGI encourage ses jeunes talents

L’ESGI a toujours poussé ses étudiants à entreprendre, à se lancer dans de nouveaux projets, à participer à des concours… C’est pour cela que la filière Ingénierie de la 3D et des Jeux-Vidéo inclue la participation au Siggraph dans la pédagogie : c’est la finalité du projet annuel des cinquièmes années. L’objectif est de challenger les étudiants, de leur montrer les choses incroyables qu’il est possible de faire dans leur domaine et de leur donner la possibilité de se démarquer en présentant leur projet à des professionnels de renom.

 

 

Un challenge intense, mais que les étudiants relèvent toujours avec plaisir. En effet, ce n’est pas la première fois que les talents de l’ESGI parviennent à se qualifier au Siggraph, et nous sommes persuadés que ce ne sera pas la dernière !

Sécurité informatique : quelles sont les pratiques à risque des entreprises ?


Actualité publiée le

Depuis quelques années, les entreprises sont les cibles privilégiées des cybercriminels. Les structures professionnelles doivent augmenter leur niveau de sécurité informatique afin de se prémunir contre les menaces en ligne. Elles doivent aussi sensibiliser leurs collaborateurs afin qu’ils adoptent des comportements alertes et conscients sur le Web.

 

 

Entreprise et sécurité informatique : quelles sont les menaces ?

De nos jours, le numérique est un élément central pour une entreprise, quel que soit son secteur d’activité. Les données des sociétés sont d’ailleurs leur plus grande ressource et ont énormément de valeur, la sécurité informatique est donc un pôle de préoccupation capital pour la direction des sociétés.

 

Diminuer les risques de cyberattaques commence par la sensibilisation des équipes. Faute de connaissances dans le domaine, de nombreuses entreprises travaillent encore avec des applications numériques très peu sécurisées. Leurs collaborateurs, sans le savoir, peuvent avoir des comportements qui favorisent les cyberattaques. En effet, encore trop de sociétés ont recours à des outils bureautiques à risque, comme :

 

– Des solutions de Chat ou de visioconférence en ligne.

– L’utilisation des réseaux sociaux.

– L’accès aux applications et le stockage exclusif des données sur le Cloud.

– Des interfaces VPN peu sécurisées.

– Des outils en ligne de création de documents de travail (présentations visuelles et diaporamas).

 

En matière de sécurité informatique, la prévention est le maître-mot. La pratique courante des entreprises qui consiste à ne faire intervenir un technicien qu’en cas de cyberattaque n’est pas suffisamment viable pour mettre en place des activités professionnelles sécurisées. 

 

 

Entreprise : comment adopter des pratiques sécuritaires en informatique ?

Une entreprise qui souhaite augmenter son niveau de sécurité informatique doit donc adopter de nouvelles pratiques. Réduire le nombre et la diversité des appareils de travail est un premier point. Il s’agit d’ailleurs d’objets fréquemment volés, ce qui offre l’accès à leurs données au voleur. Une entreprise avisée peut demander à ses collaborateurs de n’utiliser que les postes de travail sécurisés.

L’usage de messageries non-professionnelles peut aussi être un facteur de risque dans l’utilisation du Web pour une entreprise. De nombreuses pratiques de phishing utilisent les messages digitaux afin d’y intégrer des virus à télécharger sous forme de pièce jointe.

 

Une entreprise doit adopter des pratiques de prévention en amont d’une attaque. Il lui faut donc confier la mise en place et la maintenance de sa sécurité informatique à un prestataire externe spécialisé. Afin de tout connaître des systèmes de sécurité numériques des entreprises, il est vivement conseillé de suivre une formation technique. À titre d’exemple, l’ESGI est l’école n°1 du génie informatique en alternance. Il est possible de se spécialiser dès la 3e année de son Programme Grande École en Sécurité Informatique et travailler ensuite comme Ingénieur sécurité ou CISO.

 

 

Les entreprises cherchent à sécuriser leur logistique sur le Web. Pour cela, elles se font épauler de consultants en sécurité informatique aguerris qui sauront créer un système spécifiquement adapté aux besoins de leur structure.

Rencontre avec les alumni de l’ESGI – Pathé Segnane


Actualité publiée le 23 juillet 2021

Pathé Segnane, Expert en Ingénierie Informatique et Systèmes d’Information, a rejoint l’ESGI pour faire un MSC Management et Conseil en Systèmes d’Information (formation pour adulte) afin d’approfondir son expertise, pour découvrir les nouvelles évolutions du secteur et avoir plus de légitimité en tant qu’expert. Il revient sur sa formation.

 

 

Présentez-vous en quelques mots

Bonjour je m’appelle Pathé Segnane, je suis de la promo 2017/2018 et j’ai suivi la formation MSC en Management et Conseil en Systèmes d’Information pour adultes. J’ai aujourd’hui 48 ans, bientôt 49 ans je suis consultant indépendant donc j’ai créé ma propre entreprise depuis fin 2016. Je suis spécialisé dans tout ce qui est développement applicatif, gestion de projet, de projet complexe et je fais un petit peu de coaching donc j’accompagne effectivement des structures, des services, dans toutes leurs réalisations de projets.

 

Pourquoi avoir décidé de faire cette formation ?

Je me suis dis que pour donner plus de crédibilité vis-à-vis de mes clients, étant donné que je suis un consultant, et qU4en plus de cela je me dois d’être un expert, il est important d’intégrer cette formation et d’avoir la Certification Professionnelle mais aussi avoir toutes les pratiques, méthodes et autres que je puisse apporter à mes clients? ce qui donnerait une vraie valeur ajoutée, de la pertinence des résultats qu’ils demandent. Donc ma société se devait de financer un salarié afin qu’il puisse acquérir ces compétences. C’est comme ça que mes études se sont financées.

 

Qu’avez-vous préféré dans cette formation ?

Ce que j’ai préféré dans cette formation, c’était déjà tout le contenu. L’ESGI s’adapte assez facilement à l’environnement actuel et aux différents changements, on peut le constater sur le management. Il y avait des nouvelles pratiques, des nouvelles méthodes qui étaient enseignée à l’éole que j’ai découvert tout de suite après sur le marché et qui ont été tout juste proposé.

C’est aussi le côté expertise où on nous laisse le choix de pouvoir choisir ces sujets-là et onnous accompagner de manière très concrète.

 

Quel était votre objectif avant la formation ?

Ce que je voulais que cette formation m’apporte très clairement c’est déjà d’une un gros bagage qui puisse vraiment englober toute la veille que je faisais depuis des années que je n’arrivais plus à absorber. Ma capacité  à entreprendre aussi, d’une manière très concrète, à manager, avec les nouveaux outils, les nouvelles approches. Aujourd’hui les gens m’écoutent avec beaucoup plus d’attention et voient les résultats de ce que je leur propose.

La place de l’intelligence artificielle dans le monde de l’automobile


Actualité publiée le 20 juillet 2021

À l’heure des nouvelles technologies, l’intelligence artificielle (IA) est au cœur de la transformation numérique.  Avec la révolution du digital, l’IA envahit déjà le quotidien avec les smartphones, tablettes et autres écrans tactiles et ne tardera pas à s’imposer dans les voitures ! Qu’est-ce que l’intelligence artificielle et comment s’intègre-t-elle dans l’industrie automobile ?

 

Qu’est-ce-que l’intelligence artificielle et à quoi sert-elle ?

L’intelligence artificielle (IA) constitue « l’ensemble des théories et des techniques mises en œuvre en vue de réaliser des machines capables de simuler l’intelligence humaine ».
Son principal intérêt est de faire évoluer les processus informatiques liés à l’intelligence humaine tels que l’apprentissage, la résolution de problèmes et le raisonnement. 
Les domaines d’utilisation de l’Intelligence Artificielle sont nombreux : robotique, reconnaissance visuelle ou vocale, Machine Learning, etc. et font appel au « Big Data » (le partage des données massives).

 

Entre les nouvelles sources d’énergie de la voiture électrique et les nouveaux services liés au véhicule connecté, l’intelligence artificielle s’invite partout dans l’univers automobile. Quelles sont ces innovations digitales et responsables qui révolutionnent le quotidien des automobilistes grâce à l’IA ?

  • La gestion des modes de transport pour offrir une offre adaptée à l’utilisateur
  • Une analyse détaillée de la conduite et une maintenance prédictive 
  • Des services personnalisés liés à l’utilisation du véhicule ou à la géolocalisation
  • Une recharge adéquate pour la voiture électrique

 

 

Intelligence artificielle dans l’automobile : une nécessité de coopérer avec les géants de l’informatique

L’intelligence artificielle ne peut exister sans le traitement massif des données informatiques. Sur les automobiles, elle traite les données enregistrées dans les différents capteurs (caméras, ultrasons, lidar, etc.) qui assurent le fonctionnement des véhicules en toute sécurité. Par exemple, elle détecte les obstacles que le véhicule peut rencontrer sur sa route ou bien s’assure que le conducteur soit toujours opérationnel pour reprendre le contrôle si jamais ce dernier venait à s’assoupir au volant, ou si la distance de sécurité avec les autres véhicules n’était pas respectée.  L’intelligence artificielle nécessite donc de traiter une quantité importante de données en temps réel qui sont stockées dans le cloud ce qui nécessite que les voitures soient connectées de façon permanente au réseau cellulaire.   

Pour rester à la pointe des technologies que nécessite la mise en place des procédés tels que l’intelligence artificielle, il est important que l’industrie automobile collabore étroitement avec des professionnels de l’informatique capables de mener des projets de grande envergure. L’ESGI, avec sa spécialisation Intelligence Artificielle et Big Data, forme des experts maîtrisant les principaux concepts et les techniques répondant aux exigences du métier.

 

Aujourd’hui l’intelligence artificielle traite une quantité importante de données dans le but de reproduire l’intelligence humaine. Avec la transformation digitale, elle est déjà présente au quotidien et dans l’univers automobile qui devra s’adapter aux exigences informatiques et aux enjeux que représente l’intelligence artificielle.

Rencontre avec les alumni de l’ESGI – Ilies LEBCIR


Actualité publiée le 15 juillet 2021

Ilies Lebcir, ancien étudiant de l’ESGI de la filière Architecture des Logiciels, revient sur son parcours étudiant et sa participation au concours des jeunes entrepreneurs du Réseau GES, EngrainaGES.

 

 

Présentez-vous-en quelques mots…

Je m’appelle Ilies Lebcir, j’ai 26 ans je suis actuellement Lead Déveloper dans l’entreprise Wizard Technologies, partenaire exclusif de l’entreprise We Digital Garden, et je suis aussi enseignant à l’ESGI.

 

Pourriez-vous vous décrire en 3 mots ?

Je dirais passionné, j’essaie aussi d’être le plus possible pragmatique et intéressé par tout.

 

Quand avez-vous intégré l’ESGI ?

J’ai intégré l’ESGI en 2014 pour la formation Architecture des Logiciels. J’ai commencé cependant ma première année et ma deuxième année en formation initiale, la spécialisation se faisant à la troisième année.

 

Quels sont les avantages de cette formation ?

Les avantages de la formation que j’ai suivi sont la pédagogie par projets qui nous force à devenir de plus en plus autonome et de véritables professionnels mais aussi l’alternance qui nous permet de mettre en pratique les éléments que l’on apprend au jour le jour.

 

Quels souvenirs gardez-vous de l’ESGI ?

Je garde un très bon souvenir de mes années d’études à l’ESGI tant par les personnes que j’ai pu rencontrer que par les projets qu’on a fait ensemble. C’était vraiment un super moment et ça me manque aujourd’hui.

 

Quel conseil donneriez-vous aux étudiants de l’ESGI ?

Le conseil que je donnerais aux étudiants serait de pratiquer, il y a beaucoup de théorie dans l’informatique, il y a beaucoup d’informations, mais je pense que seule la pratique permet vraiment de parfaire sa professionnalisation et ses connaissances.

 

Etes-vous toujours en contact avec vos anciens camarades ?

J’ai gardé contact avec une partie de mes camarades, avec qui on a noué une amitié très forte. Aujourd’hui on part en vacances ensemble, on se voit quasiment tout le temps, donc oui j’ai gardé un très bon contact.

 

Pourquoi avoir participé au projet EngrainaGES ?

J’ai participé au projet EngrainaGES parce que j’ai toujours eu cette volonté d’entreprendre, j’ai toujours voulu mener de bout en bout un projet qui serait le mien autour duquel on pourrait se réunir avec des amis ou une équipe, des personnes pour travailler autour de ça. J’espère qu’un jour ce sera le cas?

Ce que ça m’a apporté c’est que ça m’a permis de m’exposer, de me tester aussi, de me comparer aux personnes qui avaient peut-être une formation qui était plus financière ou communication. Ca a été un très bonne formation et une très belle expérience.

 

Avez-vous pour projet de créer votre entreprise ?

J’ai pour projet de créer mon entreprise. J’ai la chance d’être actuellement dans une entreprise qui me permet de faire de l’intra-entrepreneuriat ou de l’entrepreneuriat. Ce que j’espère c’est gagner assez d’expérience, pour l’instant, pour ensuite me lancer pleinement dans cette aventure.

 

Votre formation à l’ESGI vous a-t-elle poussé à entreprendre ?

Ma formation à l’ESGI m’a donné cette envie d’entreprendre parce que, fonctionnant en pédagogie par projet, à chaque fois nous partons du début, autour d’une idée, et nous arrivons à une finalité. Et très souvent nous nous sommes retrouvés frustré de ne pas aller plus loin. Donc l’entrepreneuriat a forcément fait écho à ces aventures là.

 

Actuellement, quelles sont vos missions ?

Je suis actuellement en CDI dans l’entreprise Wizard Technologies, qui est un partenaire exclusif de We Digital Garden, et je suis actuellement en mission pour un gouvernement européen qui a pour but de faire une refonte complète de ses systèmes d’information pour ses citoyens.

 

Quels outils ou logiciels utilisez-vous pour vos projets ?

Je n’utilise pas particulièrement de logiciels spécifiques, tout va dépendre du contexte, je sais m’adapter à différentes situations. Mais si je devais conseiller un outil particulier à maîtriser ce serait Git, qui est un gestionnaire de version, je pense que cela faciliterait la vie à beaucoup de personnes s’il y avait une véritable maîtrise à ce niveau là.

 

Avez-vous une avancée technologique que vous attendez ?

L’avancée technologique que j’attends avec impatience existe déjà, c’est la réalité augmentée. Mais je pense qu’il y a des perspectives extraordinaires dans l’avenir avec ça, notamment une espèce de symbiose dans notre monde qui s’informatise de plus en plus. C’est parti là que j’attends le plus et j’espère que ce sera à la hauteur de mes espérances.

Focus métier sur le développeur web freelance depuis le début de la crise sanitaire


Actualité publiée le 13 juillet 2021

Devenir développeur web nécessite une grande passion ainsi que des compétences très pointues dans le domaine de l’informatique et des nouvelles technologies. À l’ère de la transformation numérique, c’est un métier qui connaît un essor important et peut s’exercer en indépendant. Quelles sont les compétences requises pour devenir développeur web, et quelle formation suivre pour exercer le métier ? Pour ceux qui veulent travailler en freelance, voici quelques conseils pour débuter.

Le métier de développeur web freelance : quel profil ?

Le développeur web est un programmateur chargé de la conception, du développement et de l’ajustement d’un site internet et de l’ensemble des fonctionnalités qui l’accompagnent. C’est un technicien multi-tâches, multilingue et flexible qui s’adapte facilement aux besoins d’un site. Avec les enjeux de la transition numérique et l’instauration du télétravail depuis le début de la crise sanitaire, les développeurs sont actuellement très demandés sur le marché du travail. Et pour cause, ils sont responsables du bon fonctionnement d’un site internet, véritable vitrine de l’entreprise (création, mise à jour, maintenance, rapidité, etc.)

Le développeur web freelance travaille de façon indépendante sur différents projets, il se doit de bien cerner les besoins et les objectifs de chaque client tout en respectant le cahier des charges qui lui a été transmis. Pour mener à bien ses projets, voici les principales missions d’un développeur :

  • L’analyse technique afin d’identifier et de comprendre les besoins détaillés du client
  • La conception, création et programmation de sites ou applications web
  • Le diagnostic et l’ajustement en cas de problèmes
  • Le support technique, la formation, la création d’une notice explicative et le suivi auprès du client après la livraison

Développeur web freelance : compétences et formation

Comme tout freelance, un développeur web est un professionnel qui doit être polyvalent, autonome, à l’écoute des besoins du client tout en respectant les délais de livraison. En termes techniques, le développeur maîtrise le langage web (PHP, SQL, JAVA, etc.), CMS (systèmes de gestion de contenu) et autres logiciels de création de site web. Pour réussir et évoluer dans son métier, en plus d’être un technicien, le développeur doit faire preuve de créativité et se tenir informé des dernières actualités et évolutions régulières dans le domaine de la programmation.

Le métier de développeur web nécessite une qualification technique en informatique et exige très souvent un niveau d’étude élevé de type bac+5. Des écoles comme l’ESGI avec une spécialisation Ingénierie du Web forment des experts avec des compétences à la fois techniques et business pour répondre aux exigences de la profession. 

Le métier de développeur web freelance connaît une forte demande depuis quelques années et l’explosion du digital ainsi que les effets de la crise ont particulièrement accentué cette demande. Avoir des compétences techniques solides combinées à d’excellentes qualités relationnelles et se former dans une école informatique avec une spécialisation en ingénierie du web seront de précieux atouts pour tirer son épingle du jeu.

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